Le Groupement des Entités de la Société Civile pour la défense de la démocratie et des valeurs républicaines (GESCI) se félicite des accords de Maputo. Il considère la signature de ces accords comme une étape décisive pour la résolution de la crise politique malgache. Mais il souhaite une large diffusion de ces documents en version malagasy. « Une large diffusion de ces documents en version malagasy serait souhaitable » dit le GESCI dans son communiqué en date de ce jeudi 13 août 2009.
Les accords faits à Maputo sont rédigés en français. Or ils vont être appliqué à Madagascar et régir le régime de transition malgache. D’où la nécessité d’un texte en langue malgache. Un texte facile à comprendre pour tout le monde, surtout les paysans dans la brousse. Ainsi, la langue de rédaction de la charte de Maputo mérite d’être revue selon le GESCI. Pour le reste, il demande à tout un chacun de faire primer l’intérêt suprême de la nation devant les intérêts personnels.
Implication
Conscients des difficultés socio-économiques actuelles, plusieurs groupements de la société civile ont voulu apporter leur contribution dans la résolution de cette crise par des actions multiformes. Le GESCI, qui a tenu un point de presse à Ankadivato ce jeudi 13 août 2009, a déjà proposé sa médiation en vue de promouvoir une solution malgacho-malgache avec l’appui de la communauté internationale.
Après la signature des accords de Maputo, le GESCI est prêt à adhérer à ces accords dès que l’invitation sera lancée officiellement conformément à l’article 46 de la Charte de la transition afin que s’installe durablement à Madagascar une atmosphère de paix sociale et de concorde nationale. Le GESCI estime qu’à ce stade de la situation, les concours d’interprétation et de commentaire de ces accords seraient utiles si cela peut servir l’intérêt supérieur de la Nation.
Transition
Pour ce qui est de la transition consensuelle et inclusive, c’est une réalité qu’il faut faire vivre et mettre en œuvre selon le GESCI. Il faut créer les bases de la quatrième République qui respectera les valeurs républicaines et les principes démocratiques dans tous ses aspects.
Il faut aussi parfaire la réconciliation nationale afin de garantir durablement, la solidarité et l’unité nationale. Il faut aussi élire les dirigeants selon les principes de liberté, de transparence et d’égalité des chances des concurrents, au cours d’élections « disputées » et non « plébiscites ».
Le GESCI attire l’attention de tous sur les priorités immédiates qui devront être prises en compte. Il faut une évaluation de l’impact de la crise sur le plan économique et social, une relance des activités de production notamment dans le secteur agricole et une relance des investissements au niveau des secteurs secondaires et tertiaire.
Le GESCI lance aussi un appel à toutes les entités de la société civile en vue d’un renforcement et d’une intensification des actions de mobilisation, de sensibilisation et d’explication auprès des citoyens malagasy sur leurs droits et responsabilités dans le processus démocratique.
Le GESCI attire l’attention des Malgaches sur les difficultés qui attendent la population malgache et qui requièrent la solidarité et de la participation de tous.
Vos commentaires
« Une large diffusion de ces documents en version malagasy serait souhaitable »
Sans oublier :
Dia mba asiana maromaro koa any Paris mba hohitan’ilay namako izay ;nifoha maraina be izy androany namaly ireo commentaires omaly.Nandà be tsy nisy nanontany mantsy izy t@ 5:00 maraina.
Accords du Maputo=Nouvelle Transition./.
Tandremo:Andriama njato Ric hard Mahi tsison,Alain Ram aroson,Norbert La la Ratsi rahonana.
Mila olona matotra ny lehiben’ny Institutions rehetra.
Mila olona matotra ny lehiben’ny etemazaoro miaramila.
Mila olo-matotra ny Malagasy.
Hevitra tsara tokoa ny fandikana izany amin’ny teny malagasy ka haparitaka ho an’ny rehetra.
Izany dia midika ho endrika démocratia satria ny vahoaka mahalala io CHARTE io dia afaka mandray anjara mivantana na an-kolaka ny fiarovana ny fiandrianam-pirenena sy ny tombotsoa iombonana dia ny tombotsoam-pirenena izany.
Tsy misy intsony antony tokony hifandirana sy hifankahalàna satria ny fiaraha-mientana ihany no vahaolana tsara indrindra.
Henoko omaly ny fahafahan’Atoa Manandafy ka miarahaba azy manokana izahay nahari-pery tamin’ny tolona ho an’ny Démocratia.
Voasazy nohon’ny tsy fitovian-kevitra.
Mahaléova,mahalasàna tompoko.
Suivant la logique du G.E.S.C.I.,les accords de MAPUTO sont rédigés en mauvaise langue.D’où la nécessité d’un texte en malgache.Un texte facile à comprendre pour tout le « MONDE »,surtout les paysans malgaches".
IL FAUT CONSIDERER LES ACCORDS DE MAPUTO NULS parce qu’ils sont rédigés en mauvaise langue,selon la conviction personnelle de Basile RAMAHEFARISOA(2)22ramahefarisoa.
Basile !!! Tu parles malgache dans tes commentaires ? Basile est vraiment futile !!!!
selon leG.E.S.C.I.les accords de MAPUTO sont rédigés en mauvaise langue"(sic).
Pour Basile RAMAHEFARISOA,il faut considérer ces accords de MAPUTO « NULS » ?
BasileR.(2)22ramahefarisoa
bonjour basile,
la formule juridique est « nul et non avenu ».
je te rappelle que ces accords sont internationaux et le malgache n’est pas une langue internationale, telle l’anglais ou le français.
de plus, rajoelina a réinstauré le français dans les cours.
faut savoir ce que tu veux. nous, on sait ce que tu veux.
jacques
Salut Jack-no !
