Lettre du lecteur
L’eau et le feu, génies malfaisants ?
mardi 11 mars 2008
| 571 visites
Les forces de destruction d'un cyclone sont le vent et l'eau. Cette fois-ci, c'est l'eau qui a été la plus dévastatrice.
La particularité du phénomène est qu'il faiblit en intensité une fois à l'intérieur des terres, ce qui explique que la capitale se trouve à l'abri des rafales de vent.
Par contre, les précipitations ne l'épargnent pas des crues. Celles du cyclone de 1959 ont été les plus spectaculaires avec de l'eau jusqu'à mi-cuisse dans certains endroits.
A cette époque, la digue rive droite de (...)