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Editorial

Tout dépend de nous !

samedi 22 septembre 2018 | Fanambinantsoa

Les organismes internationaux et agences des Nations unies continuent de manifester sinon un empressement, du moins un intérêt croissant à l’égard de la marche vers les élections présidentielles du 7 novembre prochain. Peut-on se passer aujourd’hui de cette communauté internationale s’est-on demandé dans notre dernier éditorial.

Apparemment, oui ! Le pays est souverain ; mais encore faut-il avoir l’entière adhésion de la population et elle ne peut s’obtenir que par référendum. Dès lors les dirigeants et la population doivent s’attendre à tout d’autant plus que le pays vit en grande majorité de marchandises importées (tourisme, équipements, matières premières pour le textile des zones franches, petits outillages, denrées alimentaires).

Mais au vu du contexte mondial, il faut admettre que se passer de la communauté est réellement impossible ! Madagascar a signé des conventions internationales et ne peut les ignorer du jour au lendemain sans risque majeur de sanctions diplomatique, économique et financière. Par ailleurs, les temps ont changé et la tentation d’un isolement volontaire du pays est suicidaire au vu de la menace que représentent les foyers multiples d’insécurité rurale sous la forme de dahalo et l’inflation qui flétrit les portemonnaies et les paniers de la ménagère. Il est utopique de tenir ou de contenir une probable explosion sociale.

En tout cas, les initiatives de la CENI, de la communauté internationale, de groupes ou plateformes de société civile et celles du Conseil du Fampihavanana Malagasy (CFM) sont pour prévenir des dissensions et des contestations pouvant facilement se transformer en troubles qui se traduiront en instabilité politique et du coup rendront le pays ingouvernable.

A beaucoup d’égards et en dépit des réticences de nombreuses -réticences quant à l’implication de la communauté internationale dans son accompagnement dans l’organisation des élections, on doit avouer que tout dépend de nous, de chacun des candidats à la présidentielle, de chacun de leur staff, des partis et autres formations qui les ont soutenu et de chacun des électeurs.

La « Charte de bonne conduite et d’intégrité des candidats pour une élection présidentielle apaisée » a été ficelée et présentée publiquement. Cependant 28 candidats seulement sur 36 se sont fait représenter et un candidat est venu lors de la cérémonie d’adoption définitive du 20 septembre 2018. Ceux qui étaient présents n’ont pas unanimement exprimé leur satisfaction. Beaucoup ont fait part de leur doute car à leur avis, le risque est grand pour qu’ils soient liés par leur signature et leur parole alors même que les fraudes et vols électoraux auront été constatés, d’après ce que nous avons compris, ou encore que les dès auront été pipés d’ailleurs.

La Charte exige : l’attachement profond aux valeurs du « Soatoavina Malagasy », la transparence des financements de la campagne électorale, le non recours à la violence, le respect de la Loi, et l’acceptation des résultats. C’est ce dernier principe qui est fortement critiqué.

Or, d’après ses initiateurs qui s’engagent à faire le suivi du respect de l’engagement à cette Charte, il s’agit dans cette initiative de compter aussi sur la pression électorale citoyenne pour une élection présidentielle apaisée. C’est la raison principale également des formations dispensées aux délégués des candidats dans les bureaux de vote. On compte quelque 24 852 bureaux de vote dans le pays. A charge pour le candidat de se faire représenter par un délégué au moins dans chacun de ces 24 852 bureaux de vote et d’obtenir un procès-verbal du scrutin signé convenablement par au moins trois membres du bureau de vote, de veiller à la sécurité des matériels de vote. En d’autres termes, le candidat doit alors disposer d’au moins 24 852 représentants/militants affectés dans les bureaux de vote. En sont-ils tous capables ? C’est sans doute l’objectif des candidats qui font la course auprès des populations des districts et communes, jusque dans les fokontany à moto, en hélicoptère, en charrette ou à bord de véhicules tout-terrain depuis quelques mois déjà.

