Le monde du sport malagasy est unanime en cette fin de saison à déclarer que les performances négatives de l’exercice 2007 ont résulté en majeure partie des performances des juges et arbitres officiant durant les compétitions.
D’après les statistiques : le public, les joueurs de champ et même les dirigeants sportifs ont pris l’habitude des violences sur les terrains de sports ces derniers temps. Le fait est condamnable si l’on se réfère aux disciplines sportives en vigueur mais l’origine des actes ne doit pas être non plus négligée car parfois, des défauts d’arbitrages ont entraîné ces débordements...
Magouille ou parti-pris ?
Devant ces cas, les officiels se réfugient le plus souvent sous le « parasol » de « l’erreur est humaine ». Indéniable mais inacceptable si l’impact de l’action se répercute sur l’avenir de l’une ou l’autre partie en lice.
Toutes les disciplines sportives se sentent victimes et se plaignent des mauvaises fois prônées par certains des « referees » avec qui ils doivent composer malgré tout ! Ces arbitres semblent même tenir en otage des organisateurs et responsables sportifs, leur menaçant de boycotter les manifestations en cas de rappel à l’ordre ou de sanction... et les fédérations finissent par les protéger, directement ou non, pour devenir des complices tacites.
Les férus de sports ont toujours chuchoté d’ailleurs que des magouilles ont cours dans ce domaine mais il semble interdit d’en parler ouvertement.
Mais avec la nouvelle saison sportive et les prochains renouvellements des fédérations, tout porte à croire que des changements seront opérés pour crever l’abcès !
