Vohitra,

le point sur lequel je suis d’accord..c’est quand vous dîtes :
« il faudrait que cette population locale sache où elle veut aller dans le chemin du progrès, qu’elle arrive à cerner et à définir quel genre et type de développement elle voudrait atteindre....... »

c’est juste.... mais comment y arriver car pour l’heure ce n’est pas le cas.
il faut d’abord travailler pour et bcp dans ce sens pour pouvoir l’atteindre.. non ?

et vous poursuivez par ces phrases qui suivent :.
« ..’. il faudrait que cette population locale sache où elle veut aller dans le chemin du progrès, qu’elle arrive à cerner et à définir quel genre et type de développement elle voudrait atteindre..... »

mais Vohitra,
ce n’est pas en choisissant un politicien véreux que ce chemin du progrès soit trouvé par les populations locales.
il y a bien qq travail à faire pour cela
sinon on ne fait que tourner rond dans le labyrinthe.

et qd vous dîtes ; « il faudrait .......et ainsi de suite.’ »
c’est aussi mon souhait cela mais
le doute est là par votre formulation ci-dessus et il faut d’abord lever ce doute avant tout et balayer l’écurie.

et vous foncez en affirmant ce qui suit :

« vous êtes en train d’infantiliser et de dévaloriser les capacités de résistance et de résilience de cette population rurale »

non Vohitra, je le sais et je ne minimise pas cette capacité de résistance à laquelle elles sont confrontées.
soit vous faites un big raccourci,
soit vous ne m’avez pas bien saisi car je me suis mal exprimé et j’assume.
loin de moi d’infantiliser les vahoaka, villageois ou pas.
si ce qu j’avais pris comme exemple choquait certaines personnes, cet exemple a été durement mal choisi.
sincèrement je leur prie de m’en excuser.
tout compte fait, je l’aurai formulé autrement avec une tournure un peu édulcorée mais bon la sincérité est une seconde nature.

sur ce Vohitra, portez-vous bien
et merci pour cet échange.