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Coopération

Enquête permanente auprès des ménages

La Banque mondiale a alloué deux millions de dollars

samedi 18 janvier 2020 | Mandimbisoa R.

Une somme de 2 millions de dollars a été allouée par la Banque mondiale pour la réalisation de l’enquête permanente auprès des ménages EPM-2020 dont le lancement officiel a eu lieu hier. « Cette enquête est très importante, parce que cela permet au pays qui ont su développer de mettre en place une planification. Or, on ne peut planifier sans les données », explique Marie-Chantal Uwanyiligira, responsable des opérations de la Banque mondiale pour Madagascar.

En effet, l’EPM devra fournir des informations détaillées sur le niveau de consommation et les conditions de vie des ménages en général à Madagascar. Cela dans chacune des dimensions de la vie quotidienne des ménages : crédit, épargne, emploi, dépenses en santé, éducation, logement, transport, culture et mœurs, ainsi que les chocs et risques auxquels les ménages sont confrontés…16 704 ménages, représentatives de la population malgache seront concernées par cette enquête menée par 124 agents ayant déjà reçu des formations y afférentes.

Cette enquête permettra également de mesurer l’ampleur des inégalités existantes entre les différentes couches de la population, d’étudier l’évolution du niveau de vie des ménages dans le temps et dans les 22 Région, de déterminer un profil de pauvreté et d’offrir un cadre d’analyse de l’impact des différentes mesures économiques, financières et sociales sur le niveau de vie des ménages.

Les résultats finaux sont prévus en juin 2021. La prochaine édition de l’enquête est prévue en 2023. Lors de la cérémonie de lancement de l’événement hier, le ministre, Richard Randriamandranto a sollicité les enquêteurs à aller au-delà du seuil financier de la pauvreté, parce qu’il n’y a pas que la pauvreté financière qui existe dans le pays, reconnaît-il.

Avec de tel investissement et au vu d’importance du projet, la représentante de la Banque mondiale, a indiqué qu’une équipe de cette institution financière accompagnera les techniciens malgaches à bien mener les projets. Des techniciens de Washington seront alors à Madagascar pour effectuer un suivi permanent de la réalisation de l’enquête.

Les études de ce genre sont censées être réalisées à un intervalle de 2 à 3 ans et nous en sommes actuellement à la dixième version. Parce que la dernière enquête réalisée à Madagascar remonte au 2012, et a fourni un taux de pauvreté de 71,5%. Au niveau de la Banque mondiale, les données publiées l’année dernière classifie Madagascar dans les cinq premiers les plus pauvres au monde en 2019. En effet, le PIB par habitant par an ne devrait pas être supérieur à 500 dollars par an.

15 commentaires

Vos commentaires

  • 18 janvier 2020 à 12:21 | nez_gros (#10715)

    2 millions de $ pour enquêter sur la consommation des menages ? A quoi joue la Banque Mondiale ?-2 millions pour enqueter ? de qui se moque-t-on ?
    - puis, cela ne saute-t-il pas aux yeux que les malgaches sont pauvres à 99 %, ne mangent que rarement , ne se soignent pas, ne se logent pas ? ne s’habillent pas, n’arrivent plus à se laver ?

    - Des aides qu’ils savent déjà, que ce seront à fonds perdus ?
    - qu’est ce que se cache derriere ces aides ?

    • 18 janvier 2020 à 12:26 | nez_gros (#10715) répond à nez_gros

      nos intellectuels ne pipent pas mots, par ignorance ou par beni oui oui (les intellos bourgeoisies tananariviennes, minorités certes, mais agissantes assurement) , car c’est la banque mondiale, donc c’est sacro-saint ?

