- Les amateurs attendent impatiemment le « Che bel Canto » du Dear Henri prochainement.
Les événements se succèdent dans la capitale métropolitaine pour la communauté malgache. Après Tovo J’Hay, Luc et Mahery, Henri Ratsimbazafy a rempli un temple vendredi dernier, et pas n’importe lequel, celui du XVIè arrondissement de Paris.
Près de 200 personnes sont venues l’applaudir interprétant ses œuvres classiques, allant de « Andriamanitra Fitiavana » au « Trano Falafa », aucune n’ayant pris une ride. Il a été accompagné par un chœur composé de Rinah, Mbolatiana et sa propre fille.
Ce concert a été donné dans le cadre d’une œuvre caritative, contribuant au « Fonds de Fraternité », au bénéfice des Pasteurs et Enseignants malgaches retraités.
Henri Ratsimbazafy est aux Malgaches ce que Johnny Hallyday est aux Français, un monument de la culture musicale à grand cœur. Il a parrainé entre autre la chorale, à Lille en 2000, cet évènement qui rassemble toutes les chorales malgaches protestantes de France.
