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Un nouvel affrontement a éclaté samedi 13 septembre dans la commune d’Ankilimaliniky, district de Toliara II, dans un climat déjà marqué par la controverse autour du projet Base Toliara. Un homme d’une trentaine d’années, présenté comme membre du collectif « Mazoto », collectif engagé dans la lutte contre le projet Base Toliara, a été tué par balle lors d’une intervention des forces de l’ordre à Ampasimagniliky, en zone forestière.
Depuis plusieurs mois, les tensions s’exacerbent entre les partisans et les opposants au projet Base Toliara. Des heurts ont notamment opposé à plusieurs reprises l’association « Mazoto » à l’organisation « Voromahery », qui soutient le projet.
En juillet, des arrestations avaient déjà eu lieu, incluant plusieurs membres de « Mazoto » ainsi que le président du parti Otrikafo, Elia Rabevahiny, depuis remis en liberté. Ces épisodes avaient contribué à accentuer les divisions locales.
La mort du militant de « Mazoto » a ravivé les inquiétudes des habitants, certains témoins évoquant une répression et des mouvements de population vers la brousse. Une militante locale a rappelé que défendre ses terres fait partie des droits fondamentaux de la population, tout en dénonçant l’usage de la force.
Les autorités présentent toutefois une autre version. Elles affirment que l’opération des forces de l’ordre faisait suite à un acte de kidnapping commis à Saririaky par une dizaine d’individus armés, identifiés comme des membres de « Mazoto ». Trois personnes auraient été enlevées et violentées avant d’être emmenées en forêt. L’intervention, menée avec l’appui de l’association « Voromahery », aurait donné lieu à un échange de tirs, faisant un blessé parmi les gendarmes et un mort du côté des ravisseurs présumés.
Les autorités soulignent que l’incident relèverait d’un acte criminel sans lien direct avec Base Toliara. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes.
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Vos commentaires
La situation se rapproche apparemment de celle d’avril 1971... à la fois dans le contexte d’objectif exprimé que dans les démarches engagées...
Une région historique avec les descendants des acteurs d’antan...et le même corps du côté de la force de la puissance publique !
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Une version des faits par les HERY MPAMORETANA et les milices de Rainilainga qui fait vomir ! Ce régime pourri adopte maintenant les méthodes des pires dictatures pour pervertir la vérité ! Le Népal doit servir de référence pour tous les jeunes de ce pays pour combattre la tyrannie et la corruption !
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Une Gouvernance non inclusive et non démocratique
Quel crédit accorder á une enquête initiée par des autorités, comme á l’habitude, juges et parties
Des hommes et femmes, citoyens lambda soucieux de leurs droits les plus élémentaires, ceux relatifs á leur santé et la jouissance de terres ancestrales.
Le pouvoir orange de Rainilaingarivony Cedric Rajoelina a choisi, comme méthode de gouvernance, l’affrontement et la repression violente.
Concitoyens sacrifiés sur l’autel du « paiement cash » c’est á dire de la CUPIDITÉ , seul systéme de valeur recevable aux yeux de RADOMELINA.
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Salama djiaby .
Voilà ce que méritent une partie du gouvernement à commencer par le 6e dan ...
Tirer à balle réelle sur des gens désarmés s’ appelle un crime, un assassinat et cela mérite une réponse à la hauteur !
Il faut enlever les armes à ces babakomba qui se prennent pour des django/cowboy et les équiper de tazer et lacrymogène et rien d’ autres , ils ne sont ps assez « évolués » pour autre chose ...
par 20 Minutes France
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