Bonjour à tous,

HS :

– Découvrez l’entretien exclusif de Nikita Mikhalkov, réalisateur oscarisé,

• • Cet entretien vous permettra d’entendre une voix qui refuse le compromis, qui défend la tradition, l’autorité et la transcendance contre les dérives d’un monde en perte de repères. Un moment d’intensité, de profondeur, et de vérité brute.

• • Bessagon, ou le combat contre le chaos

– Avec Bessagon – littéralement “Chasseur de démons” – Nikita Mikhalkov franchit un seuil : celui de la parole assumée, tranchante, indissociable de la tradition russe la plus intransigeante. Il ne commente pas l’actualité, il la démystifie.
Il y traque ce qu’il perçoit comme les masques du mal contemporain : le progressisme déraciné, les simulacres démocratiques, la perte du sacré.
– Pour lui, les grands événements symboliques du monde occidental – de l’inauguration du tunnel du Gothard aux Jeux Olympiques de Paris – relèvent d’une esthétique luciférienne, déguisée en modernité festive.

– Mikhalkov ne parle pas comme un analyste. Il parle comme un gardien.

• • Gardien d’un ordre supérieur où Dieu, la patrie et la tradition ne sont pas des options mais des fondements.

– Dans cette vision, le combat politique est indissociable du combat spirituel.
Il dénonce l’émasculation morale des sociétés occidentales, la colonisation mentale par les pseudo-valeurs d’émancipation, et oppose à cela une foi intacte, exigeante, presque martiale.
– Son message est clair : il ne s’agit plus de débattre, il s’agit de DÉFENDRE .
EXTRAIT de https://geopolitique-profonde.com/videos/nikita-mikhalkov-politique/

Et maintenant des questions pour nous, pour chacun de nous tous, pour ceux qui ont en charge la destinée des nations, car si
– les russes savent ce qu’ ils défendent pour La Russie, les valeurs qui transcendent en eux,
– que défendent les français pour La France, quelles valeurs, quels repères pour la Société ?
– que défendent les malagasy pour Madagascar, et là malheureusement, la question ne se pose pratiquement presque plus,
• car dans un pays à la dérive, les malagasy ne défendent plus rien, sauf le dieu Argent,
• dans une acculturation quasi totale pour les centres urbains, où l’ âme Malagasy est en déshérence totale,
• et peine à exister dans la ruralité et le pays profond, car comme le dit le proverbe malagasy, une vérité pour quasiment tout le pays Rehefa noàna ny kibo, mivezivezy ny fanahy

Cordialement