Ces gens ne font que suivre les andafy, leur modèle qui cherchent le tany malemy hanorenam-pangady au lieu de copier l’exemple de gens comme Rajoelina et Ravalo, Ravatomanga, Edgard R, etc, qui travaillent dur pour pouvoir s’en sortir tout en restant au pays.

Pourtant, c’est le moment propice pour les nationaux d’investir à Madagascar, avant l’arrivée des gros investisseurs internationaux, qui sont encore bloqués par les restrictions sanitaires, parce qu’après ce sera la saturation, les créneaux se feront rares et l’espace des affaires sera plus en plus serrée.