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Démocrafika
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« Conférence Internationale pour l’ Autosuffisance Alimentaire » ouverte à Ivato ce 16 /06/2022 ,
écrit ci-dessus à 9:58 am la besileo foza femelle couillue isandra .
Bof ! On sait depuis longtemps que les foza aiment les prises de parole et les kabary, la plupart du temps avec des phrases bizarroïdes qui n’ont pas de sens ou allant dans le sens contraire aux normes [comme la malnutrition serait un droit pour tout citoyen à Madagougou].
Mais les conf’ et les exposés, on en faisait beaucoup à l’école et à tous les niveaux .
Et quand on est devenu adulte responsable en activité dans la vie de la société, on tâche davantage à matérialiser des choses concrètes en mettant en pratique ce que l’on a appris à l’école !
En ce qui concerne la production de riz, ou de maïs ou autres légumes,
comme en ce qui concerne l’élevage de zébus
ou la pêche en mer ...
qui croirait que les Gasy n’ont jamais su les faire ?
Mais pour le riz : qui avait voulu en contrôler son commerce en partant du producteur jusqu’à l’assiette du consommateur, en allant collecter le paddy [riz non décortiqué] chez le producteur lui-même ; mais promettant le paiement du produit ultérieurement [paiement la plupart du temps jamais effectué] « tuant » ainsi la production de riz [le paysan pas bête ne produit plus de riz pour la vente, mais uniquement pour sa consommation].
Et pour le zébu, qui avait organisé ces incessants vols de zébus, pour en exporter la viande, laissant le paysan propriétaire des zébus totalement sans recours autre que verbale pour unique lot de consolation ?
Et qui avait autorisé ces bateaux-usines japonais et chinois à dépeupler nos mers, laissant nos pêcheurs à nous totalement dépossédés de ce que la nature produit et qui doit leur revenir naturellement de leur droit naturel ?
Et pour le fun : qui avait eu l’étrange idée de « s’approprier » les fameuses rizières d’ Ambohitrimanjaka pour y bâtir des « buildings » ?
Je sais : « Les routes ne se mangent pas » !
Mais je me demande si ce que l’on appelle « building » peut calmer la faim du paysan qui n’a plus sa rizière !
Plein de choses dans la vie à Madagougou m’échappent !