Facebook Twitter Google+ Les dernières actualités
dimanche 22 juin 2025
Antananarivo | 17h01
 

Société

Conséquences sociales de l’insécurité dans le Sud

Les membres du CST et du CT sollicitent l’aide humanitaire

samedi 22 septembre 2012 |  1296 visites 

L’initiative du Parlement s’est donc limitée à la collecte de dons et cet appel pour l’aide humanitaire en faveur des populations du Sud victimes de l’insécurité. À ce propos, le CST Jacques Aimé Raharinirina souhaite que le gouvernement, comme l’a suggéré le Premier ministre, conduise des enquêtes sur les besoins des ménages et des populations dans ce Sud meurtri. Le CST Jacques Aimé s’interroge pourquoi n’informe-t-on pas suffisamment les partenaires techniques et financiers qui sont aujourd’hui plus sensibles quand il s’agit du volet humanitaire.

Le CST Jacques Aimé Raharinirina commentant la fin de non recevoir du gouvernement à la demande des parlementaires pour une session spéciale insécurité dans le Sud, avoue que ce refus était prévisible pour des raisons d’implication budgétaire mais aussi en raison des difficultés à formuler le contenu ou à élaborer un tel avant projet de loi sur cette insécurité dans le Sud. D’ailleurs, certains parlementaires avaient été réticents, remarque Jacques Aimé Raharinirina. De plus entretemps déjà le président de la Transition a déployé sur le terrain, la « force spéciale » à qui il a promis d’autres équipements et moyens logistiques qui seraient à la mesure des missions confiées à cette « force spéciale », c’est à dire la restauration de l’autorité de l’État et le rétablissement de la confiance mutuelle entre les citoyens et les représentants de l’État.

Recueilli par Valis