Une ferme d’élevage ne peut pas cohabiter avec un hôtel cinq étoiles et une zone d’habitation pour VIP, notamment, les 80 villas présidentielles destinées à héberger les chefs d’Etats africains en juillet 2009. L’organisation de ce sommet sera fatale pour La Hutte Canadienne qui est obligée aujourd’hui de délocaliser sa basse-cour. Elle est aujourd’hui contrainte de déménager ses fermes avicole et porcine. La raison est très simple, ces types d’élevages provoquent des odeurs nauséabondes qui pourraient nuire au séjour des personnalités qui seront dans nos murs incessamment. L’Etat et la Hutte Canadienne ont dû prendre ces dispositions pour faire bonne figure face aux hôtes de marque africains.
Partenariat
Actuellement, la délocalisation desdits types d’élevages bat son plein. La Hutte Canadienne est en passe de négocier des partenariats avec des éleveurs de proximité auxquels elle fait confiance. Elle leur confie ainsi une partie de ses bêtes et en assure la nourriture, les matériels nécessaires ainsi que le suivi par son équipe d’ingénieurs. Seule l’infrastructure prévue à cet effet est prise en charge par le partenaire. Une fois que les animaux ont atteint les poids moyens escomptés, la Hutte Canadienne les achète selon le contrat préétabli. Les paysans de cette zone sont très enthousiastes à l’idée de collaborer avec cette ferme de renom. Cette dernière est aujourd’hui en phase de les trier sur le volet.
