C’est un peu comme dans le domaine scientifique. Quand on n’arrive pas à résoudre un problème, il faut réanalyser tout l’ensemble, et essayer de voir autrement.
Cela va faire bientôt deux ans que notre pays est en crise politique avec les conséquences que cela entraîne de facto.
Bien avant sa chute, Ravalomanana n’avait pas trouvé de solutions aux problèmes car il s’est focalisé sur les solutions possibles au lieu de penser et analyser les problèmes posés avant d’envisager la moindre solution.
Rajoelina et son équipe ont fait la même erreur depuis le début et continuent dans la même voie. La HAT n’a fait jusqu’à maintenant que proposer des solutions, mais apparemment sans jamais se pencher sur le fond réel du problème.
Un exemple au début : après son putsch, la HAT a cherché la reconnaissance internationale sans avoir jamais admis qu’il s’agissait d’un putsch, pourtant le cas de la Mauritanie aurait pu être analysé.
Relisez l’article « échec et mat » et vous pourrez avoir d’autres exemples qui montrent que la HAT a toujours eu un coup de retard et n’a donc jamais été maître du jeu. Et elle ne l’est toujours pas.
Pourquoi j’ai parié que Rajoelina serait encore là pour un bout de temps ?
Parce que tout simplement, ceux qui tirent les ficelles de la marionnette font tout pour qu’il en soit ainsi. Le temps pour eux de tirer profit de ces temps troubles pour mettre la main sur tout ce qui peut se prendre. Cela va aussi des deniers publics.
Vos commentaires
Vous en dites trop ou pas assez, Georges, sur ces pions qui tirent réellement les ficelles, et qui font main basse sur « tout ce qui peut se prendre. Y compris les deniers publics. »
Pas les pions, « ceux » qui tirent en réalité les ficelles, bien sûr.
après l’echec de la religion, de l’armée, de la CI, de la saciété civile, des politiques, maintenant donc les maths, le droit, pourquoi ne pas faire appel aux .. dadarabe ??
merci d’être là maminah, j’ai lu avec avidité votre prose ô combien pertinente et digne, au moins d’intérêt, sur la fumante question d’art musical, au sens que je voudrais, large.
J’ai bien eu cette réaction d’un sentiment de supercherie, mais ne concernant que très peu les artistes malagasys du moment qui ont eu aussi l’influence du courant qui passait. N’avons pas eu les Surfs qui ont surfé leur heure de gloire ? Pour ceux qui sont férus, André Razafikarefy, alias Andy Razafy, a lui aussi, eu son moment de grandeur musicale, et celà, excusez du peu, dans un ailleurs bien lointain.
Je commente ceci pour en venir à nos Mahaleo, une espèce de cas indécrottable de nos souvenirs de 30 ans au moins, avec ce côté « révolutionnaire » qui caractérisait l’ambiance de l’époque : de part ce monde on aimait carresser l’idée de changer tout, en faisant feu de tous bois. Les soixantedouzards jouissaient rien qu’en sachant quelques uns des leurs accorder avec un talent certains, ces mots repris des idées d’un Dylan ou d’autres Beatles inspirateurs de tant et tant...Alors j’arrête le H-S, car il n’a rien à voir avec l’actu, sauf qu’il tente( une ultime fois) de prolonger l’esprit qu’un Raoul ou qu’un E.Manana aujourd’hui, essaient de perpétuer : la malgachitude à la sauce folk, ou l’inverse selon le côté le plus influent duquel on perçoit la Zic !
PS : je suis archi HS vuze, là je vous rejoins archicomplètement, mais il est bon savoir sauter l’obstacle ! (là, je tente de me remettre en selle pour l’édito !!) TNH !!! comme a dit un forumiste dont j’ai, scusis, oublié le pseudo, c’est mieux que ce lol qui ici, sent la vraie forfaiture...
Venant d’un interlocuteur comme vous, ces mots me vont droit au coeur. Mais de là à me remercier d’une cause commune, vous mettez franchement à mal ma modestie. Pire, cela sonne comme un reproche à mon dilettantisme sur ce forum. Mais la vie dicte un peu nos disponibilités.
