
Dans son discours d’ouverture de l’atelier, le Chargé d’Affaires a.i de l’Ambassade d’Allemagne le Dr. Hans-Dieter Stell, a insisté sur la notion de démocratie basée sur la communication et le compromis. Pour lui, il ne peut y avoir de développement sans transparence et sans participation.
C’est ce qui a poussé l’Ambassade à appuyer l’initiative du Sefafi, une association à but non lucratif qui promeut la participation et la transparence, a-t-il souligné.
D’après toujours le diplomate, il ne peut y avoir de démocratie si le peuple ne gouverne pas. Si Madagascar est dans la situation actuelle, a-t-il expliqué c’est qu’il y a des questions non résolues.
Le terme crise a-t-il souligné ne sied pas au cas que vit Madagascar actuellement car une crise est limitée dans le temps. L’expression « situation malgache » est plus appropriée.
Si la Grande île a-t-il relevé est dans la situation actuelle c’est parce qu’il y a des questions non résolues.
Il a fait référence à l’histoire de l’Europe pour démontrer que sans une convergence d’intérêts l’on n’aurait pas abouti à son unification. Un pays ne peut se développer tant qu’il n’y a pas cette convergence.
Cette convergence d’intérêt existe-t-il à Madagascar ou persiste-il des non convergences ? s’est-il demandé. Il faut a-t-il conclu arriver à intégrer ces non convergences.