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Nouvelles technologies

La télémédecine débarque à Madagascar

samedi 23 octobre 2010 |  1666 visites  | Mona M.

La première visioconférence en qualité haute définition entre des équipes de médecins français et malgaches a eu lieu le vendredi 22 octobre 2010, dans les locaux d’Orange Madagascar, à Andraharo. Le renforcement des échanges entre médecins malgaches et étrangers, que permet cette technologie, s’inscrit dans le cadre du programme international RAFT/UNFM de formation continue à distance des professionnels de santé.

La visioconférence de vendredi, au cours de laquelle plusieurs sujets ont été discutés, est indiquée comme la première d’une longue série, notamment pour le programme e-diabète, qui figure parmi les projets phare de ce programme international auquel Madagascar a adhéré sous l’impulsion du professeur Rabenja Rapelanoro. Une délégation de médecins spécialistes suisses et français, conduite par le Pr Assal, échange alors ses expériences avec ceux de l’Amadia, aidé par l’Ordre de Saint-Jean, qui peuvent alors améliorer le traitement des patients diabétiques.

Les nouvelles technologies de l’information et de la communication permettent ainsi, sans avoir à supporter les coûts de déplacement, de faciliter la collaboration entre les médecins de différentes nationalités, ce qui contribue à l’amélioration des soins prodigués aux patients. Orange Madagascar y prend part dans le cadre de son projet RSE (Responsabilité sociale d’entreprise), qui, en s’engageant à continuer le développement de l’internet, de la visiophonie, de la transmission de données, de la télémédecine, permet d’améliorer les conditions de travail du secteur de la santé.

2 commentaires

Vos commentaires

  • 23 octobre 2010 à 15:50 | Basile RAMAHEFARISOA (#417)

    Je ne manque pas de relever le « passage » à Madagascar

    - de Madame Mireille Le Van,

    Secrétaire Générale de la Fondation Orange.

    « Elle déclare que Madagascar a un potentiel fantastique ;elle espère que le développement puisse profiter au maximum, à tous les Malgaches. »C’est le souhait qu’elle a pour l’Avenir,il n’est pas simple mais elle souhaite, aux Malgaches,une belle réussite.

    Merci,chère Madame Le VAN.

    Basile RAMAHEFARISOA

    b.ramahefarisoa@gmail.com

    • 24 octobre 2010 à 12:03 | Basile RAMAHEFARISOA (#417) répond à Basile RAMAHEFARISOA

      copier/coller

      - sur Madame Le VAN,

      - Secrétaire Générale de la FONDATION ORANGE.

      - Femme de Devoir,

      - Ingénieur de Télécommunications sur le terrain,

      - Financier/Management.

      « MANAGER et REALISER DES CHOSES AVEC DES EQUIPES,C’EST VRAIMENT TRES ENRICHISSANT ».

      Madame Le VAN.

      Une fondation d’entreprise c’est important à la fois pour les bénéficiaires qui profitent de ses mécénats,mais c’est aussi important que la Fondation fasse vibrer les salariés,c’est-à-dire que l’on puisse associer l’ensemble des salatiés aux opérations de mécénat.

      Mon objectif depuis que je suis arrivé à la Fondation,c’est d’ancrer encore plus cette Fondation d’Entreprise dans la mobilisation de l’équipe et de pouvoir,grâce au mécénat,créer des ponts entre des équipes des pays différents,et c’est comme cela que l’on deviendra un groupe international.

      Des petites soeurs de la Fondation.

      Pour autant,dans la plupart des pays,même s’il n’y a pas de Fondation proprement dite crée,des équipes et des partenaires qui mènent à bien « notre projet » de mécénat.

      Des filiales qui connaissent bien les besoins des Pays.C’est une grande force d’avoir notre implantation dans chaque Pays où on est.

      C’est pour cela que notre mécénat est concentré sur des Pays où nous avons des filiales.

      A MADAGASCAR,nous développons beaucoup de partenariats locaux,et c’est le Pays aujourd’hui où la Fondation investit le PLUS.

      Les actions qui sont faites au niveau local témoignent de l’implantation en tant qu’entreprise citoyenne.

      Nous participons au développement économique et social de chacun des Pays où il est implanté.

      Dans le Pays,il faut démontrer

      - que l’on n’ est pas que international,

      - qu’on n’ est pas un opérateur qui est piloté à « PARIS ».

      Notre intérêt en tant qu’entreprise,c’est de montrer qu’on peut être un opérateur local,un opérateur national,Malgache.

      On devient Malgache parce qu’on contribue au développement économique de Madagascar.

      Et la Fondation permet de faire le lien entre le développement économique,et notre souhait de développement des Pays sur lesquels nous sommes plantés.Il s’agit d’une belle synergie entre l’intérêt d’une population et l’intérêt d’une entreprise.

      Emerveillée par la qualité de l’accueil à Madagascar,de façon générale (que ce soit par l’ensemble de la population),c’est la première fois que je viens à Madagascar,il était important pour moi de comprendre :

      - comment fonctionnait le Pays,

      - comment fonctionnait de façon générale les ONG,

      - comment fonctionnait le côté administratif du Pays.

      On ne peut pas faire les bons choix sans comprendre les problématiques de chaque Pays.

      Je crois qu’on a pu évaluer beaucoup de projets tournés autour de l’éducation.

      Et derrière l’éducation,il y a tout ce qui est :

      - formation,

      - insertion sociale,

      - développement,

      - de la formation professionnelle aussi.

      Tous ces domaines là méritent d’être soutenus.

      Un autre point qui me paraît également important,c’est de contribuer au développement économique.

      J’AI VU UN BON PROJET AUTOUR DE L’ARTISANAT AVEC MADACRAFT.

      Je vois un Pays qui a un potentiel fantastique.

      J’espère que le développement puisse « PROFITER » au maximum à tous les Malgaches.

      C’est le souhait que j’ai pour l’avenir,il n’est pas simple,mais je vous souhaite une bonne réussite.

      Madame Le Van
      octobre 2010.

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