  • 18 janvier 2020 à 13:16 | Besorongola (#10635)

    Il est vrai que l’exode rurale a connu une croissance rapide à Madagascar depuis 2009 . Après 20 années d’absence de Madagascar j’y étais au mois de janvier 2019 et je suis convaincu que la priorité pour lutter contre la pauvreté dans ce pays c’est de donner un pouvoir d’achat conséquent pour les plus démunis mais ce n’est pas de construite des villes , des plages ou des stades ultras modernes . Alors nous avons envoyé ce plan d’actions à quelques ministres et au Président lui-même et je vois que l’application débute sur le terrain. Mais il est vrai qu’il leur faut auparavant préparer des place adéquates pour les accueillir comme il a Rajao avant de déloger Anosibe, Fasan’ny Karana et d’ouvrir les Gares Routières d’Andohotapenaka et d’Ambohimangakely ou d’Ambohimanambola … certes il y avait eu aussi des oppositions mains leurs arguments étaient minces car les structures de remplacement étaient en place.

    PLAN D’ACTIONS DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETE A MADAGASCAR
    par BESORONGOLA.

    KITAPO IOMBONANA HO AN’NY SAHIRANA

    Une Politique Économique qui a fait ses preuves en Europe après la Deuxième Guerre Mondiale c’est les Revenus de Transfert.
    Cette politique économique et sociale a permis aux millions de foyers démunis d’après guerre de bénéficier des aides de l’État afin de retrouver des revenus mensuels minimums pour lutter contre la précarité et la pauvreté.
    Les Revenus de Transfert consistent tout simplement à taxer les plus riches pour donner aux pauvres afin de réduire les injustices sociales .

    Pour sortir les millions de Malgaches qui vivent dans la précarité, il faut prendre des mesures économiques et sociales fortes. Il faut une volonté politique radicale et sans précédent .

    Comment réaliser cette Politique des Revenus de Transfert à l’échelle de Madagascar ?

    Suite à de longues observations de fonctionnement de la société malgache, avec des études approfondies des us et coutumes de notre pays, il est constaté qu’il est possible d’appliquer la Politique Économique des Revenus de Transfert dans notre pays.
    L’économie informelle prend une proportion énorme dans notre pays et faute de mieux, la majorité des Malgaches s’y attachent pour survivre. Au bord des routes, en ville ou à la campagne, des petits commerces informels s’installent partout et qui nous donnent l’impression que tous les Malgaches sont devenus des vendeurs ambulants, des petits commerçants …Ces pratiques sont l’un des facteurs de blocage au véritable décollage économique pour notre pays
    Si nous voulons que les choses changent radicalement, il faut donc commencer par prendre des mesures radicales afin de réglementer ces commerces informels. Établir des « normes » pour toutes installation commerciale. Interdire purement et simplement tous petits commerces qui ne sont pas au norme. C’est à l’État d’établir les règles. Comme , par exemple, d’interdire tous commerces qui se trouvent à moins de 2 mètres des chaussées ...laissant ainsi un trottoir aux piétons. Cette mesure aura un impact afin de réduire la hausse catastrophique du taux d’accidents corporels sur les routes. Tous ceux qui vendent de la nourriture précuite , par exemple, doivent posséder une vitrine adéquate pour protéger les denrées alimentaires de l’avarie, des microbes et de la poussière….Ceci aura un impact sur la santé publique via la prévention contre les intoxication alimentaires. On pourra ainsi fixer la superficie minimum de chaque baraque commercial, ainsi que sa hauteur non seulement pour le respect de l’esthétique mais aussi pour lutter contre l’insalubrité aux bords des routes Malgaches.
    Le but ce sera de « formaliser » à long terme les petits commerces. Il est préférable de réglementer à petite dose, permettant aux gens de se restructurer et pour éviter les émeutes.
    Il faut ainsi des « mesures d’accompagnement » pour aider les gens concernés à s’aligner aux règles et surtout à leur aider à subvenir à la perte de revenu occasionnée par ces mesures. Des aides seront accordées à ceux qui mettent en pratique les règles tandis que des sanctions sévères frapperont les récalcitrants … Les agents de contrôles de l’État doivent être exemplaires et incorruptibles.
    Les Revenus de Transfert ont pour but d’aider les Malgaches les plus démunis à vivre d’une manière décente . Ceux qui vivent en dessous du seuil de pauvreté sont prioritaires .C’est à l’État de fixer ce seuil. Mais les compositions familiales seront tenues compte. Une femme seule avec enfants sera privilégiée à un homme seul en bonne santé, par exemple. Si la femme ou l’homme travaille, mais gagne très peu elle ou il ne touchera pas le même montant d’ « allocations » que ce qui est complètement sans revenu.

