Après avoir rencontré le président de la Haute Autorité de Transition (HAT), chef de file de la mouvance Andry Rajoelina, et obtenu son accord de participer à la réunion du 5 août 2009 à Maputo (Mozambique), le Groupe international de contact (GIC) conduit par Joachim Chissano, a accueilli au Carlton ce jeudi 30 juillet 2009, dans la matinée, la société civile au sens large : outre les organisations qui se réclament de la société civile comme le CCOC et le SEFAFI, le secteur privé ou la société économique, le monde syndical et les sociétés religieuses tel le FFKM et d’autres confessions religieuses. On notera la présence des personnalités connues comme Imbiky Anaclet, Madeleine Ramaholimihaso, Rasolo André, Roland Razafindramanitra, Guy Ratrimoarivony, Marie Annick Dahy, Lalao Randriamampionona et Fara Pierre Bernard.
- Mme Fara Pierre Bernard de la CCOC.
Le rendez-vous du Carlton de ce jeudi 30 juillet a été l’opportunité pour le SEFAFI de faire part de ses critiques à la communauté internationale qui fait du chantage selon le dernier communiqué intitulé « Garder le cap ». La question du refrain « retour à l’ordre constitutionnel » a été clarifié à la demande de la société civile. Il signifie créer des conditions favorables pour faire des élections crédibles, par exemple, la mise sur pied d’une plateforme constitutionnelle. Retour à l’ordre constitutionnel ne signifie pas nécessairement le retour d’un président dans son pays.
- Imbiky Anaclet.
La rencontre a permis à la société civile de mieux s’imprégner de l’esprit de la médiation à laquelle s’accroche le GIC et des objectifs de la réunion de Maputo. Il faut que les quatre présidents malgaches se rencontrent. Il faut qu’ils se regardent les yeux dans les yeux pour briser la glace d’abord. Qu’ils se disent tout ce qu’ils ont sur le cœur et qu’ils prennent des engagements ensemble pour encourager le processus de médiation. C’est ce qu’on a compris des brefs compte-rendus de la rencontre GIC – société civile.
Par ailleurs, Maputo ne serait pas l’étape finale et le GIC a conscience que le succès n’est pas forcément assuré. Toujours est-il que la situation sociale dans le pays demeure une des préoccupations du GIC, et que le GIC est là pour écouter les Malgaches. Madagascar fait partie du corps africain a encore insisté le GIC devant la société civile.
Vos commentaires
Les malgaches sont capables de trouver une solution « malgache-malgache » de sortie de crise(mora mora).Ils ont la volonté de participer à la recherche de solution à la crise.POURQUOI ????Aller à MAPUTO.
Basile RAMAHEFARISOA(2)22ramahefarisoa(b.ramahefarisoa@gmail.com)
VIVE MADAGASCAR !!!!!!
Toi, tu n’iras pas à Maputo alors, ça ne te concerne pas : On n’a pas besoin d’un zinzin là-bas, même le lapin ne voudrait pas de toi dans son équipe.
Alors tu peux toujours jacasser !
« Imbiky Anaclet, Madeleine Ramaholimihaso, Rasolo André, Roland Razafindramanitra, Guy Ratrimoarivony, Marie Annick Dahy, Lalao Randriamampionona et Fara Pierre Bernard ». il ne manque plus que Razanakolona le st père est l’équipe est au grand complet !
mais à part lylison, charles, ndriarijaona, noel, kotity, ra8 bis, ramakavelo, fidy, je pense que le reste du monde fait partie de la société civile !!! donc arrêtez d’être prétentieux et parler à notre nom sans avoir notre caution (élection).
vos élucubrations et masturbation intellectuelle n’intéressent que vos mirroirs. ne jamais confondre grande vitesse et grande vibration ou grande masturbation, vieux routards.
mais merci aux dignes fils d’Afrique, membres du GIC pour leur humble politesse. cela nous honore tous. car nous n’oublions pas que vous représentez le monde entier mais pas seulement le continent (comme certains idiots de service comme ramakavelo et jao jean le laissent entendre).
on vous remercie aussi, gens du GIC d’avoir servit beaucoup à manger à nos vieux biscards. thé, lait (ils sont tous buveurs de lait, misotro ronono), café, petit four, croissant à gogo, c’est pas tous les jours. je me demande s’ils avaient d’oreille pour vous, mais c’est un détail inutile car au moins vous avez dégonflé quelque chose en faisant semblant de les écouter. ils sont partis rassasiés, les poches pleines de sachets pour les petits enfants.
admirez leur joie en mangeant et en buvant ! c’est la jeunesse retrouvée.
Crise é, société civile é, aiza indray koa ilay zavatra hotarihin’i Atoa Ramakavelo ?
les malagasys en ont gros, mais alors gros sur la patate !
C’est dire l’ampleur du pataquès, j’y vois une profonde frustration dans les mentalités, une envie de règlement de comptes de tous ceux qui ont eu maille à partir avec un ou des politiciens, ou les systèmes dirigeants de l’époque.
La fracture est faite, mesdames, messieurs, nous nous sommes trompés de combat...ou alors ce n’est pas celui que l’on croit !
« il faut que les 4 présidents se rencontrent... Patati patata... » .Ils sont tous responsables de la misère malgache. Il faut vous resaisir Messieurs les Responsables Internationaux. Il y a une autorité et laissez la travailler si non le problème est sans fin. Misaotra Tompoko !