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L’Etat se donne deux ans pour le redressement de la Jirama

jeudi 8 août 2019 | Arena R.

Toute une série de mesures visant à redresser la société malgache d’électricité et d’eau (Jirama), a été évoquée en conseil des ministres du mercredi 7 août 2019. A huit (8) mois de sa prise de pouvoir, le président parle toujours d’un assainissement de la gestion au sein de cette société d’Etat, mais jusqu’ici la population attend ses impacts au niveau de chaque ménage. Pas plus tard qu’hier, l’on parle d’un redressement dans un délai maximum de deux (2) ans que ce soit par rapport à la dette que par rapport au développement proprement dit.

Le conseil des ministres révèle que cette société d’Etat devra désormais être gérée comme une société privée où un audit organisationnel et financier régulier est programmé. Cet audit sera réalisé par un cabinet, certainement privé, en collaboration avec la Cour des comptes et les inspecteurs généraux de l’Etat (IGE). Cela implique incontestablement la mise en place d’un chronogramme de redressement de cette société malgache de production d’énergie électrique et de distribution d’eau.

Pour parvenir à ces fins, il faudra que les créanciers de la Jirama règlent leurs factures, à l’instar notamment des différents services publics et ministères. Du mois de janvier au mois de juin 2019, cette dette s’élèverait à 30 milliards d’ariary. Aussi le conseil des ministres exige-t-il le paiement de tous ces arriérés des services publics ; sans fixer pour autant jusqu’à quand ? Toutefois, il est évoqué que le redressement sur tous les plans de cette société d’Etat en situation de ruine depuis des décades, s’effectuera dans 24 mois.

Toujours dans le cadre du redressement de cette société, la mise en place d’un comité de pilotage qui sera composé des représentants de la présidence de la République, de la Primature et du ministère de tutelle. Et ce sera au conseil d’Administration d’assurer le suivi et la bonne réalisation de tous les projets et stratégies établis au niveau de cette société d’Etat. Il est également dit que l’Etat malgache doit apporter sa brique à l’édifice, bien que la Cour des comptes ait déjà évoqué une subvention qui s’élève à 400 milliards d’Ariary pour cette société.

La révision des contrats de la Jirama avec l’ensemble de ses prestataires a toujours posé un important écueil dans le redressement de cette société. Les négociations avec ses partenaires ont déjà été annoncées depuis plus de six mois maintenant, mais il n’y a encore rien de décider dans ce sens. Cette fois, à travers ce conseil des ministres, les dirigeants malgaches évoquent la mise en place d’un nouveau business plan concernant notamment les contrats de location des groupes produisant de l’énergie électrique. Ainsi, l’Etat et la Jirama concevront de nouveaux contrats pour pouvoir réaliser le redressement.

Mais en attendant ? Les consommateurs et les industriels doivent prendre leur mal en patience et se contenter dans ce cas des services fournis qui sont encore loin d’être satisfaisant avec notamment une puissance électrique instable et des coupures assez fréquentes, sans parler toutefois des factures salées de chaque mois ou encore des services clients déplorables.

14 commentaires

Vos commentaires

  • 8 août 2019 à 09:36 | betoko (#413)

    Deux ans pour pouvoir redresser le Jirama ? Je n’y crois pas et privatiser cette entreprise ? Avec qui des Karana et Henry Fraise et compagnie , bonjour le dégâts et la hausse des tarifs

    • 8 août 2019 à 13:34 | ratiarison (#10248) répond à betoko

      Lasa MPANOHITRA angaha ra-VONGANY***HIHIIIIIII ??? fa angaha tsy mahavita azy ny GOUROU n-i LETY ??? ny karazan’olona toy an’i LETY no antsoina hoe : tsy misy hazon-damosina fa tena mpillelaka aza miatsara-velatsia ry FARISEHO mpifoka rongony marina *** samy tsara !

