L’atmosphère générale semble se détériorer avec des foyers de contestations qui s’organisent au fur et à mesure où le pouvoir patine dans ses certitudes d’une émergence qui s’étiole faute de devoir reporter à demain, les urgences d’hier dans un contexte de faillite répétée..
Tandis que le dragon de l’océan indien, Maurice commence à se vacciner grâce au vaccin indien et promet ainsi que 60% de sa population le serait fin 2021, ici, silence radio assourdissant, on s’enferme dans le déni tandis que le boomerang de la suffisance présidentielle ringardise un pouvoir obligé d’avaler son chapeau : simple départ d’une très longue série future ...
Dans les semaines à venir, le pouvoir joue gros pour conserver une certaine crédibilité tant au niveau national qu’international en citant le vaccin, Johannesburg, la contestation intérieure naissante..
Après avoir mangé son pain blanc dans le temps béni des promesses, le pouvoir se voit contraint comme le maçon au pied d’un mur, où seule la première pierre avait été posée en grande pompe, d’attendre désormais des financements pour achever l’essentiel et faire venir les ingénieurs chinois ...
Il semble de toute évidence que la voilure de l’émergence doit être réduite et certains projets restés dans les cartons pleins de la présidence...
Aujourd’hui, « le faire comme si »devient la ligne de conduite pour demain, resteront les petites inaugurations pour occuper un emploi du temps présidentiel habitué depuis deux ans à des allers et retours incessants en province et comme aime à le répéter l’adage : il faut que jeunesse se passe !
Mais à quel prix ?’...