Mais que veux-tu !? Basy Rano ne sait plus à quel Saint se vouer, psycho-rigidité de sa part oblige ==> c’est Babazy qui est NUL en politique- politicienne mais il n’ose pas l’avouer en public, il prends ses rêves pour la réalité POINT BARRE !
Salut Basy Rano ! lol
jack-no !!!je sais ce que je veux :« NON aux ingérences des africains sous couvert de l’international dans les affaires malgaches »
Basile R.(2)22amahefarisoa
OUI à la souveraineté nationale.
Marina tokoa fa tokony natao tamin’ny teny Malagasy io fifanarahana natao tatsy Maputo io, SATRIA izy efa-dahy nanao sonia azy io dia Gasy daholo ary natao ho an’i Madagasikara ny fifanarahana ! Noho izany koa dia tsy tokony hisy hanan-kery afa-tsy ilay voasoratra amin’ny teny Malagasy.
Anjaran’ireo mpanelanelana no mampandika azy amin’ny teny Frantsay sy Anglisy, kanefa tsy azo apetraka ho ireo amin’ny teny vahiny ireo no tena izy, fa raisina ho fitaovam-piasan-dry zareo fotsiny.
Izahay aza dia te-hanao ANTSO AVO ho an’ireo izay hamolavola lalam-panorenana mba hametraka mazava fa tsy misy fifanarahana iraisam-pirenena azo ampiarina eto Madagasikara raha tsy vita dika amin’ny teny Malagasy, ary ilay amin’ny teny Malagasy ihany no manan-kery !
Fantatrareo ve ilay « CHARTE LAMBERT » ; fifanarahana miafina, sady sandoka, nataon’ny Frantsay sy Radama II ? Toa mampatsiahy ilay fifanarahana miafina nataon-dry Ratsirahonana, niaraka tamin’ny Frantsay tany Epinal.
Tao amin’ilay Charte Lambert io, izay natao tamin’ny teny Frantsay, dia nisy andiany iray tsy neken’ny Malagasy mihitsy, dia ilay mikasika ny fahafahan’ny vahiny mividy tany eto, satria mifanipaka amin’ny andiany faha-85 tamin’ny lalàna fototra teto Madagasikara manao hoe :
Ny tany eto Madagaskara dia tsy azo amidy na atao anto-bola amin’olon-kafa, na amin’iza na amin’iza, afa-tsy ny samy vahoakan’ny Fanjakany Madagaskara ; fa raha misy mivarotra na manao antoka amin’olon-kafa, dia atao gadralava mandra-pahafatiny. Ary ny volan’ilay nividy na ilay nanao antoka dia tsy azo arahina, ary ny tany dia miverina ho any ny fanjakana.
Io tsy-fifanarahana io no nataon’ny Frantsay ho antony nanafihana ny « Fanjakana Hova », izay notohizany tamin’ny fanapotehina ny taranaka Merina avy hatrany.
J’aime tous ceux qui poposent une sortie de crise le plus rapidement possible et le GESCI, je trouve, prend ses resposabilité.
Mais tout d’abord, il faut dire que bons nombres des hommes politiques et quelques intellectuelles du pays avaient contionné le COUP D’ETAT DE 2002. Les devoirs des hommes politiquent, me semble t-il, c’est de servir le pays le mieux qu’ils peuvent et bien évidement avec les moyens du bord dans le cas de notre pays.
QUI A GAGNE QUOI EN 2002 ? Nous voilà 7ans apres, sans etat, l’économie à génoux, le pays ne cesse de s’appauvrir et surtout on ne sait plus qui fait quoi, qui dirige quoi. Madagascar est comme un bateau fou depuis 2002, sans commendant, tout le monde veut etre president, tout le monde veut etre ministre, tout le monde veut etre directeur de je ne sais pas quoi, tout le monde veut avoir raison et tout le monde est intelligent.
Gouverner c’est prevoir, qui a prevu quoi en 2002 ? Maintenant, on va encore une fois embarquer le pays dans une direction on ne sait pas trop où, pour qui, pourquoi, personne ne sait.
Madagascar avait deux présidents democratiquement élu depuis l’independance ce sont : MRS Zafy Albert, et Didier Ratsiraka, il y a eu de l’alternance, peut-etre pas aussi bien que dans les pays occidentaux, mais il y a eu un début de stabilité politique avant 2002.
Si les hommes politiques de Tana, je n’ai pas dit Tananariviennes, ont tous les ambitions de direger le pays, UN pour etre président, il ne faut pas avoir peur d’affronter des élections, DEUX Tananarive n’est pas Madagascar, mais capitale de Madagascar et qu’on arrete de forguer à la tete du Pays tous et toutes les MAIRE de la Capitale.
Si les hauts plateaux veulent NY ADIMPOKO dans l’avenir, c’est le meilleur maniere de s’y prendre et cela depuis sept an.
Enfin, Madagascar est une ILE, si parmis qui pretendent de diriger le pays ne le savent pas encore, si elle echoue, nous tous, on echoue avec.
HOMME POLITIQUE FIER SOUTONS NOUS DE CE MERDIER OU VOUS NOUS AVONS MIS
UN MALGACHE EN COLERE
J’aurai aimé des accords malgacho-malgache mais si les accords de Maputo permettaient de dénouer une certaine situation de blocage, acceptons les tout en se méfiant des arrières pensées occidentales et de leur condescendance. Il faut toujours à l’oeil la mouvance Ravalomanana avec ses milliards projettés pour infantiliser et manipuler la population, elle continue de pratiquer le clientélisme.