  • 8 août 2019 à 09:36 | kartell (#8302)

    Le pouvoir se donne deux ans pour réussir et en cas d’échec, il fera quoi ?....
    On a vraiment le sentiment que Rajoelina prend ses prédécesseurs pour des blaireaux en laissant supposer qu’avec lui, c’est monsieur plus  !....
    Il décrète une privation rentrée de la Jirama conforme aux exigences internationales tout en y adjoignant un comité de pilotage de la primature qui gardera la main sur les manettes de cette privatisation rampante ....
    En d’autres termes l’annonce gouvernementale pourrait être celle-ci :
    Cherchons partenaires particuliers pour rentabiliser une entreprise d’état en faillite permanente, négociations et petits arrangements de coulisse impératifs !
    Les exemples passés ont démontré qu’une privatisation entraînait de facto des augmentations conséquentes des tarifs ainsi qu’un écrémage certain du personnel en place, est-on prêt à un tel sacrifice ?...
    Quand aux remboursements des sommes dues, qui en sera exempté et pourquoi ?..
    Bref, dans ce paquet cadeau proposé, seul le papier d’emballage est séduisant, le contenu est loin de prendre une tournure raisonnable même si la volonté affichée du pouvoir est de séduire, on ne sent pas vraiment à la lecture du scénario proposé que la fin du film soit réellement écrite .....

  • 8 août 2019 à 10:12 | rayyol (#110)

    Isandra et Bekoto Test de premiere grandeur pour ce gouvernement et le Bianco
    Pour ceux qui croient que s en est fini du traffic de bois de rose
    Plus florissant que jamais Toliara 2 container de Bois de rose viennent d etre saisi a 4.30 pm hier au pont en provenance de Mangily au barrage routier a la sortie du pont du cote Mangily
    Il y a sujet a discussion sur cette saisie Voyons voir si la saisie va faire les manchettes Je parie que l on n en parlera meme pas Commandite par lui ou a son insu histoire intéressante a suivre commanditaire inconnu seulement un chauffeur arrête Et ce n est pas le fils de Hery cette fois ci il n a pas été revu a tulear depuis la defaite de son père
    Donc quelqu un d autre a prit la releve Comment les policiers peuvent laisser passer des containeur vide allant dans une direction sans issue et ne pas les verifier au retour
    Et comment se fait t il que cette fois ils ont verifier
    2 solutions seulement Soit ils ont été ordonner de le faire soit c est une vengance d un des 3 corps de police qui n a pas trouve son compte guerre interne des officiers responsable de ces corps de police Car normalement sa passe sans problème et est charge a bord de bateau a Tulear
    Le scanner pour verifier les container a été enlever par Hery et transferer a Tamatave au debut de son regne
    Quel role joue le gouvernement ou est ce certain individus seulement Chose sure le traffic n a jamais été aussi florissant Tous se rappellent des containeurs saisi et stocke a Tulear il y a déjà plusieurs années
    Le bois est alle exactement ou il etait destine
    Et les containeurs transferer a Tana mais vide Toute cette histoire n est qu une vaste fraude qui profite a qui et qui a été enclanche lors de la transition
    Pas surprenant que le tout continue de plus belle
    L auteur principal responsable est de retour Et le tout sert quelle fin

  • 8 août 2019 à 10:17 | rayyol (#110)

    Est ce que je vais avoir raison Ce gouvernement n est qu uns vaste fraude J ai et je souhaite vraiment avoir tort Mais Dieu que sa y ressemble

  • 8 août 2019 à 10:21 | Shalom (#2831)

    2 ans ? Mince ! un TGV fera-t-il combien de fois le tour de la terre en 2 ans ? Dalida le chantait bien en son temps : « Paroles, paroles ! ». Qu’est-ce qu’il a dit le monsieur lors de la campagne présidentielles ? Et maintenant, il faut 2 ans. Resaka fotsiny hampandry adrisa io ry nama a ! Regardez où en sont les « bizina » des conseillers actuels du président, 8 mois et certains se permettent d’avoir une florissante situation et pendant ce temps le peuple morfle ! Vive la république du fitiavana. Le fitiavana est la plus grande des devises mais on a oublié que c’est plutôt le « fitiavan-tena ». Et pendant ce temps, vivons le délestage.

