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Culturel

La danse contemporaine malgache

Un moyen pour communiquer dans le cercle religieux

vendredi 29 avril 2011 |  876 visites  | Manka

La danse contemporaine a beaucoup évolué ces dernières années ; elle a gagné en effectifs mais aussi en professionnalisme. La danse n’est plus demeurée un art, elle est devenue une profession, un métier qui peut nourrir son homme. La danse ne reflète plus seulement une identité artistique, culturelle, elle est utilisée comme moyen d’expression et de communication dans le cercle religieux à partir de l’expression corporelle telle, que la pratiquent des artistes évangéliques ou des chorales dans les édifices religieux. Et ce alors qu’auparavant, les deux entités, danse et religion étaient très souvent en conflit.

La danse contemporaine malgache est un art, en tant que créativité, éducation et formation qui reproduit une identité culturelle. Même dans les rencontres internationales, à partir de l’expression corporelle, la danse contemporaine donne une vision de la vie de la société malgache actuelle par les créateurs.

Un laboratoire international comme échange

Au Tahala Rarihasina et au CGM Analakely, deux semaines seront consacrées au mois d’août prochain à un laboratoire chorégraphique international à l’intention des passionnés de danse contemporaine.

Intitulé « Labdihy », c’est une rencontre internationale entre les chorégraphes , avec la présence d’invités danseurs. Des conférences, des formations, des échanges, des partages seront au programme. De nombreux danseurs et artistes de plusieurs pays y participeront, en provenance de lieux comme l’Afrique du Sud, le Sénégal, la France, l’Espagne, l’Afrique centrale et l’Afrique de l’ouest.

1 commentaire

Vos commentaires

  • 30 avril 2011 à 15:06 | Vary-Manta (#2623)

    Je suis toujours étonné qu’on trouve ici des phrases comme celles-ci :
    « LA DANSE N’EST PLUS DEMEURÉE UN ART, elle est DEVENUE une profession, un métier qui peut nourrir son homme. »
    Je me sent forcé de demander alors de quelle planète est l’auteur de cette phrase. Relire un texte nécessite certes d’un peu temps. Je trouve toujours dommage que pour une rédaction comme la Tribune, on ne corrige pas, on ne fasse pas relire les articles avant de publier.
    Pour se faire passer pour des amateurs, c’est mission accompli (cinq-sur-cinq) !
    N’oubliez quand même pas, que dans le monde entier, on puisse vous lire, malgache ou vazaha. Vous reflétez aussi l’image des médias du pays. Ce n’est pas une petite responsabilité.
    Sinon Cher(e) Manta, je te trouve mieux que Solar, qui lui considérait, sans gênes, la rubrique culture comme une corvée rédactionnelle.

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