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Le drame d’Ambohimalaza continue de faire des ravages, près de trois mois après la tragique fête d’anniversaire qui a coûté la vie à plus d’une trentaine de jeunes. Ce jeudi matin, Hanitriniaina Deborah, Miss Analamanga 2023, âgée de 20 ans, a succombé après une longue lutte contre les séquelles de cet empoisonnement collectif. La jeune femme avait pourtant quitté l’hôpital il y a plusieurs semaines, considérée comme rétablie. Mais son état n’était manifestement pas stabilisé. Réadmise la semaine dernière à l’hôpital, elle n’a pas pu être sauvée.
Son décès brutal remet sur le tapis de sérieuses interrogations sur le suivi médical des victimes ayant survécu au drame. Si les autorités sanitaires, appuyées par le président de la République affirmaient que les substances toxiques avaient été identifiées, les résultats tardent à se traduire par une prise en charge réellement efficace. Le cas de Deborah démontre que les sorties d’hôpital ne signifiaient pas forcément une guérison définitive.
Deux autres jeunes filles, également rescapées du funeste anniversaire connaissent également des complications alarmantes. Elles ont témoigné sur les chaînes privées de la capitale hier. L’une souffre de troubles respiratoires persistants, l’autre de problèmes de circulation sanguine. Ces signes laissent planer le doute sur la nature réelle des traitements administrés et sur la capacité du système de santé à assurer un suivi adéquat.
Dans les familles, la colère monte. Beaucoup estiment que l’État n’a pas fait le nécessaire pour protéger les jeunes rescapés, se contentant d’annonces publiques sans garantir une prise en charge durable. La demande d’évacuation sanitaire à l’étranger revient avec insistance, portée par des proches qui n’ont plus confiance dans les dispositifs mis en place localement.
Le décès d’Hanitriniaina Deborah, au-delà du symbole qu’elle incarnait en tant que Miss Analamanga 2023, souligne l’ampleur d’une crise sanitaire encore mal maîtrisée. Il rappelle surtout que la responsabilité des autorités reste engagée tant que la lumière complète n’aura pas été faite sur les causes exactes de ces décès et sur l’efficacité réelle des traitements proposés aux survivants.
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Vos commentaires
Mes sincères condoléances à la famille de chacun de victimes et pas que de ce empoisonnement mais de tous les crimes perpétré par ce régime et ses criminels dont leur chienf suprême et ses acolytes !
Isandra peut être certaine, que tôt ou tard ce régime, qui a régalé ce pays à la place d’un pays le plus pauvre et affamé du monde (si on ne prend pas la part de trois pays ravagé par une guerre éternisé) va un jour tomber par surprise. Gare à ses dirigeants le jour de leur chute ! La vengeance sera terrible et à la hauteur du mal de son peuple saccagé par ces créatures ! C’est comme ça que tous les régimes du monde même le plus sanglantes ont fini leur parcourt !
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Je ne connais pas un dictateur qui ait fini sa vie dans son lit.
A l’instar des époux Ceucescu le couple Rajoelina finira comme eux.....
sincères condoléances à la famille..
je tiens tout simplement à demander.. pourquoi ne pas jouer la carte de la sincérité ? juste présenter les excuses et dire qu on NE SAIT PAS.?
en tout cas à 90%,l hypothèse datura belladone ne tient pas la route !!!! dites autre choses.
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ce qui veut dire tout simplement que il n y aura pas de bon résultat... que ce n est pas vraiment la faute aux médecins (relatif), car on leur force de ne pas émettre le bon diagnostic au risque de payer de leur vie...
donc la prise en charge est erronée, et s oriente vers une mauvaise direction, d autant plus que c est rajoel qui commande, impose le diagnostic et la prise en charge...
les hôpitaux malagasy n ont pas les moyens diagnostic et prise en charge.. l EVASAN s impose car on a l’argent pour affréter 2 avions, et 20 villas ! ou bien, demander main forte dbune équipe spécialisée avec logistique ? car c est un drame sanitaire , problème de santé publique ??
les conséquences actuelles étaient prévisibles.. un vrai scientifique saurait que cela finira par le décès de tous les intoxiqués.. ils vont tous mourir tôt ou tard !!!
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Pisokely,
Comme vous insisté sur l’intoxication, je sais que vous êtes petite médecin du quartier, mais, je pose quand même une question :
Pourquoi les intoxiqués avérés de Toamasina, d’Ambositra, etc sont-ils complétement guéris après leur sortie de l’hôpital, pas de mort, alors que selon votre raisonnement, c’est le même cas ?
C’est un cas particulier, qui confirme la déclaration des autorités,...
Je me suis renseigné sur les autres cas présumés similaires, Toamasina, Ambositra, Mahajanga, etc, s’ils n’ont pas la même suite que celui de ce fameux Ambohimalaza, on m’a répondu qu’une fois, la plupart des victimes sont sorti de l’hôpital, ils sont complétement guéris presque sans séquelles sauf question psy pour quelques uns,...
La question qui se pose, quelle affirmation les médecins de ces familles ont ils tenu compte, celle des autorités ou celles de parallèles(méthanol,...), etc ? La réponse a d’impact sur l’efficacité de soin.
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Ça ne change rien, Isandra ! Vous allez tous payer ces crimes ! Tôt ou tard ! Vous, responsables direct de tous ces déboires !
INANDRA avec son imbécilité rapporte ici les mensonges de Rainilainga et toute cette classe de pourritures avec be molotra en premier . Cette folle continue de parler « empoisonnement criminel » par les deux plantes du dadarabe . On a un Raindedaka kely saina et un ministre de la santé dondrona sy babakoto ! Voilà les résultats et ces criminels l’ont déjà fait avec le CVO ayant comme résultats les décès à la pelle du Covid !
Ratovo,
A ce moment les autorités ont mis en place un protocole de soin correspondant à l’empoisonnement, normalement, les médecins qui s’occupent de ces victimes devraient l’appliquer stricto sensu,...
Néanmoins, la liberté de soin s’applique ici, l’Etat ne peut pas obliger qui que ce soit à le suivre, malheureusement, la politique s’invite partout, quelques uns ne suivent pas ces consignes, parce que il vient du régime...
C’est comme à l’époque de COVID, plusieurs millions de gens ont eu de vie sauve, en prenant le CVO, mais, malheureusement, il y avait de cou dure, qui l’ont méprisé, mais, comme cette pandémie ne plaisantait pas, plusieurs sont décédés,...et pire, ils ont répandu la maladie,...