    • 18 janvier 2020 à 14:16 | nez_gros (#10715) répond à Besorongola

      gros , 20 ans d’abscence et tu pretends pouvoir resoudre avec ton programme.
      1)ton initiative est louable, bravo, mais il y a beaucoup de choses à ameliorer
      2)après guerre(1945), le keynesianisme etait en vogue, pas maintenant en ce periode de mondialisation
      3)trop microeconomie ton discours, . n’oublie pas que Yanis AKBARALY est l’un des 10 richissime africains, en exploitant les ressources de Madagascar, donc Madagascar peut pretendre une pissance regionale.
      T’as capté ou pas

  • 18 janvier 2020 à 13:18 | Besorongola (#10635)

    Revenus de transfert : Cas de la France.
    Lexique
    Les revenus de transfert (ou revenus sociaux) sont des revenus proviennent des opérations de redistribution réalisés par les pouvoirs publics.
    Définition
    Les revenus de transfert (ou revenus sociaux) sont des revenus proviennent des opérations de redistribution réalisés par les pouvoirs publics, qu’il s’agisse de l’État proprement dit ou des organismes de protection sociale. On parle parfois de revenus secondaires.
    Ces revenus de transfert sont donc des revenus qui ont pour objectif de couvrir plusieurs risques, les risques sociaux, que tout individu peut subir (avec des probabilités plus ou moins grandes certes …) :
    L’absence de revenus du travail du fait du vieillissement des individus (retraite).
    L’absence de revenus liée à la perte de l’emploi.
    L’absence ou la faiblesse des revenus pour les ménages les plus pauvres
    Une hausse de dépenses liés à des problèmes de santé (maladies, accidents du travail, etc.).
    Une hausse des dépenses liés à l’arrivée d’enfants (maternité, famille).
    Les dépenses liées au logement pour les ménages les plus pauvres.
    Indicateurs
    Les revenus de transfert sont mesurés par ce que l’Insee : Institut national de la statistique et des études économiques nomme plutôt les revenus sociaux. On peut suivre leur évolution globale et leur structure.
    L’INSEE calcule aussi la part de ces revenus parmi le revenu disponible (qui regroupe l’ensemble des revenus auquel on enlève les prélèvements obligatoires sur les revenus).
    Tendances
    En France, les revenus de transfert représentaient plus de 40 % du revenu disponible (y compris les pensions de retraite). Cette part est bien entendu plus élevée pour les retraités et plus faibles pour les actifs. Cette part est aussi plus élevée chez les ménages ayant le niveau de vie le plus faible.
    De 1949 à 2009, les dépenses en matière de santé et de vieillesse ont beaucoup augmenté en % du PIB en France : respectivement de 5 à 15 % du PIB et de 3 à 10 % du PIB environ. Les dépenses de protection sociale en matière de famille et de maternité sont passées de 5 % à 2,5 % du PIB environ. Ensuite, il y eut la création de l’assurance et de prestations en faveur des plus pauvres qui représentaient moins de 5 % du PIB en 2009.
    Enjeux
    Les revenus de transfert étant de nature très diverse, chacun d’entre eux pose des questions spécifiques. Seulement, un des problèmes communs à ces transferts est la façon dont on les finance. Comme ce ne sont pas des revenus gagnés directement, il faut déterminer qui les finance et comment. Un financement par cotisation sociale pose la question de son aspect redistributif (le taux étaux étant proportionnel parfois avec un plafond) et de son impact sur le coût du travail. Un financement par l’impôt pose lui la question de la place des partenaires sociaux dans l’organisation du système de protection sociale et de la distance (donc de l’absence de liens) entre celui qui paie et celui qui reçoit.
    Les pensions de retraite posent la question de leur niveau par rapport notamment au revenu des actifs dans une société vieillissante et dans une économie qui connaît des gains de productivité relativement faibles comme actuellement. Peut-on maintenir ce niveau ? Faut-il augmenter les recettes ? Faut-il repousser l’âge de départ à la retraite à taux plein ?
    Le remboursement des dépenses de santé pose la question de la responsabilité des malades face aux dépenses médicales ? Ne risquent-ils pas de réclamer trop de soins, de médicaments, etc. ? Mais choisissent-ils vraiment les traitements notamment ceux qui seront remboursés ? Ont-ils vraiment accès aux informations nécessaires ? Le niveau élevé des remboursements des dépenses de santé pose donc la question de leur limitation ? Faut-il réduire le niveau de remboursement obligatoire ? Mais cela ne pose-t-il pas le problème des inégalités entre individus face à la maladie ? Faut-il réduire les dépenses hospitalières ? Mais cela ne passe-t-il pas, finalement, par une réduction des effectifs dans les hôpitaux ou par une réduction des revenus des médecins, infirmiers, etc. ?
    Les dépenses en prestations familiales posent, quant à elles, la question du libre-choix des individus ? Les couples étant libres d’avoir des enfants, est-il nécessaire que l’État incite les couples à avoir des enfants ? Les incitations monétaires sont-elles réellement efficaces ? N’est-il pas plus pertinent d’offrir des services d’accueil des enfants pour faciliter la conciliation de la vie professionnelle des couples et de leur vie familiale ?
    En ce qui concerne les allocations chômage et le RSA ou Revenu de Solidarité Active donnés aux plus démunis, l’inquiétude porte sur les effets de ces allocations sur le reprise du travail, si elles sont relativement élevées et peuvent être perçues sur une longue période. Ne faudrait-il pas les réduire pour ne pas inciter les chômeurs à rester trop longtemps en dehors du monde du travail ? Mais est-on vraiment sûr du caractère désincitatif de ces allocations ? Ne faudrait-il pas aussi regarder du côté des revenus du travail : ne sont-ils pas trop faibles malgré l’existence du SMIC : Salaire minimum interprofessionnel de croissance ? Et notamment pour les individus qui travaillent, sans vraiment le vouloir, à temps partiel ? Ne faut-il aussi réfléchir sur les modalités d’accompagnement des personnes au chômage ?

