Le Fmi n’est pas une institution politisée mais se comporte comme tous les bailleurs, la BM,...
 Au conditionnel ce voeu pieux n’a pas de sens tant que le gouvernement n’avance réellement sur des points capitaux pour créer de richesses. Or, tel n’est pas le cas dans l’état actuel des choses et cela depuis l’indépendance octroyée sous dépendance (pillage des richesses, les ressources minières, etc.......).
Citons par exemple la théorie de la croissance endogène mettant l’accent sur 4 facteurs qui influent sur le taux de croissance économique avec le minimum de bagage culturel.
 Les rendements croissants grâce aux gains d’échelle.
 L’intervention judicieuse de L’état notamment par l’investissement dans des infrastructures.
 La recherche -développement, de compétitivité, les prix d’exportations revalorisés (sans s.odomisation), ou innovation., activités à rendement croissant avec un coût d’appropriation minimal.
 La connaissance ou capital humain qui s’accumule.
Vu les problématiques de bases liées à l’insécurité, le manque de confiance, la corruption, la mentalité,.... Il faudrait avoir de bonne foi et de pragmatisme si le rendez-vous collectif était au rendez -vous pour déplacer. Rien n’est impossible, mais le chemin est encore loin.
Le Fmi n’est pas une association caritative, il n’y a rien sans rien pour générer des taux d’intérêts et de bénéfices. La tendance pour le moment c’est la voie sans issue sur le long terme.