J’enfonce donc le clou pour poursuivre dans le HS, comme dirait l’autre... Mais qu’il (ou elle ?) se rassure : c’est pour mieux clore le débat.
Vous avez sans doute, et j’espère aussi BemioVah, que j’avais blessé dans ses sensibilités, compris qu’au-delà de cette décortication du phénomène Mahaleo, je visais la supercherie d’une époque. En particulier, ces « rouges » et experts sans doute en lutte trotskiste, mais complètement frustes et relous sur la question culturelle, qu’ils croient régler à coups d’escamotages et de forcing. C’est là la vraie imposture. Et ça a surtout fait des dégâts très dommageables, car le pays souffre d’une carence qui l’empêche de trouver sa voie, ou d’aboutir dans ses efforts.
Excusez-nous de cette parenthèse, Georges. Mais si vous vouliez lever un peu le voile sur ces rapaces qui tirent les ficelles. « Echec et mat » où vous nous avez renvoyés ne nous a pas davantage informés. C’est dire que vous avez piqué notre curiosité...
C’est un titre qui dénote de la naïveté et de la méconnaissance de l’Homme,Andry RAJOELINA.
C’est sur ,de coucher avec qq1 permet de bien le connaitre . Et ça paye bien ?
Basile,
J’ai raison, vous accrochez beaucoup à votre Seigneur rajoelina.Ce n’est pas étonnant ! « Vous êtes tous des FOZAS »
jules
BRAVO !!
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
Mr Georges Rabehevitra, réanalyser tout un système et trouver un ANTIVIRUS sont des tâches très ardues surtout quand tout le réseau est INFECTE.Misaotra Tompoko.
« Bien avant sa chute, Ravalomanana n’avait pas trouvé de solutions aux problèmes » : et si c’était lui qui causait des problèmes ? Ce raisonnement simple a échappé à votre perspicacité Mr Rabehevitra. Le pays n’est pas seulement en crise politique depuis 2 ans : Madagascar dans l’ensemble est en train de s’appauvrir et les affairistes ne sont jamais aussi riches que maintenant. Ce que Ratsiraka a fait en plus de 20 ans, ra8 l’a fait en 7 ans. Que l’on fasse le bilan de toutes leurs richesses à tous ces affairistes. Et ce ne sera pas le promoteur de Vonjy Aina qui va oser se lancer là-dedans. Car les mpisolelaka, ce n’est pas ce qui manque parmi ceux qui cherchent à se « caser ».
bonjour,
et rajoelina, avec « sa démocratie » en 1 an et demi !
qui fera mieux ?
jacques
Super éditorial qui ne sert strictement à rien et qui en plus est antidaté...
Aucun intérêt...
ça vous tellement mal de voir la réalité en face que préferiez critiquer ceux qui ne sont pour rien dans le détournement d’argent d’andry Rajoelina et sa clique car les révélations cette fois ci vous donnent tord,vous qui être tout le temps en train d’aduler radomelina and co.
La réalité en face :
Tout cela vous rend aigris et cela se comprend.. personne ne vous en veut..
Oui,vuze.« Personne ne veut pas de FOZAORANA au pouvoir »
Riz à 2500 fmg/kilo bla !bla !bla
Huile à 12 500 fmg le litre bli !bli !bli !
on s’en fou de la CI, pas besoin de Chissano,malgacho-malgache bla !bla !bla
RESULTAT, ZERO ZERO,ZERO( non c’est NEGATIF) !!!Agent Rajoelina 000.
racynt !!
de quel détournement d’argent ,parlez-vous ??
Si vous faîtes allusion sur l’article sur le « Bilan » de la BCM,cela me fait vraiment rigoler.Vous êtes tombé dans le panneau.La haine vous aveugle.......
A+
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
racynt !!!!
AVEZ-VOUS QUELQUES PREUVES TANGIBLES POUR CRIER « détournement d’argent de »X« , »Y" et ??????
avec un pseudo « ON » peut dire n’importe QUOI ????
