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Culturel

Johary au CcEsca

Le « déléstage » est-il indissociable du groupe ?

lundi 11 février 2008 | Daddy R.
Jamais deux sans trois... Un « remake » est-il en vue ?

Décidemment, le groupe Johary a trouvé un bon partenaire pour ces retrouvailles avec les fans. Le déléstage a encore une fois fait son ravage lors du grand retour sur scène de la bande à Sefo au Cc Esca Antanimena, vendredi dernier.

Une décoration assez simple mais expressive, la bande au grand complet sur scène rejoint par Silo au clavier et Radanz à la basse ou à la guitare rythmique, ou encore Nali aux percus, puis, il y eut ce public assoiffé de revivre ces moments intenses avec leur groupe préféré.

Tout à été réuni pour que ce « show » du groupe Johary soit le plus interessant en ce vendredi soir où la pluie n’a pas empêché les noctambules de sortir. Hélas, après une première partie bien entamée, le public a eu droit à une dizaine de minutes de déléstage, au moment où les sentiments allaient dans tous les sens. Rado à la batterie soutenu par un Nicolas Vatomanga prêt à enflammer la salle ont fait de leur mieux pour combler le vide mais ont finalement préféré abandonner, telllement la panne a pris du temps.

Tout comme à l’Eldorado, le Ccesca ne possède pas de « groupe éléctrogène » pour remédier à la coupure d’électricité de la Jirama. Mais comme les
« fans » se sont déplacés pour apprécier du « spectacle », ces derniers ont été patients et compréhensifs par rapport à la situation.

On ne veut plus (re)poser la question concernant le professionnalisme car en cette période de pluie et en cette période où la Jirama n’assure pas, on ne sait guère s’il ne serait pas sage de prévoir une autre source d’énérgie ?

Une situation qui n’a rien enlevé à la nostalgie dès la première note de
« asosay miadana » ou
« vetsovetsonkira ». Un sentiment « dérangé » par la qualité de la prestation du groupe se laissant emporté par le « feeling » et gâché par la coupure. Sans parler le prix du confort du public qui a dépensé 15 000 Ar mais devant s’impatienter devant la situation car il n’y a pas eu d’autres solutions.

Au nom de la « qualité » !

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