  • 18 janvier 2020 à 13:18 | Besorongola (#10635)

    Comment financer le KITAPO IOMBONANA ?
    Le principe des Revenus de Transfert c’est la redistribution de revenu, c’est à dire de taxer les plus riches pour aider les plus pauvres. Plusieurs formes de Taxes sont envisageable pour le cas de Madagascar . On pourrait par exemple établir des Taxes sur les véhicules de luxe et les 4X4 et sur les biens immobiliers hors résidence principale...Les aides internationales peuvent aussi renforcées le financement du Kitapo iombonana. On peut aussi encourager les « tsara sitrapo » à verser leurs contributions dans le « kitapo iombonana » pour aider les plus pauvres et en contre partie ces tsara sitrapo auront le possibilité de réduction fiscale.
    Comment réaliser concrètement le Kitapo iombonana ?
    1° Pour la transparence et la facilité des contrôles chaque bénéficiaire doit posséder un Carte Nationale d’Identité valide et un Compte Bancaire pour les virements des Allocations. Le compte Épargne sera privilégié pour éviter aux bénéficiaires déjà pauvres de payer des frais bancaires.
    Comme la plupart des gens pauvres ne possèdent pas de compte bancaire à Madagascar, un organisme social créé s’occuperait d’accompagner les gens dans leur démarche de demande de Carte d’Identité et d’ouverture de compte Épargne.
    Tout transfert d’allocations se fera uniquement par virement bancaire pour éviter les manipulations d’argents liquides, source de détournement.
    2° C’est à l’État de fixer les modalités de paiement et les barèmes de montant des allocations selon des critères définis plus haut.
    3° On peut en cas échéant commencer par recenser les catégories de personnes qui sont vraiment démunies et qui ont besoins d’aides d’urgence.
    Quels sont les avantages de cette Politique ?
    Non seulement cette politique aide les plus démunis mais aussi booste la demande au niveau macroéconomique. C’est ce qu’on appelle politique keynésienne en jargon d’économiste du nom de l’économiste britannique John Maynard Keynes. L’État intervient pour hausser le pouvoir d’achat des Malgaches qui à leur tour iront faire leurs achats. Ce n’est pas les nourritures qui manque à Madagascar mais le pouvoir d’achat de la majorité des Malagasy est trop bas. Depuis quelques années, le marché Malagasy est inondé de produits non seulement locaux mais aussi d’importation. Mais selon l’échelle de Maslow, les Besoins Vitaux comme la nourriture, le logement et la prise en charge des soins sont les plus urgent. Un coup de pousse chez les plus pauvres augmentera spectaculairement le niveau de la demande et dynamise la production surtout agricole de notre pays.