Mais le doute n’en est pas moins levé car des soupçons continuent de peser sur certains observateurs électoraux agréés et présumés affiliés à des formations politiques qui ont leur candidat présidentiel.

18 commentaires

Vos commentaires

  • 22 septembre 2018 à 11:50 | Parole (#2602)

    Accepter les résultats. Je suis sidéré que des candidats se croient permis de contester ce principe basique de toute élection : au soir du scrutin, on attend les résultats à la télé ou on écrit à la HCC pour dénoncer les erreurs, avec preuves SVP.
    Dire autre chose, c’est donner le signal aux excités stipendiés de mettre le feu. La HCC devrait rayer de la liste ceux qui ne sont pas d’accord.

  • 22 septembre 2018 à 14:30 | harmelle (#5862)

    Peut-on se passer aujourd’hui de cette communauté internationale ??? Mada n’est pas capable de payer ses elections , son recensement , ses fonctionnaires , le ramassage de ses ordures , donner à manger aux gosse’s sans le PNUD et vous trouvez malin de poser des questions pareilles ????
    Pétain les gens des medias arrêtez votre buzz hein c’est carrément contre productif :(

    • 24 septembre 2018 à 15:46 | Ibalitakely (#9342) répond à harmelle

      Ilaina ihany tsindraindray ny mametraka karazam-panontaniana tahaka itony mba hahalasa lavitra ny sain’ny be & ny maro @ ankabobeny & ny mpanao pôlitika manokana indrindra. Fa raha oharina @ alaviran-dàlana mantsy aloha ka Soarano-Antsirabe no alaina ohatra dia vao etsy Tanjombato ny hezaky Madagasikara @ fialàna tsy iankin-doha amin’ny any ivelany, & voamaika lasa miembotra eny Soanierana aza raha izao no mitohy. Tsy dia misy loatra mantsy ny mpanao pôlitika mitsinjo TARANAKA fa dodona haka fahefana & hanango-karena fotsiny no betsaka, indrindra ireto manana fizakana zom-pirenena vahiny [1]* ireto izay hita tsotra izao fa baikon-drenimalalany. Nefa tsy maintsy mpitondra manao tsara tantana, mitsinjo zon’olombelona, mahay mampirisika ny vahoaka amokatra ao anaty fandriam-pahalemana sns, mba tsy hananan’ny CI antony anaovany ny antsoiny hoe “ambargo” & ny sakana isan-karazany. Tsy haiko aloha ny dikan’izany hoe “utopie” izany fa tena avo be ny lanitra ka tsy takatra e ?? Emerzansa hono, tssssspffffffff…
      [1]* ry zalahy tanora antoky ny taona roa arivo tahaka an-dRatsiraka Didier Ignace ve ohatra dia antenaina amin’izany. Izy aza mihirahira hoe “non rien de rien, Andrianarivo Tantely je ne regrette rien, ni Ratsiraka Roland ni Andrianoelison José tous ce(ux)-là m’est égal !! ». Na koa itony billy the kid isaky ny mba mamoaka boky lery dia any amin-dreniny foana no « maman viens voirrr le livrrre que tu m’as dit de fairrre sortirrr !! » aza ve dia hieritreritra ny hanala an’i Madagasikara tsy iantehatra amin’ny hery any ivelany toa frantsafrika ohatra ??

  • 22 septembre 2018 à 14:31 | punchline (#9673)

    l’équation est simple : tu es milliardaire = tu seras au 2ème tours.
    résultat Milliardaire = Vainqueur

    c’est cela la démocratie ?

    non : c’est la PLOUTOCRATIE

  • 22 septembre 2018 à 18:27 | tikitikitika (#10412)

    Salama daholo e !
    Raha ny hevitro manokana aloha dia tsy tokony mbola hiroso amin’ny fifidianana isika satria ry zareo nampandany an’io « Constitution » io aza te hanova azy (foanany hono ny Sénat). Tao anaty fitondrana tsy mari-pototra koa no nanaovana azy. Taiza koa mbola nisy Firenena iray hoe tsy maintsy miala ny Filoha am-perinasa raha te hilatsaka ho fidina. Sady zara raha nisy nifidy tamin’io.
    Mahamenatra tokoa ny mangata-bola hikarakarana ny fifidianana izay tokony ho marikin’ny fahaleovantena ny firenena iray. Efa patra mangataka tokoa ny mpitondra malagasy. Mampahonena.
    Ny Tany raha teo tsy milamina.
    Hevitro io an.

