Le jeune homme de 15 ans accusé de viol sur sa petite amie mineure de 14 ans à l’époque fut relaxé hier. En liberté provisoire depuis la plainte de la mère de cette dernière, le jeune homme peut pousser un ouf de soulagement, il n’aura pas de peine pénale et continue son histoire d’amour avec cette même jeune fille jusqu’à maintenant. L’affaire remonte en octobre 2006 quand le proviseur d’un lycée privé de la capitale aurait été averti par quelqu’un qu’un jeune étudiant avait violé une étudiante du même établissement. L’acte s’est passé pendant une heure creuse dans un appartement d’un ami sis à Ambanidia. Quand les parents des deux parties furent mis au courant de ce fait, ils avaient tenté de le régler à l’amiable. Fiasco total. Du coup, la mère a porté plainte à la police pour viol sur sa fille en juin 2007.
Consentement mutuel
Pourtant, toutes les versions de la partie civile concernant ce viol ont convergé sur la même chose hier : le consentement de la jeune fille à faire le rapport. Même la mère de celle-ci a persisté sur la même conclusion hier, se contredisant par rapport à sa plainte de l’époque. De son côté, le prévenu affirme sans ambages qu’il n’a pas forcé directement ou par ruse sa partenaire pour cette relation sexuelle. Mais surtout, le conseil pour la défense du jeune homme avait couronné le tout en déclarant que le « vodiondry » avait déjà été donné à la famille de l’adolescente à l’époque. Ce qui prouve que l’histoire de viol n’était qu’un malentendu puisque les deux jeunes gens sont même des amoureux. Seulement, peut-être qu’ils avaient honte qu’on les dénonce dans cet acte avant le mariage. En effet, la justice n’a pu que s’aligner sur le souhait des concernés de mettre un terme à la poursuite du jeune homme, actuellement au chômage.