    Diffusé en Mars 2019.

    • 18 janvier 2020 à 13:31 | Vohitra (#7654) répond à Besorongola

      Fa sao kosa dia heverinao fa eto ilay plan d’actions no alefa e ?

      Any ambadika any alefa dia any amidy izy ity fa tsy eto kosa e !

    • 18 janvier 2020 à 14:53 | betoko (#413) répond à Besorongola

      C’est prévu dans l’IEM , pour pouvoir accroitre le pouvoir d’achat même pour une minorité l’Etat va construire des logements sociaux et aussi des routes . Il faudrait aussi qu’on trouve des débouchés concernant nos fruits et légumes qui sont en surproduction , il suffit d’aller sur la route d’Antsirabe ou vers Ankazobe pour le constater . On y trouve des tonnes de légumes entassés au bord de la route ,dont personne est demandeur , l’exportation vers l’île Maurice ne suffit pas

    • 18 janvier 2020 à 15:51 | Turping (#1235) répond à Besorongola

      Besorongola ;
      Comment financer le « kitapo iombonana » pour distribuer les revenus du transfert . Même la rhétorique dépassant les théories keynesiennes ne peut s’abstraire de la logique où la création de richesses (matérielles & humaines ) sont avant tout un facteur endogène pour s’en sortir avant tout afin de créer un paradigme cyclique . Cela revient au financement de la distribution de richesse .D’accord en taxant les riches mais par contre sans créer de richesse c’est non évolutif.La Chine de Deng Xiaoping a montré la voie ,....

    • 18 janvier 2020 à 16:26 | Turping (#1235) répond à Besorongola

      Besorogonla ,
      D’accord pour la politique de la solidarité et cohésion sociale envers les plus démunis sans imposer trop la politique de l’assistanat perpétuel .

  • 18 janvier 2020 à 15:28 | FINENGO (#7901)

    @ betoko (#413)
    Je cite :
    Il faudrait aussi qu’on trouve des débouchés concernant nos fruits et légumes qui sont en surproduction.

    Oh le Jomaka !!!
    Tu es d’une intelligence très limité d’après ce que je vois.
    Si le Pays est en surproduction de Fruits et Légumes, pourras-tu nous expliquer pourquoi le Pays n’est pas en autosuffisance alimentaire.
    http://www.lagazette-dgi.com/?p=34405

    Imaginons tout de même que Babakotoland serait en surproduction de légumes et de fruits, as-tu oublé le fameux investissement sur Djibouti pour Nourrir les Militaires Français et Américains sans oublier les Chinois ???? Hein !!! le Jomaka.