  • 22 septembre 2018 à 18:57 | Turping (#1235)

    Logiquement tout dépend de nous jusqu’à ce que les chinois ,les étrangers peu scrupuleux ne viennent nous confisquer nos terres ancestrales .L’expropriation !
    - D’abord ,il faut évoluer ,se débrouiller par soi même avant de faire appel aux autres en commençant par balayer devant ses portes ,....en désherbant les mauvaises herbes ,arroser les plantes potagères , donner à manger aux poules ,....à condition de ne pas se faire voler par les voisins ,les voyous qui rodent dans le quartier . Hélas ,je dirais c’est la mentalité collective qui est en perte de repère vertigineuse .Même pour vendre ses frères et soeurs ,beaucoup n’hésitent plus à le faire .Les tombes ,on les profane pour voler les ossements ,les vendre . Quelle moralité car la paix ne s’arrête même pas aux cimetières !
    Conclusion : Après avoir lu les civilisations européennes ,asiatiques ,etc...... il y a une corrélation entre culture et évolution sociétale sans attendre toujours que les autres vous viennent au secours .La communauté internationale ,FMI, BM ,...... c’est de la boutade ,si l’évolution interne n’a jamais vu le jour .Heureusement ,il y a encore les ressources minières exploitables comme garantie pour appauvrir encore les générations futures .On est dans ce stade ,car collectivement ,technologiquement ,les malgaches en commençant par les dirigeants successifs ont placé Madagascar parmi les pays les moins avancé (PMA ) .Est -il surprenant ? Non ,pour le moment !

  • 23 septembre 2018 à 13:33 | aniba (#10369)

