Dans l’affaire « Claudine »la continuité des pratiques de corruption massive dans l’affaire des marchés truqués ne désigne qu’une seule personne .
En effet qui était assez puissant lors de la transition pour mettre en place ce système et qui l’était encore plus pour le soutenir jusqu’à maintenant ,quitte a y laisser sa vie politique ?
La réponse est évidente c’est le PRM actuel .
Tout acteur proche des tenants du pouvoir connait parfaitement cette loi d’airain.
Alors que les bénéficiaires des largesses de claudine ,simple pion certes stratégique, mais pas essentiel,veuillent noyer le poisson est plus qu’une réaction normale .
Donné en pâture a l’opinion les quelques ministres, dont le PM ,qui n’ont que la faute d’être là au mauvais moment, ne changera strictement rien a l’affaire .
Ces pratiques de détournement de marchés publiques par la surfacturation de prestation existantes ou fictives existent depuis l’indépendance mais aussi depuis l’époque coloniale.
C’est l’ampleur des détournement voulus par l’ex ministre des finances et PRM qui sont plus a remarquer et à fustiger .
C’est évidemment la découverte de l’ampleur du système et le non partage de la manne avec certains autres grands acteurs Malagasy qui est a l’origine de la crise actuelle .
La jalousie humaine est finalement utile a quelques chose .
Les futurs prétendant au pouvoir suprême doivent se demander ,après la fin de l’exploitation massive du BDR et sans doute la fin de ce type de trafics « type claudine », comment ils vont se constituer une manne personnel !