Aujourd’hui, le marionnettiste, gaulois, n’est plus en mesure d’agir d’une manière ou d’une autre, désormais, son rôle se cantonnera à approuver ou à dénoncer ce qui se passe, ici, dans un pré-carré qui s’est effiloché !..
Sa crédibilité en Afrique est celle de son président sur ses terres et comme le soulignait, hier, la presse européenne, sarcastique : « le banquier, devenu président, est dépassé ! »…
Une France, affaiblie, intérieurement, n’est donc plus en mesure de jouer à la rustine ou au déambulateur pour ce président, petit fossoyeur de l’avenir de la jeunesse de son pays..
Même, si, certains imaginent à tort que la Réunion puisse venir au secours de son compatriote, président, l’homme du Colisée a été lâché et seule, peut-être, sa sécurité, dans la fuite, lui serait promise..
La seule chose pour laquelle, il n’avait pas imaginé de plan B était la défection, surprise de l’armée dans un magistral bras d’honneur à son égard !..
Et ce n’était pas, pourtant, faute de ne pas avoir engraissé cette armée en nommant à la volée des dizaines de nouveaux généraux à chaque occasion qu’il lui avait parue, opportune !..
Cette lâchage, inattendu, sonne comme le coup de grâce à l’encontre d’un président, dont les consignes de maintien de l’ordre, hier, encore, ressemblaient à une sorte de remake de 2009 !..
Désormais, le roi est nu et ses jérémiades, urbi et orbi, donnent au personnage tout son épaisseur : celui du hors-sol !..
Ce moment, fatidique, entre son parraineur, historique et son parrainé, en cours de perdre, un pouvoir, mal-acquis, usurpé au rythme de son égo surdimensionné donne à l’histoire du pays, une nouvelle page de son immaturité politique.
Le sauve qui peut du clan, présidentiel, démontre cela, comme les convictions de ses courtisans, en fuite, qui n’avaient rien de politiques, mais, étaient, bassement, opportunistes et financières !..
La colère est profonde et quelle que pourrait en être la sortie de crise, ceux qui devront assumer la nouvelle direction du pays n’auront pas beaucoup de marche de manœuvre dans une économie exsangue, aux infrastructures vétustes, mais, surtout, avec en libre-service, un panel, potentiel, d’un petit monde, politicien, que, seule, la corruption, unit dans une gabegie, institutionnelle et intergénérationnelle !..