    Ah !, les potentialités psalmodiées sont devenues une ritournelle : le pays, futur grenier et féroce dragonneau des Mascareignes, baigné d’ambitions, folles, à chaque nouvelle élection.
    On entend que ce refrain là, alors, qu’en vérité, plus personne ne mange à satiété, hormis ces dignitaires et sa cour, repus, tandis que la communauté, étrangère, présente, reste spectatrice et silencieuse, sous peine d’encourir le crime de lèse-majesté de la fameuse ingérence, post-coloniale !.
    La récolte de riz demeure insuffisante, parfois volée, tandis que, le cheptel zébu diminue, chaque année, d’autant plus que, les bouches à nourrir, sont encore plus nombreuses et les dalaho, davantage, insolents.
    Le paysan jette son angady pour devenir, contraint et forcé, tireur de pousse ou dort, sous les tunnels, pestilentiels, d’une capitale, devenue, la, sans issue, d’une pauvreté, grouillante.
    Son carré de rizière ne nourrit plus sa famille, l’insécurité s’est enkystée, tandis que le dahalo passe en raflant tout.
    L’état régalien n’est plus en capacité d’assurer la sécurité du citoyen, qui, livré, à lui-même, privilégie, désormais, la vindicte populaire, comme l’unique justice du pauvre, face à un exécutif, démissionnaire.
    Le colon, bouc-émissaire, avait été coupable, de n’avoir pas exalté toutes ces potentialités et le nationaliste, encore plus, pour avoir laissé, tout végéter en appâtant l’investisseur, humanitaire, qui s’est mué, aujourd’hui, en soudoyeur aux yeux, bridés.
    Le grenier est resté, désespérément, vide, malgré les promesses, réitérées, de miraculeuses récoltes qui n’ont pas encore été ensemensées, la faute à qui ?….
    Demain, cela ira mieux, le pétrole et le gaz, escomptés du canal du Mozambique, le nouvel eldorado des nationalistes, devraient métamorphoser le pays, en nouveau tigron des cocotiers.
    Mais, les braconniers rôdent, en utilisant tous les moyens, pour vendre la peau du dahu, promis, avant de l’avoir tué, dans une agonie, décidément, interminable.
    Le rêve d’une nation, prospère, permet d’oublier la réalité, tout en entretenant l’espoir, merveilleux, d’un inépuisable, petit fond de commerce, qui comble nos dirigeants de savoir que cela marche, toujours, de se faire élire, pour s’enrichir.
    La recette semble inépuisable, avec ce copié /collé, affligeant, imposé par chaque nouveau locataire, comme si elle était devenue, magique, et, pourtant, elle est à l’origine de notre infortune, comment, cela, est-il, encore, possible ?..
    La patate chaude est refilée, au prédécesseur, éternel coupable de cette mouise à répétition, tandis que, la cour du perdant se dissout, avec dextérité, dans celle du nouveau maître, dans un éternel turn-over, conduisant à cet immobilisme, morbide.
    Mais, tout cela semble suffire, au plus grand nombre, ravi d’en être l’arbitre, en trompe-l’oeil, et, en faiseur de roi, abusé, avant de s’apercevoir, un peu tard, que l’heureux élu, n’était qu’un vulgaire coucou, récidiviste.
    La répétition demeure une vieille habitude, transformée en gueule de bois, chronique, aux lendemains d’élections : où ne sait plus à quel saint se vouer, malgré la fréquentation, frénétique, des cultes : Dieu, nous mentirait-il, donc, à chaque élection ?.
    En réalité, le pays est haut les mains, d’une caste politico-ethnique, qui se distribue les rôles, au rythme, effréné, de ses échecs, répétés, tout en organisant, la prochaine curée présidentielle .
    Elle sait se recycler, ainsi, l’un de ses anciens battus, fraîchement, reconverti, en homme providentiel, pour prendre la place, tant convoitée, mais, à l’identique, ou presque.
    La triste réalité est qu’il n’existe pas de solution innovante, l’échec nourrissant et engraissant le suivant, comme l’argent, la corruption, avec cette habitude, répétée, d’éviter d’en tirer les leçons, de punir les dérives, ou d’interdire, aux battus-corrompus de se représenter.
    Au contraire, les échecs cuisants donnent une épaisseur supplémentaire au prétendant, récidiviste, qui sait se refaire une virginité idéologique, d’homme providentiel.
    De la sorte, il renaît de ses cendres, en apparaissant comme un homme nouveau, alors, qu’il entre, pour la seconde fois, dans la bergerie, anesthésiée.
    Le recyclage prend une ampleur inquiétante parce qu’il autorise l’impunité à prendre des proportions, de plus en plus, effarantes, où, tout peut être renié, vendu, bradé, marchandé, sans risque, sauf celui de récidiver .
    L’enrichissement est devenu la motivation prioritaire des hommes au pouvoir, la référence au peuple ne servant, désormais, plus que, de simple décor idéologique à un discours politique, vidé de toute crédibilité, parce qu’il ne sera jamais, tenu, au sein d’une société figée, et, manipulée, par les mêmes.

