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Les violences à Madagascar, alimentées par des tensions sociales et politiques, continuent de susciter l’attention de la communauté internationale. Les appels à la paix, comme celui du pape Léon XIV, contrastent avec des déclarations plus polémiques, à l’image de celle de Jean-Luc Mélenchon.
Le pape Léon XIV appelle à la paix et à la réconciliation
Face à la vague de violences qui secoue Madagascar, provoquant la mort de plusieurs personnes, le pape Léon XIV a exprimé sa profonde tristesse. Dans un message rendu public, le souverain pontife a lancé un appel vibrant aux autorités et à la population malgache pour qu’ils s’engagent en faveur de « la promotion de la justice et du bien commun ».
Dans un contexte marqué par des tensions sociales et politiques persistantes, le pape a souligné l’urgence de privilégier le dialogue pour mettre fin aux affrontements. Il a exhorté l’ensemble des acteurs malgaches à œuvrer pour la réconciliation nationale, plaidant pour une résolution pacifique des conflits. « La paix est un bien précieux qui nécessite l’engagement de tous », a-t-il déclaré, insistant sur la nécessité de surmonter les divisions pour bâtir un avenir commun.
Jean-Luc Mélenchon : une déclaration polémique
De son côté, le leader de La France Insoumise (LFI), Jean-Luc Mélenchon, a surpris par une prise de position inattendue sur la crise malgache. Lors d’une intervention publique, il a évoqué la situation à Madagascar en reprenant le slogan populaire « Macron dégage ! », utilisé lors des manifestations en France. Cette déclaration, qui semble établir un parallèle entre les contextes français et malgache, a suscité des réactions mitigées. Si certains y voient une tentative de solidarité avec les mouvements de contestation à Madagascar, d’autres critiquent une approche simpliste, jugée hors de propos dans un contexte aussi complexe.
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Vos commentaires
Ces revendications et manifestations sont justifiées. Mais au lieu de demander des têtes, qui si elles tombent au prix de violences et pertes innombrables à tous niveaux, seront remplacées par d’autres, qui feront exactement la même chose à leur profit. C’est comme ça depuis 60 ans. Le ou les hommes providentiels n’existent pas. Il faudrait que les électeurs se mobilisent, que la rue apprennent à demander des comptes et des actes concrets aux régimes en place, que les manifestants exigent des résultats plutôt que des têtes. Le pouvoir du peuple, le pouvoir de la rue, oui, mais pas pour couper des têtes, aussitôt remplacées par d’autres, quelques fois encore plus pourries que les précédentes.
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Bref, on tourne en rond.
En réalité, personne n’a fait l’effort d’apprendre ce qu’est une société. La culture politique est au niveau des paquerettes depuis longtemps.
La dernière personnalité politique ayant eu une idée de ce qu’elle voulait pour lui et son peuple est mort en 1828.
Depuis, chacun gère sa petite boutique à court terme.
Nous sommes ainsi et nous l’avons hérité de nos ancêtres sans jamais avoir voulu faire mieux qu’eux.
Izay adala no toa an-drainy. Nous en sommes là depuis 1896
Il faut simplement que Madagascar puisse mener une politique qui privilégie sa population et pas les mafia bi nationale d esclavagistes bandits vaza et karanas etc
Et ça passe par les tribunaux et heureusement aux États-Unis y a pas prescription et alors comme en France sarko est bientôt au zonzon bref mora mora pas de bêtises pas d appel à ceci cela le fruit francafrik va tomber et bibi bientôt à la tulipe ...hihihi
La VIOLENCE actuelle á Madagascar
Le président du Sénat actuel, le retraité militaire dit BAOMBA est le 1er dépositaire de la VIOLENCE BRUTE.
Seul l’ECHAFAUD, pour cette ignoble personne constituera une belle avancée pour l’humanité toute entière.
MORT. AUX CONS
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