Facebook Twitter Google+ Les dernières actualités
jeudi 28 mars 2024
Antananarivo | 22h15
 

Politique

Sénat

Le Bureau permanent va être revu

mardi 16 février 2016 | Mirana Rabakoniaina

Les premières décisions de la Chambre haute sont transmises à la Haute Cour constitutionnelle pour contrôle de constitutionnalité. Une chose est sûre selon le secrétaire général de cette institution Randriamampionontsoa Lantonirina, il y aura un renforcement ou remise en cause des membres du Bureau permanent. Ceci dans la mesure où le règlement intérieur va subir un changement et le bureau permanent avec. Le nouveau règlement va établir le nombre des vice-présidents à 7, 2 questeurs, un rapporteur général.

Notons que l’Assemblée nationale a déjà eu les mêmes problèmes qui ont abouti à l’éviction de Christine Razanamahasoa et le membre de son bureau permanent. Pour la Chambre haute, Betiana Bruno est confiant, il considère que ce sont les mêmes personnes qui vont procéder à l’élection des membres du bureau permanent. Il ne croit pas qu’ils vont changer d’avis de sitôt. Autrement dit, ils vont tout simplement renfoncer les membres selon l’exigence du règlement intérieur.

4 commentaires

Vos commentaires

  • 16 février 2016 à 09:02 | Eloim (#8244)

    Précipitation ou excès de zèle ? Deux poids deux mesures ? Ou tentative de gouverner toujours avec de jurisprudence ?
    Des questions et questions qu’il faudra poser pour faire dissiper toutes les embrouilles faisant foi à l’incompréhension au pays.
    Des incompréhensions plutôt générées par des manoeuvres de diversion, une bonne stratégie des faibles jugés incapables de bien gérer le pays.
    Voyez les caractère irresponsables de nos dirigeants qui se comportent comme des enfants de coeur qui apprécient et confondent caprice et responsabilité. Des discours prononcés à l’encontre de leur volonté d’en finir avec leur conviction loin de toute attente de la population qui subit les malversations de la mauvaise gouvernance.
    La bonne gouvernance devra commencer par l’observation de l’état de droit. Or, ce sont les exemples venant d’en haut lieu qui font défaut parfois et comment reprocher au peuple de ne pas les avoir respecté.
    Précipitation ou excès de zèle ? Oui mais il faut se pencher sur les effets néfastes de telle attitude.
    Deux poids deux mesures ? état de droit bafoué car certains font appel au conflit d’intérêts, une raison pour laquelle, mise à part l’observation de la démocratie mal interprétée jugée par la notion de pluralisme, la queue leu-leu des candidats nous laisse penser que nos politiciens devront réfléchir comment se comporter honnêtement en tant que redevables aux yeux des électeurs et toute la population entière, donc le pays en général ?
    Jurisprudence ? constatant les « trous », les « failles », les « vides », les « controverses », ... (tout un tas de terminologie) dans la loi Fondamentale - une raison de plus pour apporter des retouches, c’est selon, qui pourrait peut être faire payer cher les « autres » (allusion aux candidats potentiels de la prochaine élection présidentielle) allant jusqu’à l’élimination politique de ces grosses pointures.
    Quelle manoeuvre malsaine ?

    • 22 février 2016 à 09:38 | rakotoson (#8023) répond à Eloim

      ### OPPOSITION OFFICIELLE : LE PARTI DE RAVALO PRET A SAUTER LE PAS ###

      C’ est le titre d’ aujourd’hui à la une de Midi Madagasikara à défaut de noms de premiers ministrables et autres ministrables dont ce quotidien détient e secret .

      Pour un journaliste dit professionnel , l’ auteur de l’ article ne souffle mot de l’ incongruité de cette décision qu’ il attend , lui , de Marc Ravalomanana . Alors que dans tous les pays du monde , à l’issue d’ une élection présidentielle , les perdants ne demandent l’ autorisation de personne , pour être dans l’ opposition !

      Il n’ y a qu’ à Babakotoland où cette faculté d’ être dans l’ opposition dépend donc du bon vouloir des tenants du pouvoir . Et , on s’ étonne que le pays n’ avance pas , que le moindre meeting nécessite l’ autorisation formelle du préfet de police ; sinon , c’ est l’ intervention musclée de l’ EMMOREG et autres forces de répression .

      La faculté d’ être dans l’ opposition relève -t- elle de la Constitution de la IVè République ( 2013 ) ? Si , oui , encore un référendum - bidon qu’ on avait soumis donc dernièrement au peuple . Et quand on pense que les tenants actuels du pouvoir mijotent encore un nième référendum. Encore de l’ argent jeté par la fenêtre en perspective donc ; de quoi nourrir pendant un mois la population du sud victime du Kere en attendant que des infrastructures dignes de ce nom leur donnent la possibilité de se doter d’ alimentation en eau pour toute l’ année .

    • 22 février 2016 à 09:40 | rakotoson (#8023) répond à Eloim

      ### OPPOSITION OFFICIELLE : LE PARTI DE RAVALO PRET A SAUTER LE PAS ###

      C’ est le titre d’ aujourd’hui à la une de Midi Madagasikara à défaut de noms de premiers ministrables et autres ministrables dont ce quotidien détient e secret .

      Pour un journaliste dit professionnel , l’ auteur de l’ article ne souffle mot de l’ incongruité de cette décision qu’ il attend , lui , de Marc Ravalomanana . Alors que dans tous les pays du monde , à l’issue d’ une élection présidentielle , les perdants ne demandent l’ autorisation de personne , pour être dans l’ opposition !

      Il n’ y a qu’ à Babakotoland où cette faculté d’ être dans l’ opposition dépend donc du bon vouloir des tenants du pouvoir . Et , on s’ étonne que le pays n’ avance pas , que le moindre meeting nécessite l’ autorisation formelle du préfet de police ; sinon , c’ est l’ intervention musclée de l’ EMMOREG et autres forces de répression .

      La faculté d’ être dans l’ opposition relève -t- elle de la Constitution de la IVè République ( 2013 ) ? Si , oui , encore un référendum - bidon qu’ on avait soumis donc dernièrement au peuple . Et quand on pense que les tenants actuels du pouvoir mijotent encore un nième référendum. Encore de l’ argent jeté par la fenêtre en perspective donc ; de quoi nourrir pendant un mois la population du sud victime du Kere en attendant que des infrastructures dignes de ce nom leur donnent la possibilité de se doter d’ alimentation en eau pour toute l’ année .

  • 16 février 2016 à 18:20 | plus qu’hier et moins que demain (#6149)

    Assalaamo alaikoum

    Les leçons du passé voire l’expérience ne servent à rien du tout chez nous car on répète les mêmes erreurs pour espérer obtenir un autre résultat : Ailleurs c’est peine perdue mais avec notre HCC actuelle tout se joue à pile ou face car la jurisprudence n’est rien devant l’adage :« MIOVA ANDRIANA MIOVA SATA » ( en traduction libre les lois changent en fonction de ceux chargés de l’appliquer).

Publicité




Newsletter

[ Flux RSS ]

Suivez-nous

Madagascar-Tribune sur FACEBOOK  Madagascar-Tribune sur TWITTER  Madagascar-Tribune sur GOOGLE +  Madagascar-Tribune RSS