    • 23 septembre 2018 à 13:36 | aniba (#10369) répond à aniba

      Suite....
      Aujourd’hui, le changement est sur toutes les lèvres, mais pas, forcément, dans toutes les têtes parce qu’il nécessiterait trop d’efforts, de renoncements pour qu’il soit mis en œuvre, d’autant que les principaux responsables sont, ceux, qui exhortent, aujourd’hui, à un renouvellement de façade.
      Avoir le pouvoir, c’est, tout d’abord, se situer, au-dessus des lois, avoir, à ses pieds, toute une cour et des favoris, auxquels, le prince, élu, octroie ses passe-droits, en laissant de côté, le programme de campagne, remisé à plus tard, pour n’avoir servi, que de simple, cache-misère, et de courte-échelle, à une élection, gigogne.
      Demain, ne sera pas un jour nouveau, pour la société, mais, la poursuite, amplifiée, d’un quotidien difficile qui n’aura pas d’autre exutoire, que celui, imposé par un pouvoir, dont, l’unique préoccupation sera d’améliorer, encore, un peu plus, son train de vie et celui de ses proches !.
      La magie de l’élection fait naître bien des espoirs, excessifs, des promesses, sans horizon, à l’image d’un feu d’artifice qui fait briller les yeux, avant que la nuit noire n’impose son tempo.
      Mais, peu importe, le temps des rêves restera celui qui aura laisser espérer des promesses, le court instant d’une campagne, mais, vite, oublié, une fois, l’élection achevée.
      Le temps béni du promettre est venu, après celui, psalmodié, comme la copie conforme, à celle des cultes, le dimanche, orchestré par le religieux, auquel, nos politiques, n’ont fait qu’emprunter, le discours et son phrasé .
      Les bases de ce mimétisme, ambigu, sont posées, la confusion est, désormais, totale, tout en offrant, à ces manipulateurs, politiques, l’opportunité de tromper une société qui n’aura jamais pris la mesure, de ce tour de passe-passe, magistral.
      Et ceci, faute, d’avoir été mise en garde, par ces religieux, eux-mêmes, qui préfèrent afficher une complicité, discrète, avec les tenants du pouvoir, plutôt, que de s’opposer à ce copié-collé du politique, dans leur manière de communiquer avec leurs propres fidèles devenus électeurs.
      Jean Fremigacci avait posé, sans complaisance, son analyse, en estimant que Madagascar avait été, le pays des occasions, manquées, et, j’ajouterais qu’aujourd’hui, la suite se complète avec une captation du pouvoir, par une escouade de dalaho, à la sauce d’un populisme tribal de circonstance .
      Le pays part à vau-l’eau, tandis que ses promoteurs, prétentieux, vont ripailler dans les urnes, dans un mano a mano, digne d’une comédia dell’arte, sauce cocotier, sous les yeux d’une communauté internationale, à l’insu de son plein gré.
      Demain ne serait être un nouveau jour.

    • 23 septembre 2018 à 14:40 | FINENGO (#7901) répond à aniba

      Bonjour
      Merci pour ce Bon Coup de Gueule, qui fait du bien..!!
      Si ce n’est pas Zanadralambo, ça lui ressemble.
      Bon Dimanche..!!

    • 23 septembre 2018 à 22:30 | zanadralambo (#7305) répond à aniba

      @ Finengo. Non, frangin, j’aurais bien signé ce cri de colère, mais je n’en suis pas l’auteur. Je m’étais dit, tiens un nouveau, il écrit bien en plus. Puis à mesure que ma lecture avançait, j’ai reconnu la plume de kartell, comme Olivier…comme quoi…Mais dites moi, les amis, pourquoi vous changez de pseudo en cours de route ?… kartell n’est pas le premier, je gage qu’il ne sera pas le dernier. Dites moi quoi, je n’ai pas envie de mourir idiot.
      Bonne semaine à tous ceux que j’aime bien, ils se reconnaîtront. Et grosses bises à toi et à toute ta famille, Fiinengo. Ta réponse à Diégo est parfaite, ce dévot de l’amiral pourri est irrécupérable. Moi, c’est simple, je le zappe, ça m’évite d’avoir mal au crâne. Un malade…comme son mentor.

    • 24 septembre 2018 à 03:59 | plus qu’hier et moins que demain (#6149) répond à aniba

      Assalaamo alaikoum
      On est resté sur notre faim car les intellectuels comme aniba se contentent de décrire la situation au lieu de proposer des solutions voire d’agir : C’est pas étonnant si le pays recule au lieu d’avancer vers le développement.
      Bon courage aux 36 candidats car eux au moins se sentent responsables et sont prêtes à relever le défi immense que le pays et sa population attendent dans tous les domaines. Que le meilleur gagne.