    Misérable Betoko à chaque fois que tu ramène ta Fraise, tu ne nous contes que des Conneries invraisemblables, à l’image de la Vendra Betsileo Isandra.
    Vous n’êtes que deux Mi.nables.

    • 18 janvier 2020 à 16:31 | Besorongola (#10635) répond à FINENGO

      @ Vohitra.

      A chaque fois que vous intervenez par rapport à mes posts vous me décevez grave . Et pourtant j’avais beaucoup d’estime sur votre capacité d’analyse et votre manière d’écrire en français et en malagasy . Permettez -moi de vous dire un instant avec tout le respect que je vous dois : Vohitra vous êtes très fort dans les critiques mais vous n’apportez pas grand chose en solution … Votre seul soucis c’est de remettre Ravalo au pouvoir et pourtant Ravalo et Rajoelina ont le même profil , ce sont des hommes d’affaires qui aiment l’argent mais qui n’ont pas fait des études supérieures... vous allez encore me dire que vous n’êtes pas Tim mais non je vous ai déjà désavoué ici que vous êtes une vraie bête de la politique et spécialiste de langue de bois . C’est votre droit mais c’est le peuple qui est souverain . Je sais que Rajoelina n’a été élu que par à peu près 5 millions de gens sur 25 millions mais il est élu quand même avec triche ou pas . Mais dîtes moi est-ce que vous pensez vraiment que ni Tsiranana ni Ratsiraka ni Ravalo n’a pas triché en 2002 et 2007 ? . Seul Rajao ne fait pas partie des tricheurs et la preuve il n’a ramassé que 8% alors qu’il était sortant.Il faut l’aider ceux qui ont de bonne volonté et s’il fait la sourde oreille c’est là seulement qu’il faut agir autrement à mon avis Je ne fais pas de la politique contrairement à vous , mon seul objectif c’est que la pays s’en sorte . Si Rajoelina ou un autre arrive à le faire j’applaudirai .
      Des projets comme celui du Kitapo Iombonana j’en ai dans tous les domaines ( médical, financier, entreprenariat …) c’est mon métierr et je les vends à certains mais pas pour le cas de Madagascar . Ici je diffuse c’est juste pour info car il y a quand même quelques décideurs malagasy qui regardent ce forum. C’est gratuit pour les Malagasy et tôt ou tard, les gouvernants quels qu’il soient seront obligés de l’appliquer car même si Antananarivo devient moderne comme New York et Toamasina comme Miami , les pauvres resteront toujours des pauvres et de plus en plus pauvres si personne ne les aide pas … Les Etas Unis est la première puissance économique mondiale mais c’est chez eux qu’il y a plus de démunis et de criminalité. Ce n’est pas à vous que j’apprends ceci .
      Sans rancune... comme on dit souvent après une attaque ou contre attaque chez les hypocrites mais moi je suis sincère .

    • 18 janvier 2020 à 16:56 | nez_gros (#10715) répond à FINENGO

      @besorongola, ta theorie c’est du copier-coller, du keynesianisme, matiné d’economie sociale et solidaire, en mettant au centre l’epargne solidaire.

      1)C’est inssufisant et donc hors contexte en cette periode de mondialisation

      2)C’est trop micro-economie, donc c’est un peu petit-joueur

      3)et si tu es de HERY(car apparement tu lui mets trop de creme et pommade), cela te disqualifie, car HERY est un voleur

    • 18 janvier 2020 à 19:06 | Vohitra (#7654) répond à FINENGO

      Oh ry Besorongola a,
      Modia malakilaky ianao,
      Fa Ingahibesola miandry anao ao an’ala-trano ao !...
      Hody ihany ilay maditra…

      Quelques lignes tirées de la fameuse chanson d’antan de XHI…

      De prime abord, je ne suis pas ici pour apporter des solutions aux problèmes crées par les régimes de kleptocrates qui s’étaient succédé au pouvoir, encore moins pour celui du calife qui continue d’apporter sa part de responsabilités dans le malheur et débâcles socio-économiques du pays, et qui risquent dans la tournure des choses à évoluer dangereusement vers le sens irréversible…