Détournement de 4 milliards d’Ariary
jeudi 25 février 2010
Au cours d’un point de presse tenu ce mercredi 24 février, le Ministre de l’Énergie, Rodolphe Ramanantsoa a confirmé les informations révélées lundi par nos confrères de la Gazette De la Grande Île concernant l’existence d’un très important détournement d’argent à l’agence de Toamasina de la société nationale d’eau et d’électricité JIRAMA. Cependant, si nos confrères évoquaient le chiffre de plus de dix milliards d’Ariary, le bilan retenu par le Ministre est sensiblement inférieur puisque 4 milliards d’Ariary auraient ainsi été détournés entre 2007 et 2009.
Les explications du Ministre ont permis de comprendre qu’un audit a relevé des grosses discordances entre les versements bancaires reconnus par l’agence de la BNI à Toamasina et les justificatifs détenus par la comptabilité de la JIRAMA. Pour cacher la réalité, un réseau de complicités aurait ainsi introduit des reçus de versements fictifs et substitué des relevés de comptes falsifiés à ceux authentiques.
Selon le ministre, un réseau de complicités incluant des agents de la Jirama et la banque BNI serait à l’origine des détournements. Dans un communiqué publié hier soir, cet établissement bancaire déclare cependant ne se reconnaître aucune responsabilité dans cette affaire et évoque l’utilisation de faux documents à entête de la BNI MADAGASCAR.
Ces révélations interviennent alors qu’il semble flotter une ambiance de règlement de comptes entre l’actuelle direction de la JIRAMA et l’équipe de direction composée d’allemands qui exerçait à l’époque du gouvernement Ravalomanana. On est en tout cas en droit de se demander si l’ampleur et la durée de ces pratiques frauduleuses, qui auraient normalement pu être découvertes par des opérations de rapprochements bancaires périodiques, révèlent un grand laxisme dans la gestion de la trésorerie de la JIRAMA ou des complicités de haut niveau.
Recueilli par Yann
VOILA UN ECHANTILLON DE DETOURNEMENT
Vous voulez quelques preuves tangibles ? Voilà
Bois de rose
Encore des conteneurs trouvés
lundi 6 septembre 2010
Décidément, on n’en finit pas avec le bois de rose. Quatre containers de ce bois, ainsi que cinq containers d’eucalyptus ont été découverts au port de Toamasina... C’est ce qu’annoncent ce dimanche les médias publics, en précisant que ces containers étaient prévus de partir pour la Malaisie.
Rappelons que toute coupe, vente, transport ou exportation des bois d’ébène et des bois de rose est aujourd’hui théoriquement interdite, mais que les suspicions restent très présentes en ce domaine. En tout cas, c’est la première fois qu’on voit ce trafic associé au commerce du bois d’eucalyptus, qui n’est pas considéré comme une essence précieuse, et qui dans le cas présent devait sans doute servir de couverture à cette exportation plus rentable.
Le Premier ministre Camille Vital et le ministre en charge du département des Douanes, Hery Rajaonarimampianina, sont descendus sur place pour procéder aux constatations.
Luc (stagiaire)
La salle de spectacle d’Antsonjombe bonne pour l’emploi et le tourisme ? Cette fozerie sans fondement mériterait le Prix Nobel de l’économie, catégorie thèse foireuse. Ou bien crise aigue de culte de la personnalité chez Vuze ? Devant le diable cornu, il continue à proclamer que c’est Saint Pierre au bal masqué. Vuze, à la fois pion des foza sur le forum, et obstacle pour réveler la vérité sur les bêtises de ce régime HAT
Des centaines d’échantillons de ce genre, et on comprend que notre pays s’enlise à ce point. Tous les larrons peuvent s’y mettre à coeur joie. Même la rigueur des cadres étrangers ne les arrête pas. Où va le navire ?
Ho an’i maminah.
Misaotra an’i « maminah » namelabelatra ny hevitrao momba iny resaka tarika Mahaleo omaly tetoana iny ary tsy manipaka velively ny voalazanao aho.