    • 26 septembre 2018 à 07:25 | DadatoaDany (#10284) répond à aniba

      Merci Aniba. Cela rappelle qu’il y a d’autres N’Dimby que N’Dimby.

      Et pourtant l’élection parait faite : il y a un pseudo-candidat qui a beaucoup de moyens et de relations, qui investissent à mort. Ils ne peuvent faire autrement que de ... gagner. Si ce candidat ne sort pas des urnes, ils organiseront l’anarchie, par maintes violences et assassinats, ils ont déjà créé et maintenu les militaires : ils ne peuvent que rentrer dans leurs fonds, en ayant assis le pseudo-candidat, normalement déchet, mais recyclé selon Aniba.

      Non, la sortie pour le gasy n’est pas pour demain. Maudits. Maudit pays d’avoir de tels gens.

      Il y va aussi de la responsabilité du gasy, de laisser faire. Maudit peuple.

    • 26 septembre 2018 à 07:37 | DadatoaDany (#10284) répond à aniba

      Dans « Les 7 mercenaires » , le Père dit aux paysans mexicains qui hésitaient à se battre contre les dahalo voleurs de récoltes et de bétails :

      « Battez-vous ou mourrez. »

      Le gasy, en l’occurence hélas celui de Tana avait été châtré, lacrymogaz et militaires, par notre candidat pendant la-dite transition : les gens n’osent plus manifester. Ils n’ont plus rien entre les jambes.

  • 23 septembre 2018 à 14:20 | vatomena (#8391)

    Au pays des dahalo __ Il y a chez nous une noblesse Dahalo ,celle qui préside ,celle qui administre . Elle s’enrichit sans risques et elle est assurée de l’impunité . Et il y a l’autre : le Dahalo de la brousse .Il est comme un chien errant .Il vole des Zébus pour survivre. Il tue .On le tue . sans jugement . Son cadavre mutilé est exposé au porche des mairies . La gendarmesque se fait photographier et fanfaronne .Il est loin le temps de la Justice d’autrefois quand la brousse était paisible et hospitalière .Quelqu’un s’en souvient il ?

    • 23 septembre 2018 à 22:45 | vatomena (#8391) répond à vatomena

      Saluons une plume reconnaissable et que dame censure avait écartéé on ne sait pourquoi

  • 23 septembre 2018 à 15:55 | olivier2 (#9829)

    @ finengo

    Il s agit ici d un post de l excellent kartell..

    Je ne doute pas une seule seconde que l excellent Zanadralambo soit en total accord...

    la frontiere entre le racisme..le malagasybashing...et tout le reste..se limite à peu choses...

    Question d honnetete intellectuelle..

    Et sur le coup..faut dire que nos chers amis malagasy partent de tres loin..

    A quand une ong : honneteteintellectuelle.mg ?

    Je vous rassure, elle sera finanacee par des vazah...

    Qui d autre que des vazahkons pour financer un truc impossible ?

    Bisous..amour et democratie

    • 23 septembre 2018 à 16:07 | olivier2 (#9829) répond à olivier2

      @ finengo et jipo

      Cracher sur les sakalava..

      Franchement..

      Mais bon Vous faites comme vous voulez..

      La limite entre le malagasy bashing et faire plaisir a vos lecteurs semble deciedement tres TENUE...

      Comme d hab..

      BONNE CHANCE

  • 24 septembre 2018 à 13:45 | tsimahafotsy (#6734)

    Quand des Gasy et des Vazaha anonymes, amoureux de Madagascar
    et du rugby
    mouillent leur maillot pour l’avenir des jeunes malagasy,
    voilà ce que çà donne :

    https://www.lexpressmada.com/24/09/2018/rugby-terres-en-melees-recoit-le-global-award/

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