@ Vatomena,

Veuillez m’en excuser car c’est ici que je vous donne mes points de vue...

Comme vous le savez, ces infrastructures avaient pu servir en premier lieu à la production dans les concessions coloniales ainsi que les exportations des produits vers la métropole, bien sûr, en bénéficiant des forces de travail gratuites de la part des indigènes corvéables…combien parmi ces derniers en avaient soufferts terriblement et avaient même perdus la vie du fait de ces procédés inhumains et atroces…

Après le départ des colons, c’est là uniquement que je rejoins vos points de vue, les pouvoirs politiques successifs n’ont pas su préserver et rentabiliser ces infrastructures…et en procédant de suite à un vaste projet de réforme agraire qui aurait pu bénéficier à l’ensemble du paysannat Malagasy…tout en maintenant un réseau d’accompagnement et de service d’appui efficace au profit des producteurs…