Ny tiako ho lazaina sy hamafisina fotsiny dia ny hoe na avy aiza ny fiaingan’ny revy na ‘feeling’ na ‘inspiration’ireo artista malagasy sasantsasany, ary ao anatin’izany ny Mahaleo ohatra, dia samy mihezaka avokoa izy ireo ny mba ho halaza sy hifaninana eo amin’ny sehatry ny zava-kanto sy ny mozika. Samy manana ny mpankafihy azy avy izy ireo. Ny tsara ho marihina angaha dia ny hoe : rehefa hain’ireo artista ao an-toerana ny mamadika ny hirany ho ady sy revy gasy ka ankafizin’ny mpihaino maro an’isa, dia izay no hahatsapana fa mandaitra ary misy vokany ny hasasarany sy ny finiavany.
Firy amin’izy ireo tokoa moa no tena be mpankafia sy maharitra indrindraindrindra eo amin’ny sehatry ny zava-kanto sy ny mozika ? Betsaka ireo artista na mpihira izay nipongatra, nalaza indray na indroa mandeha monja ary dia nanjavona tsy heno intsony…
Misy ihany koa anefa ireo izay nahay nampiasa ny talentany mba hanentanana ny maro an’isa amin’ny alalan’ny kolotsaina sy teny mivantana na ankolaka entina mahatsapa ny zava-misy sy ny tokony harenina eo anivon’ny fitondrana sy ny ankohonana. Tsy Raoul na ny Mahaleo ihany anefa no nisongadina tamin’izany. Maro ihany koa ireo artista Malagasy hafa izay kalaza ary manao izay azony atao mba ampiroborobo ny fahaizany manokana sy ny talentany ary indrindra ny kolontsaina maha-malagasy azy sy antsika. Malalaka tokoa ny sehetra hoy ny filazantsika azy.
Raha mitombona tokoa moa ny filazanao hoe resaka “style” na “influence” avy any ivelany no nalain’ny artista Gasy sasantsasany tahaka, moa ve misy maharatsay an’izany rahatoa ka tafavoakany tsara ny vokatr’izany fanandramana izany ? Ny antenaina dia ny mba hisian’ny artista Malagasy malaza hatrany am-pita any koa ary ny mba ankatoavin’ny avy any ivelany ny zava-kanto sy ny feon-kira tena malagasy. Tsy eo anivon’ny diaspora malagasy ihany anefa, fa koa eo anivon’ny karazan’olona hafa fiaviana ihany koa. Ary tsy vitan’ny resaka laza ihany, fa ho ampy ho tena fidiram-bola ve izany ezaka maro samihafa izany mba ho foto-pivelomana ara-dalana ho azy artista Malagasy ireo ?
Hatreo indray aloha ary mankasitraka.
Azafady indindra fa vao namaly an’i da fily aho dia nahita koa ny soratrao.
Je suis désolée si j’ai pu vous faire croire que je remettais en cause la qualité des oeuvres des Mahaleo, qui non seulement font l’unanimité, mais en plus, ont suscité tant de vocations vu le nombre de groupes qui ont vogué, avec réussite d’ailleurs, dans leur sillage. Et c’est cette postérité-là, plus encore que leur renommée, qui fait leur grandeur.
Je suis parfaitement d’accord avec votre analyse : elle est aussi mienne. Et comme j’ai pu le dire à da fily, l’analyse du phénomène « Mahaleo » m’a surtout donné l’occasion d’évoquer une époque qui nous a fait tant de torts, dont nous nous remettons encore mal à mon avis.
A un prochain échange ?
Hélas, depuis des décennies notre histoire est tachée de couleur rouge ou de sang qui reflète l’érosion alarmante de nos terres fertiles ainsi que certaines de nos valeurs et notre moralité dans l’ensemble en tant que peuple.
