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Quelques mois sont passés sans qu’on arrive à apaiser la tension en effervescence dans cette région.
On se demande si ces contestataires sont vraiment des habitants de cette partie centre-ouest de l’île, une question cruciale qui pourrait remettre en cause la responsabilisation de la population de prendre en main son avenir, non seulement dans le cadre du social mais économique également. L’utilisation du mot « vahoaka » a été parfois banalisée par les politiciens qui veulent les manipuler à des fins que les manipulés eux-même ne s’en rendent pas compte. Donc, une information fiable (connaissant le nombre des contestataires par rapport au nombre d’habitant de cette localité) doit être exploitée par des journalistes « neutres » (pour éviter toute fausse interprétation de manipulation de la statistique pour d’autres raisons prises à partie) afin qu’on puisse donner suite à leur revendication.
Quoi qu’il en soit, le tenant du pouvoir actuel devra trouver des solutions immédiates pour dénouer cette crise latente entraînant à des révoltes populaires rémanentes dont des foyers du même genre commencent à gagner du terrain et s’étendre dans d’autres régions de l’île. Une crise latente qui risque de se dégénérer et finalement difficile à mater car ce qui se passe ou existe à l’heure actuelle (soamahamanina, Moramanga, Behenjy, Manajary, Maroantsetra tout dernièrement, ...) prend déjà la forme d’une explosion sociale focalisée.