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La deuxième journée de la réunion politique organisée par la Coordination nationale des organisations de société civile (CNOSC) sous le parrainage des « Raiamandreny mijoro » s’est déroulée sans les ténors des trois mouvances. Ce ne fut que vers 15h 30 que les trois mouvances politiques ont rejoint les autres formations ou groupements politiques qui ont discuté sur un certain nombre de thèmes relatifs à un accord éventuel. Installés autour d’une table ronde sous la supervision des observateurs de la SADC, les partis politiques parmi lesquels des éléments satellites des trois mouvances ont décidé de prendre comme document de base la charte de Maputo et de la comparer avec le contenu de l’accord du vendredi 13 août signé à Ivato. Apparemment une synthèse des deux accords est en cours quand on pense que la méthodologie adoptée a été de trouver les dénominateurs communs aux deux accords. Ainsi dans la gestion de la transition, seuls le Conseil supérieur de la Défense nationale et le Conseil économique et sociale ont été mis de côté pour confier les débats et décisions à leur sujet aux principaux concernés, c’est-à-dire aux militaires pour le premier et aux opérateurs et à la société civile pour le second. Tous ont donc admis qu’il faut un gouvernement d’union nationale ; que le Congrès de la transition (CT), le Conseil supérieur de la transition (CST) et le Conseil national de réconciliation (CNR) sont nécessaires.
Bref, la réunion va se poursuivre ce jour et les participants espèrent qu’elle s’achèvera comme prévu par un accord qui ne sera finalement que proposition car tous ont admis que l’instance décisive et supérieure demeurera la Conférence nationale. L’assemblée a confirmé l’effectif des membres de chacune des structures de la transition, soit 125 pour le CST, 256 pour le CT et 40 pour le CNR. La proposition selon laquelle il faut intégrer tous les signataires dans les structures de la transition pour satisfaire tout le monde a semble-t-il été retenu mais tout dépend des décisions de la Conférence nationale.
Vos commentaires
Quel accord ???
Ai-je tort en soupçonnant qu’une partie de CNOSC roule pour des accords rejetés (Maputo-Addis) ???
En suivant Madame Lalao RANDRIAMAMPIONONA,ça sent « l’africain » et toujours « SADC » collé(e) au derrière.
Peut-on savoir le coût de cette réunion ???des fonds versés par la France,le Norvège et le Pnud.
QUI MANIPULE QUI ??
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
Ramatoa Lalao Randriamampionona ve no hevrinareo ho neutre ? Tena diso hevitra ianareo raha izany satria hita niharihary toy ny tafika andrefantanana ny fihetsiny ary tsy takona afenina toy ny vay ankandrina fa manohana ny 3mouvances izy omaly teny Vontovorona.
On a tout essayé et passons aux élections. Les 3 mouvances jouent pour le POURRISSEMENT et leur comportement est très révélateur. Le nouvel accord qu’elles cherchent c’est l’impunité. Avis au tenant du pouvoir actuel : même cause, même effet.Misaotra Tompoko fa AMPY IZAY.
Qu’importe qui fait quoi, qui cherche qui, Kisusseki, qui roule pour qui ... !!! Du japonnais !
Ratsiraka a été trop longtemps au pouvoir pour placer ses « pions » pour rester « à vie » au pouvoir que ni Zafy, ni Ravalomanana n’ont rien vu et compris.
J’entends par « pions » une certaine philosophie, un certain comportement et non des personnes ... C’est un sacré joueur d’echecs. !!! Après lui, le déluge ...
Tous ceux qui ont suivi sont tombés dans le panneau et que c’était bête : pourquoi Ravalomanana a voulu aligner les gendarmes comme les policiers ? Quelle erreur fatale !!! Etc ...
Zafy, est pratiquement comme le père Tsiranana. Il n’a rien compris sur le fait qu’il y a autant de généraux que de soldats ... Ratsiraka a mis en place tout simplement la politique de « diviser pour régner » en servant tous ses frères d’armes ...
Comme au jeu de l’Oie (ou loi), M/car tombe, de facto, dans la case « retourner à la case départ sans passer par la caisse » (pour encaisser une prime). Quel recul, quel retard, quelle perte, ...
Par comparaison, la situation actuelle est pire que lors de la préparation de l’indépendance dans les années 1956 où La France faisait autorité.
Actuellement, nous ne sommes que livrés qu’à nous-mêmes et on ne s’entend pas, on ne s’écoute pas et on ne se respecte pas tout en bravant le « Fihavanana ».
Quelle hypocrisie ! Quelle mentalité ! La risée du monde entier passe encore mais notre capacité à balayer devant notre porte est notre propre honte !
« Mandrora mitsilany », hoy ny fitenenana !
C’est immature, irresponsable et inconséquent. Quel dommage !!!
A quand les « fifohazana » politiques ?
Kivy tanteraka aho ry zareo ah !
Tsy mbola nahita mpitondra sy mpanao politka manao kilalaonjaza ny firenana misy azy toy izao aho.
Mba betsaka ihany izay hadalana sy fampanantenana poakaty nanaovana ny vahoaka malagasy izay fa tsy mbola nisy hoatr’ity.
Vers un nouvel accord ou vers un nouvel desaccord ?
Vay ankandrina ity ka sady maharary no mahamenatra.
Tsy misy maha izy azy ny malagasy intsony !!!
mahagaga@gmail.com