  • 8 août 2019 à 10:22 | rayyol (#110)

    Malhonnête ou incompetent ou les 2 Ce qui reste a determiner Pas sorti du bois Madagascar

  • 8 août 2019 à 10:47 | Behantra (#9165)

    En résumé

    Cabinet privé , Cour des Comptes , Inspecteurs généraux de l’Etat

    Comité de pilotage : représentant de bôka

    La primature

    Ministère de tutelle

    UN : qui sera le ’patron’ ?

    DEUX : ce comité de pilotage , va piloter qui et quoi ?

    Donc TOUT ce beau monde pour ’redresser’ la Jirama

    TROIS : combien cela va t’il couter ?

    On voit bien là l’incompétence de bôka , très bien souligné par Kartell !

  • 8 août 2019 à 11:19 | titynana (#10701)

    tsara

    • 8 août 2019 à 19:09 | ratiarison (#10248) répond à titynana

      tsaram-POR******@ny inona ??? efa tay***dia mbola tsara. Aza manao resaka tsy lao-Body ryTitynana a ?hajanony ny fianiana-HAZO ?? samy tsara !

  • 8 août 2019 à 11:28 | Vohitra (#7654)

    Bonjour à tous,

    La décision est pris après une réunion en conseil des ministres, ainsi l’assainissement de la situation de la JIRAMA serait au rendez-vous dans deux ans, et cela après huit mois d’exercice du pouvoir.

    Et pendant ces huit mois, MGA 30 milliards de créances non recouvrées de la JIRAMA rien que pour le premier semestre de l’année en cours, sans qu’il y ait de délais annoncés pour le recouvrement et on se targue d’annoncer des mesures de redressement ferme…est-ce qu’il y aurait encore des consultations à mener pour s’y faire ?

    Et ce n’est que maintenant qu’on aborde la nécessité de la réalisation régulière d’un audit organisationnel et financier de la société alors que cette société avait déjà pu bénéficier d’une colossale subvention étatique de MGA 400 milliards auparavant, en fait depuis toujours alors, l’Etat y avait injecté des sous sans connaître la situation et la qualité de gestion et management au sein de ladite société d’Etat. Il est bien légitime de se poser la question là où en est actuellement, à quoi ce monumental financement avait bien pu servir auparavant eu égard à la mauvaise qualité de service offert et la situation critique permanente de ladite société ?

    Face à cette situation, on ose encore créer une structure à côté qui peut faire du surplace, à quoi pourrait servir un comité de pilotage alors qu’il existe déjà un conseil d’administration qui supervise les actions de la Direction Générale en place ?

    Et ce qui est surprenant dans tout cela, et oui pendant la campagne pour l’élection présidentielle, un sujet abordé à maintes reprises et qui avait même crée des polémiques, c’est la fourniture d’électricité de la situation de la JIRAMA, et ces contrats qualifiés de léonins passés entre ladite société et ses partenaires issus du secteur privé, et là ce n’est qu’au bout de huit mois d’exercice de pouvoir qu’on va prévoir de s’en occuper sans aucune précision sur les modalités ni démarches pour s’y faire et sans même annoncer de deadline pour l’aborder. Et oui, pendant de longues années, la JIRAMA fait une vente à perte d’électricité et cela au profit de ses partenaires…comme si on veut faire trainer la situation pour un objectif inavoué mais précis…

    Depuis sa création, du temps de la révolution socialiste dirigé par l’Amiral, et c’est devenu une tradition pour les régimes successifs au pouvoir, on veut toujours placer à la présidence du Conseil d’administration et à la Direction Générale des personnalités politiques bien placés et ayant leurs entrées dans les coulisses du pouvoir, et cette société est renommé comme pourvoyeuse de liquidités en cas de besoin immédiat, et la satisfaction de ces besoins sont devenus fréquents et la règle…en somme une mise en coupe réglée en bonne et due forme. Et le PCA de cette société d’habitude cumule toujours des fonctions politiques à la magistrature suprême…

    Bref, compte tenu de cette situation, il est impératif de mener un audit indépendant sur la situation de la dette et l’usage des subventions allouées par l’Etat au sein de la JIRAMA, tout au moins pour les vingt dernières années et de faire des investigations sur les responsables à l’origine des mauvaises gestions et utilisations inefficientes des finances publiques, et à la suite desquelles des sanctions fermes seraient prononcées.

