Contrairement à ce que d’aucuns ont pu lire dans les colonnes de la presse nationale, le délestage continue à Toliara. Il n’aura cessé de torpillé à la base le fonctionnement de plus d’une société. On ne parle plus des mauvais désagréments causés au sein des foyers. Contre un fléau qui écume la ville, de jour comme de nuit, des ordinateurs, poste-téléviseurs, radio…pètent en série. Les onduleurs et autres palliatifs au délestage (groupe électrogène) ne sont pas à la portée de quiconque veut ; du reste, (...)

« Je me permets de vous écrire à tous, par un envoi groupé dont malheureusement seront privés ceux dont je n’ai pas l’adresse sous la main… Je lis dans l’Express de ce jour le grand titre de première page : « Ravalomanana accable Urfer », affirmant que « l’intéressé avait déjà été expulsé de la Tanzanie avant sa venue à Madagascar ». Le problème est que cette affirmation est fausse. J’en conclus, hélas, que le Président est mal informé. Et que certains de ses conseillers n’hésitent pas à recourir au mensonge (...)

Madame le Ministre, Très sensibles aux projets actuellement en cours pour consolider l’État de droit dans notre pays, nous nous permettons de nous adresser publiquement à vous, compte tenu de votre responsabilité particulière pour animer ces efforts. Selon toutes vraisemblances, durant la deuxième République, l’idéologisation et la gabegie qui dominaient ont éclipsé le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, ratifié par Madagascar le 21 juin 1971, et entré en vigueur au (...)

« Cet homme, je l’ai connu pour la première fois lorsque j’étais son élève. Il s’est improvisé alors comme professeur d’histoire et de géographie. Très peu pédagogique, je l’admirais cependant pour la synthèse de ses manuels d’histoire qu’il avait composés sur « les grandes civilisations » : les Etats-Unis d’Amérique, l’Union soviétique et différents systèmes politiques de l’époque. Le P. Sylvain Urfer puisque c’était lui, avait fait des études de sciences politiques. Je dois l’avouer, peu de personnes dans les (...)

Nous, membres de la DIASPORA de la Province de Tuléar en France, face à la situation de crise que traverse actuellement la population de la capitale du sud, déclarons ce qui suit : 1/ Condamnons fermement les arrestations perpétrées à l’encontre des parlementaires, élus et autres manifestants (civils et étudiants) qui n’ont fait qu’exercer leur droit à la liberté d’expression en manifestant calmement pour dénoncer le marasme socio-économique enduré par la population tuléaroise dont le délestage (...)