      Je fais et j’avance mes critiques, à charge pour ceux à qui elles sont destinées de confirmer ou d’infirmer la véracité de ce que je dis, quand à moi, je n’avance pas par acquit de conscience sur un terrain glissant sans appui pour maintenir l’équilibre de mes propos, d’autant plus que les affidés et autres zélateurs affichés de votre espèce ne font, par des avis insipides et affirmations hasardeuses, que peupler de rhétorique troublante à force de soumission aveugle à des causes qui n’ont fait qu’apporter paupérisation, ruines et désolation pour la plèbe et le ressenti collectif.

      Ici, dans les colonnes de MT, je n’ai épargné que deux personnalités politiques ayant dirigé ce pauvre pays, Dadabe Tsiranana et le Professeur Albert Zafy. Eux, ils n’étaient pas devenus superbement riches une fois en dehors du pouvoir, et ils n’avaient jamais, et à aucun moment, humilié et ridiculisé le peuple, meurtri et agressé dans leur dignité profonde en tant qu’humain, et ces deux personnalités étaient tellement si proches du peuple à force d’humilité débordante…et de franchise sans égal…

      A plusieurs reprises, dans mes avis et propos, le laitier et le TIM avaient eu leurs parts de critiques, pour ne citer qu’il y a quelques jours, les pratiques odieuses du régime dans le recrutement des cadres provenant du privé pour rejoindre les arcanes et coulisses de l’administration publique et les déceptions et frustrations qui s’en étaient suivis comme corolaires…

      Quand au régime Rajaonarimampianina, soit heureux qu’il avait pu recueillir ces malheureux 8 %, peut être que c’est déjà à coup de triche qu’il était arrivé à ce stade, la bête n’avait pas suivi la manigance car déjà engagée à brouter dans d’autres pâturages plus enrichissants…mais de son régime, l’histoire avait retenu des noms célèbres dans des faits peu honorables, tels les quatre dames, Nicole, Herisoa, Claudine et Voahangy, sans parler des Mathieu et son oncle de pasteur, Barinjaka, Mbola, Jaovato, Eddy, le pilote échouant en crash landing à Ambany atsinanana, le gôlibe Maharante…et le gars de chez Adema…et vous, peut être, vu votre manière de le défendre ici sans discernement en souhaitant dans votre for intérieur que le peuple soit amnésique des faits de port de mallettes bourrées destinées à acheter les consciences des élus, quitte à assurer le dispatching dans les toilettes d’une institution de la République…et la plupart sont devenus fugitifs actuellement…tiens, vous aussi, vous n’êtes pas présent au pays, on ne sait jamais quand avez-vous abandonné la barque…ah, j’ai oublié le gérant de l’hôtel ravintsara, le conseiller qui avait, me semble-t-il, importé frauduleusement des armes ayant des liens avec le fameux fugitif Houcine Arfa…

      Que c’est dur d’être un fugitif à cet âge là, n’est-ce pas le faux artiste ?
      Bref, du jamais vu dans l’histoire de la République, qu’un parti politique qui n’avait pas participé à une élection législative était devenue la majorité au sein d’une assemblée parlementaire, c’est de la magie hein ?
      Ne déshonore pas ainsi le nom de l’artiste malgachisant XHI en usurpant comme pseudo le titre de sa chanson phare…allez du vent le fossile !

  • 18 janvier 2020 à 17:52 | Besorongola (#10635)

    Alors le Gros nez se veut aussi Grande gueule ?
    Tu piges gros ?

    1)Sors- nous tes grands jeux alors si tu me trouves petit joueur, nous avons tellement hâte der savoir le fond de ta pensée (cf. Vohitra) sur la Mondialisation et sur le Keynesianisme.

    2)Montre-nous à part Hery qui n’est pas voleur de tous les Présidents Malgaches.

    Sinon le reste ne mérite même pas de commentaire .

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