    • 8 août 2019 à 11:41 | Vohitra (#7654) répond à Vohitra

      Est-ce qu’il y avait eu un lien entre le refus du respect et application de l’article 54 de la Constitution et la situation préoccupante de la JIRAMA au début du quinquennat du Calife précédent... ? suivez mon regard...

    • 9 août 2019 à 10:57 | papangue (#9623) répond à Vohitra

      Bonjour Vohitra,

      Vous avez raison de poser ce questions , d’être dubitatif quant à l’avenir ....

      Selon Le rapport du Pôle Mondial d’Expertise en Pauvreté de la banque mondiale, Dernière mise à jour : 13 avr. 2019

      « Enfin, les conditions de vie demeurent difficiles pour une très grande majorité de la population. Le taux d’accès à l’électricité est seulement de 13 %, soit l’un des plus bas de la planète et le pays est un des pays les plus affectés par des évènements climatiques en Afrique avec une moyenne de 3 cyclones par an. »

      « En 2012, le PIB par travailleur employé était devenu le plus faible du monde, à l’exception de la République Démocratique du
      Congo (graphique I.3)2. »
      « Pire, à Madagascar, les plus pauvres s’appauvrissent encore plus, notamment dans les zones rurales. La Banque Mondiale explique à ce sujet que « 80% de la population malgache vit en zone rurale où les taux de pauvreté sont plus de 2 fois plus élevés qu’en zone urbaine ».

      Le taux d’électrification descend à 4% en milieu rural !

      Comment augmenter les recettes avec une population dans le dénuement le plus total , l’indigence, ou la majorité des malagasy vivent dans l’indignité totale ?

      La JIRAMA peut–elle s’en sortir avec l’équipe pro-ANR en place ?

      https://www.jeuneafrique.com/747383/economie/madagascar-le-gouvernement-se-branche-sur-le-chantier-de-lelectricite/
      « Car l’entreprise facture en moyenne 14 cts d’euros le kilowattheure aux usagers, quand elle l’achète 26 cts aux IPP, d’où son résultat net très négatif. Une situation qui empire : ces derniers temps, les pertes s’élèvent à 12,3 millions d’euros par mois.
      Résultat : la Jirama cumule 264 millions d’euros de dettes dont les deux tiers envers les IPP. Un gouffre que l’État comble en partie, à hauteur de 94, 75 et 56 millions de dollars respectivement pour 2017, 2018 et 2019, selon la Jirama. »

      « Mais surtout, la facture refléterait uniquement la production effective et la Jirama ne subirait plus l’exorbitante partie fixe. La compagnie nationale paye en effet 116 millions d’euros par an de coûts fixes, que les centrales tournent… ou pas. Soit plus d’un tiers de la dette totale de la Jirama. « C’est insensé », lâche une source proche des négociations »
      Corruption et mauvaise gestion :

      Des informations croustillantes sur ANR et son ami de longue date Ravatomanga
      https://blogs.mediapart.fr/la-voix-du-sud/blog/090519/madagascar-de-scandale-en-scandale

      Gestion interne

      http://www.midi-madagasikara.mg/economie/2019/03/13/jirama-40-licenciements-justifies-aupres-de-la-jirama-en-2018/

      « D’après les explications, les motifs de licenciement enregistrés au sein de la Jirama concernent les retards injustifiés et absences non motivées et répétitives, l’absence prolongée et non motivée, le non-respect de la hiérarchie, la perturbation du climat socioprofessionnel, la grève illicite, l’usurpation de titre et de fonction, le branchement illicite et réseau de trafic des compteurs d’électricité, le vol et la tromperie, la complicité de vols de courant, la violation des procédures et négligence »

