Une soirée qui a dégénéré sous l’effet de la boisson. C’est le fait générateur d’affrontements entre étudiants natifs d’Antsiranana et ceux originaires du Sud-Est. Ces affrontements qui ont agité le campus de Barikadimy depuis le week-end dernier ont fait un mort, un originaire de Tolagnaro, et quatre blessés.
Dimanche, le président de l’Université de Toamasina convoquait une réunion pour tenter de concilier les deux camps. Dans la soirée, il levait la franchise universitaire pour permettre l’intervention des forces de l’ordre de l’Emmoreg au sein du campus. Ceux-ci ont dû faire usage de gaz lacrymogènes ce lundi, sans pourtant réussir à ramener le calme dans des esprits passablement échauffés.
Recueilli par Yann
Vos commentaires
Ce n’est pas la première fois que nos étudiants se lancent dans tel honteux et troublant cas.
Dans la plupart de cas, le trouble vient de la non maîtrise de soi, suite à l’alcoolisme et/ou au « combat de sexe », non pas à la documentation : je reprends, c’est honteux et c’est du barbarisme.
Ainsi, il faut appliquer aux déclencheurs et aux participants de ces rixes, les mesures disciplinaires les plus strictes et les plus sévères possibles. Que le CODIS élimine ces délinquants dans les prochaines candidatures aux examens officiels ! Que le tribunal emprisonne tous les auteurs de ce trouble. En 1991/1992, une nièce de Zafy Albert a été licenciée de l’Université de Barikadimy suite au non respect de la discipline. Etant Président de la République à l’époque, Zafy n’a fait que respecter cette décision (c’était un très bon exemple).
La même situation risque de s’éterniser s’il n’y a pas de mesure sévère contre les déclencheurs et les participants à ces rixes.
Encore pire, nos politiciens tentent de profiter la pareille situation seulement pour dénigrer leurs adversaires ! C’est aussi un signe de barbarisme.
Faut-il prendre des mesures contre les causes, ou se contenter d’en prendre contre les effets ?
Faut-il condamner les consommateurs d’alcool, ou bien tout le circuit qui profite du commerce de l’alcool ?
Il est bien facile de punir les effets, plus aisés à identifier de façon rapide, que la ou les causes.
Enfin ne dit-on pas « in vino véritas » la vérité est dans le vin.
Ce vin qui laisse ressurgir ce que la société Malagasy se refuse à admettre, mais aussi a punir !
Le nombre de chantiers à traiter est hénaurme !
Avec les milliards dépensés pour favoriser la consommation de l’alcool, l’association entre s’amuser et alcool dans les publicités, les festivals et fête... forcément , on a les résultats. Il y a d’autres causes à la base de ces tensions mais l’alcool jour ici un accélérateur.
Allez à la votre
« sous l’effet de la boisson ».Point barre !!!
Ca arrive que des étudiants se bataillent, mais le contexte général actuel ne favorise pas la retenue...
Je m’adresse å l’auteur de l’article : il faut quand même dire le pourquoi de la bagarre ! Un peu plus de profondeur, s’il vous plaît !
Bien di et remarque très pertinentes !après les journalistes disent qu’ils ne peuvent exercer leur métier librement ou qu’il y a la censure.
Cette article nous entraine dans un épais brouillard.
On voit bien que personne se moque de la mort d’un etudiant ici. C’est vrai qu’il ne s’agit pas de Nadine, et que Alain ne fera pas d’enquette perso.
thubert
vous cherchez à polémiquer tout ce qui se passe
t’as raison bouffi, y a de quoi être mdr !
La verité blesse n’est-ce pas !
thubert
Chers COMPATRIOTES ! Miarahaba anareo !
Tout d’abord mes sincères condoléances à la famille de l’étudiant qui a perdu sa vie, et je supplie à tous les Protagonistes de ne pas, continuer dans la violence. C’est à dire qu’il ne faut pas venger ses copains et créer un atmosphère de segregation entre tribu dans la faculté.
Misaotra tompoko.
tena mampalahelo tokoa, matimaty foana.
RIP. Fà tsy vao t@ izao fotoana izao no nisy ady samy mpianatra avy @ faritra. Nefa marina ny an’i Mafybe : samy gasy ry zalahy fa aza mifamono, na sakalava io na antaisaka, dia gasy ray gasy daholo, kà atsaharo ny miantsy adi-poko rehefa resaka taoka no nampiady.
Aza toizana izao fombafanao izao, fà @ izao toetr’andro izao dia betsaka ny mpanararaotra, ka mailo ry zalahy dia ataovy ny fandriampalemana sy fiarahalahiana no manjaka ao am-po.
milamina manafo ôô !
Tsy vao izao no nisian’ny Mpianatry ny Oniversiy nifamono fa efa hatramin’ny nitaizana ny Tanora malagasy hifanavakavaka ! Hazavaiko ny amin’izany :