Une fois de plus, la santé publique réunit une pléiade de personnalités. Jusqu’ici, le paludisme constitue encore la première maladie qui occasionne le plus grand nombre de décès dans le monde, surtout dans l’Afrique subsaharienne. Pour Madagascar, il constitue la première cause de mortalité et de morbidité enregistrées dans les formations sanitaires, ce qui représente un lourd fardeau dans le cadre du développement socio-économique.
Une conférence
internationale
Eliminer le paludisme représente encore un défi au niveau africain. 44 pays du Continent se réunissent, au ministère des Affaires Etrangères, jusqu’à aujourd’hui, afin de définir des stratégies bien déterminées, des options techniques, des cibles et des objectifs bien définis pour intensifier et accélérer les interventions de lutte contre le paludisme. Les expériences de différents pays seront présentées, comme celles du Zanzibar, du Swaziland, de la Chine, ou encore de Maurice et de Mayotte.
Sous le slogan
« Madagascar sans paludisme : un pays s’approprie de sa santé », plusieurs partenaires appuient la politique nationale qui donne la priorité à la santé publique, dont la lutte contre le paludisme.