En passant d’une époque à une autre, d’un chapitre à un autre, d’un régime à un autre, ou encore d’une république à une autre, à part cette transition qui nous fut âprement imposée, que nous reste-t-il donc qui ne soit point entaché ou souillé au fond de notre âme et notre conscience ? Et comment limiter les dégâts ?
Si le pays souffre d’une carence qui l’empêche de trouver sa voie ou d’aboutir dans ses efforts, comme vous le dites, est-il encore nécessaire de nous en remettre constamment au passé ? L’avenir est pourtant là qui nous fait face et n’attend que notre résolution collective pour passer d’un tremplin à un terrain plus solide afin d’édifier un nouveau pacte de société et de repartir sur de nouvelles règles de vie, de conduite, de leadership et de bonne gouvernance surtout pour redresser les torts.
Mais pour en revenir sur l’éditorial de Georges R., est-il possible de se référer au jeu d’échec alors que les obstacles et les pions dépassent de loin le nombre anticipé selon votre sérieux hobby ? Par coïncidence, vous avez trouvé là un nouveau jeu de société combinant « échec » et « fanorona », mais les solutions ne seront donc plus forcément malgacho-malgache…
Pensez-vous vraiment qu’ils vont chercher à faire une ré-analyse quelconque selon vos conseils de sage ? Pour eux, cela équivaudrait à revenir à la case (faux) départ et donc contenant trop de risque. Pourtant, trop de solutions à la [ hâte ] contribue aussi à multiplier les obstacles et les pions. Sur un tel champ d’action, y a pas trop le choix malgré toutes les chaises à pourvoir, il faut avancer, mais dans quelle direction au juste ? Verrouillez le départ et l’arrivée et vous évoluez lentement sur un vaste terrain de transition, et souvent sur le qui-vive.
Pour un zeste d’optimisme, donnons une chance à de telles initiatives dans le seul but d’aboutir à la sortie de crise. Pourvu que tous ces partis et toutes ces parties arrivent à s’entendre entre eux, à se faire entendre et à parvenir à un accord commun. Faut-il y ajouter le jeu de « katro » pour mieux aborder la Conférence Nationale ?
A qui la faute ?
Tellement que nous ne pensons PLUS qu’à ce qu’on va manger aujourd’hui et demain sans jamais se soucier de l’avenir lointain. Ce besoin devient un quotidien et incruste sans vouloir, c’est la raison que les Malgaches deviennent irresponsables, c’est la raison que les politiciens font ce qu’ils veulent. Hélas !!!
Sans faire de la démagogie ni grosse tête, n’oubliez jamais que Madagascar est parmi les continents Africains cad sous développé ET LE COMBLE, nous réagissons toujours comme peuple dépendants pour n’est pas dire colonisé.
1° Le fait que nous dépendons toujours aux aides des pays étrangers, nous restons toujours bornés.
2° Quoi qu’on dise quoi qu’on fasse les Politiciens ne pensent qu’à leurs poches malgré que Mr Ravalomanana a essayé quand même de faire vivre le peuple mais en parallèle ses entreprises, Mr Rajoelina un arriviste qui ne fait que profiter la situation pour préparer son nid douillé ailleurs. Tant que Madagascar reste un pays ds le continent Africain, c’était toujours comme cela et ça sera toujours comme ca. Ne dites pas que je suis fataliste, loin de là mais il faut vivre dans la réalité. Le slogan « Zarazarao hanjakana » est fatalement la vie que le peuple Malgache subit.
A qui la faute ? A tous les pays que Madagascar dépend.
Ils savent bien que la peuple Malgache est toujours colonisé mentalement alors ils ont une facilité d’avoir des marionnettes pour déstabiliser ce pays.
Deux ans déjà vous dites ??? C’est peu pour faire comprendre aux Malgaches que la génération future est déjà sacrifiée et à savoir si la génération précédente survivra. Est-ce que la personne qui pourra sortir Madagascar dans l’impasse est déjà née ?? Je crains fort que non. Mais d’ici là, ça nous empêche pas d’agir, mais comment ??? devant des cacophonies pareil, pourquoi pas faire appel à Mandela avant qu’il quitte ce monde de malade.