La pirogue portée disparue au large de Sainte-Marie depuis le 24 juin s’est finalement échouée sur une plage d’Ampolahambe à Masoala. Les huit occupants de la pirogue ont tous été retrouvés sains et saufs.
La pirogue a quitté Sainte-Marie, le samedi matin pour se rendre dans village d’Antsiraka, à Soanierana Ivongo où il y eu un décès. A 2 km d’Antsiraka, une panne de moteur est survenue, la pirogue a ainsi dérivé en mer pendant 72 heures avant d’échouer à Ampolahambe, à limite du district d’Antalaha et et Maroantsetra. Les huit personnes, certes fatiguées et traumatisées, s’en sont sortis indemnes. Elles ont été directement prises en charge à Maroantsetra par des médecins.
L’Agence Portuaire Maritime et Fluvial (APMF) avait déployé quatre bateaux pour les recherches, un hélicoptère de l’armée a été même été mobilisé mais les recherches s’avéraient compliqués à cause du mauvais temps.
(Source : Boniface Ramiandrison, journaliste RNM-TVM)
Vos commentaires
Bonsoir.
Voilà une excellente nouvelle !
on ne parlera pas de bouées de sauvetage, de fusées de détresses, voir avoir au moins une rame ou deux en cas de panne .
Tout est bien qui fini bien, enfin voilà une leçon divine que les intéressés ne devraient pas oublier ?
Quant aux services mis en place pour les secourir , c ‘est apres la bataille qu’ on voit les bouses, comme d’ hab avec le "déjà" endémique , toujours content d’ eux-même, , meme dans l’ absence totale de résultat, l’ intention suffit à entretenir leur satisfaction béate et héréditaire, pour ne pas dire endémique ...
« Dis moi sambava c ‘est encore loin ? tais toi & nage !
Pourtant la veille...
28 juin à 18:10 | Jipo (#4988)
qu’ ils rentrent à pieds quand la mer est démontée . / !
Quant aux amateurs de sensations fortes ils en ont eu pour leur argent !
laissez les morts de ce naufrage ou ils sont.
Tu cherches quoi ?
Juste à faire comprendre aux participants de ce forum qu’il y a ici 4 ou 5 personnes qui vocifèrent dans le vide tout en prêchant la haine, le racisme et l’homophobie mais qui s’en défendent en accusant les autres de ces mêmes vilains défauts. C’est tout.