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Le conseil des ministres a approuvé le projet de loi de finances initiale (PLFI) pour 2026. Ce document, attendu comme la première feuille de route budgétaire du régime transitoire, suscite déjà des interrogations sur sa méthode d’élaboration et ses priorités. Le ministre de l’Économie et des Finances, nommé seulement la veille, est désormais chargé de piloter un budget appelé à traduire les objectifs fixés par la présidence de la refondation.
Ces objectifs, au nombre de six, forment les fondations de l’action gouvernementale : généraliser l’accès à l’énergie, garantir l’approvisionnement en eau potable et l’assainissement, assurer des soins de santé pour tous, améliorer la qualité de l’éducation, promouvoir l’emploi des jeunes et renforcer la solidarité nationale. À travers ces axes, le gouvernement souhaite jeter les bases d’un modèle de développement centré sur les besoins essentiels et la justice sociale.
Mais une question majeure demeure : comment concilier ces ambitions avec la politique d’austérité annoncée par le régime transitoire ? Si la maîtrise des dépenses publiques s’impose comme une nécessité dans le contexte économique actuel, elle pourrait également restreindre la capacité d’investissement de l’État dans les secteurs sociaux et productifs.
Le projet de loi de finances 2026 sera donc scruté avec attention. Sa mise en œuvre devra prouver la cohérence entre le discours de refondation et la réalité des moyens engagés. Les choix budgétaires révéleront la direction que prendra le pays durant cette phase de transition : reconstruction de l’administration, redéfinition des priorités économiques ou simple continuité sous une autre forme politique. Ce PLFI 2026 sera soumis prochainement au Parlement pour adoption.
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Vos commentaires
Toujours pareil.
On parle des dépenses mais où parle t-on des recettes ?
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« Suscite déjà des interrogations » ?
Quand l’ autre décérébré construisait des miami beach, colisée, téléphérique, terrain vagues pour footeux, expropriait les riziculteurs pour son autoroute de 8kms (en y apposant son nom !), ils étaient ou ??? ceux qui s’ interrogent ...
Alors là , que nous avons des responsables qui se démènent pour assainir et rompre avec les anciennes méthodes de voyous, on « s’ interroge » ??? : (Car qui, autre que les memes corrompus/collabos peuvent s’ interroger ? DEHORS !)
Maintenant que vous avez des RESPONSABLES qui écoutent , entendent et mettent en application les demandes, les impératifs, les urgences : vous vous interrogez ???)
je vois d’ ici les remarques, oui mais avec quel budget ???
Et bien avec celui que l’ on a point barre ! et si personne ne montre l’ exemple, y croit et fait le premier pas personne ne le fera jamais et les avides parvenus continueront comme la majorité : à ne chercher que s’ enrichir, se foutant royalement de leurs compatriotes et du Pays !
Alors (1 Gd BRAVO) à ce militaire qui les a suffisamment accrochées pour défier & prendre le taureau par les cornes . ( et le peu qui sera réalisé sera un pas de gagné et tout à son honneur, n’ en déplaise aux esprits chagrin ou isandra ...)
D’ un coté vous avez les Acteurs et de l’ autre : les Spectateurs incapables de faire quoi que ce soit d’ autre de « s’ interroger » et ce n’ est pas avec des spectateurs que le monde avancera (cela se saurait) mais bien avec ceux qui agissent et non les incapables qui ne savent rien faire d’ autre que douter, s’ interroger, voir saborder de telles initiatives, au lieu de se relever les manches et collaborer à ce que « i have a dream » devienne réalité ...
« le monde sera détruit pas par ceux qui font (mal) mais par ceux qui observent sans rien faire » !
L’ intérêt général n ’est pas un fomba d’ importation de vazahas & compatible avec le Vita Gasy !
Allez on se sort les doigts de là ou ça refoule et ARBEÏT !
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Bien d’accord Jipo. Donnons leur un peu de crédit-temps et encouragéons-les travailler bien en les surveillant au même temps, ok.