17 militaires dont un adjudant chef responsable de l’armurerie, et 3 civils sont impliqués dans le vol de deux caisses de munitions contenant au total 5000 pièces, dont essentiellement des balles pour kalachnikov et pour des pistolets automatiques, qui a été constaté il y a quelques jours à la base aéronavale d’Ivato. Selon les résultats des premières enquêtes, le vol s’était fait progressivement et en continu afin de ne pas éveiller les soupçons. Le vol n’a été constaté que le 13 janvier 2014 lors des inventaires. Les individus incriminés ont été déférés devant le Parquet ce mardi 28 janvier.
Des membres du Congrès de la transition refusent d’évacuer les studios qu’ils occupent à Tsimbazaza. Ils sont dans leur droit, estiment-ils, car leur mandat ne s’achève qu’au lendemain de la proclamation officielle des résultats des législatives. Le président du Congrès les a invités à déménager avant vendredi 24 janvier pour que les réparations des locaux puissent commencer ; des travaux de réparation des studios ont été prévus et ils devraient s’achever avant que les nouveaux députés élus n’emménagent.
Recueilli par Bill
Vos commentaires
Vite dit : Des manges me.de.
Toujours pareil avec ces énergumènes. Ce sera encore la même chose avec les nouveaux députés. Ces studios sont de véritables maisons de passe. Les sièges des wc y sont utilisés à la turque avec du papier journal en guise de pq.
Voilà bien la preuve que les dahalos sont approvisionnés en armes et munitions par les militaires.
Quant aux vieux croutons rivés à leur siège, rien d’étonnant. La clique à rat jouel fera tout pour entraver la bonne marche des affaires publiques et empêcher le Président légitimement élu de mettre en place sa politique de redressement du pays.
Basile RAMAHEFARISOA-1943
b.ramahefarisoa@gmail.com
C’est là qu’on constate qu’il y a du désordre et discordances partout ...
L’arrestation de ces militaires relèvent exactement de quelle autorité ?
De l’autorité civile ou de l’autorité militaire ?
Dans cette affaire, à priori, l’autorité militaire a failli à leurs responsabilités de surveiller leurs militaires, leurs actes et l’arsenal, ... dans leurs enceintes ou bases ... plus ou moins « sécurisées ».
Si j’ai bien compris, on peut entrer, faire ce qu’on veut et sortir sans problèmes à BANI ...
L’officier responsable de la BANI n’a rien vu ... depuis des mois, des jours ...
C’est grave ! Très grave !
Que fait l’Etat Major des Armées face à de telles défaillances et négligences vu que les autorités civiles ne peuvent s’immiscer dans les affaires propres à l’Armée ?
A SUIVRE ...