      Est-ce que la farce continue ?

      http://www.rfi.fr/afrique/20151128-madagascar-corruption-jirama-proces-inculpes-bianco

      « Ils ont tous bénéficié de la liberté provisoire et ce n’est que le début de la procédure, d’après les preuves que nous avons pu rassembler à l’encontre de ces gens-là. Je crois que la justice va les condamner et prendre des mesures pour la récupération des biens qu’ils ont mal acquis », a déclaré Benjamin Ratovoson, responsable du secteur d’Antananarivo au Bianco.
      Difficile de chiffrer mais les sommes se compteraient en dizaines de milliards d’ariary, soit en millions d’euros. Pour Benjamin Ratovoson, il faut aller plus loin. Il ne trouve pas normal, en effet, que les inculpés soient toujours en poste.

      Fort à parier que seuls ceux qui n’ont pas payé les magistrats, ceux qui ne sont pas affiliés directement au régime seront inquiétés, façon de parler …

  • 8 août 2019 à 15:27 | Black hat (#10711)

    Miarahaba eh !

    Une réflexion sommaire sur la situation dans laquelle se trouve la JIRAMA me conduit aux points suivants :
    - Il est nécessaire et plus qu’urgent de passer au redressement à tous les niveau de cette société. Cela passe nécessairement par le diagnostic en profondeur de toutes les défaillances qui ont entraîné cette société là où elle se trouve actuellement. Peu importe le prix qu’i faut payer et les personnalités qui seront touchés, il faut apporter cet éclairage au grand public si l’on souhaite vraiment redresser la JIRAMA.
    - La question de privatisation est doublement délicate et pour les consommateurs et pour la JIRAMA elle-même. Certaines personnes au sein de la société perdront leurs intérêts et leurs mauvaises pratiques au profit de quelques nouveaux investisseurs privés. Quant aux consommateurs, ils n’auront pas le choix que de supporter le coût d’une éventuelle privatisation par les factures qu’ils paieront. Pour l’instant donc, le climat n’est pas du tout favorable à une privatisation ; la priorité pour cette société devrait plutôt être accordée à l’instauration d’une bonne gouvernance, d’un bon management, d’un climat de transparence à tous les niveaux.
    - Pour ce qui de la la prestation de services, du rapport Qualité/Prix, de l’adéquation Offre/Demande, et donc de la compétitivité de la JIRAMA, cela laisse à désirer pour ne pas dire qu’il y a beaucoup à faire et à améliorer. Car justement à propos de la compétitivité, pourquoi la JIRAMA a-t-elle le monopole du secteur eau et électricité à Madagascar ? (Je ne parles pas des petites entreprises privées ou des ONGs ... œuvrant dans ce secteur mais d’une entreprise qui serait de taille à rivaliser avec ce que peut proposer la JIRAMA). Pourquoi depuis tout ce temps, il n’y avait jamais eu une vraie concurrence dans le domaine de l’eau et de l’électricité à Madagascar ? Si ça avait été le cas, Madagascar n’en serait pas là où on se trouve en ce moment. La leçon à tirer dessus est simple : Pour qu’il y ait une compétitivité et donc une meilleur offre, il faut que ce secteur soit soumis sous concurrence. Prenons un peu l’exemple à l’étranger (en France) : Dans le domaine de l’eau, il y a Veolia, Saur, Suez. Imaginez qu’i n’y avait qu’une seule société comme Veolia qui fournit les services d’approvisionnement en eau dans toute la France. Que serait-il passé alors ? Vous imaginez la suite car le monopole ne peut être que catastrophique pour le marché. C’est cette situation de monopole, de mauvaise gouvernance et d’un management défaillant qui a conduit la JIRAMA et Madagascar là où nous en sommes actuellement ...

    C’était Black hat
    Soyons civilisés et rationnels !

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