Samedi, journée relax : abstenons-nous donc de la gâcher en parlant trop de nos politicards gloutons, des quatres mouvances et des tentatives d’aboutir à une solution malgacho-malgache au Panorama avant d’aller sous les fourches caudines de Maputo le 5 août. Parlons donc de culture : musique et proverbe. Surtout celui-ci, « aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années » (le Cid, Corneille), exploité depuis un certain temps à hue et à dia pour dire que la jeunesse est un atout et une valeur. Sans aucun doute, mais certainement pas dans tous les domaines, et encore moins en politique.
Un de mes frères, surtout après l’illumination de quelques santés avinées et répétées à ras-bord, aime à proclamer doctement : « aux ânes bâtés, le malheur n’attend point le nombre des années ». Cette version new look de la maxime devrait être méditée par ceux qui ont applaudi bêtement mais avec enthousiasme les étapes de ce coup d’État sur la Place du 13 mai, avant de perdre leur emploi dans la crise qui a suivi, juste quelques semaines après. Pour en revenir aux âmes bien nées dont la valeur n’attend point le nombre des années, rappelons-nous ce que nous disait avec philosophie Georges Brassens : le temps ne peut rien y faire, quand on est con, on est con.
« Vous, les cons naissants
Les cons innocents
Les jeunes cons
Qui n’le niez pas
Prenez les papas
Pour des cons
Vous, les cons âgés
Les cons usagés
Les vieux cons
Qui, confessez-le
Prenez les p’tits bleus
Pour des cons (...)
Qu’on ait 20 ans, qu’on soit grand-père
Quand on est con, on est con ! ».
Que ceux qui se préparent à faire une éjaculation verbale précoce, et m’accuser d’allusion à de jeunes loups ou à de vieux dinosaures se réfrènent dans leurs ardeurs : je ne me permettrai jamais de traiter par écrit qui que ce soit de con. Même si quelquefois, il faut avouer qu’un tel qualificatif tiendrait plus du diagnostic médical que de la diffamation. Disons donc que ce qui précède était la minute de philosophie générale, illustrée pour adoucir les mœurs par un peu de musique en hommage à Brassens [1].
Mais comme nous sommes dans le sujet de l’âge, profitons-en pour revenir sur la question de la limitation de celui des candidats aux présidentielles. Les précédents législateurs avaient placé dans la Constitution un article portant ce seuil à 40 ans. L’idée était simple : avoir une garantie minimale (théorique) d’expérience et de maturité. Maintenant, les girouettes de la classe politique, qui avaient pourtant toujours trouvé cette clause normale, se sont soudainement rendues compte que c’était injuste. Parmi les arguments, le fait qu’en France l’âge requis est juste celui de la majorité, soit 18 ans. Seul petit bémol : peut-on comparer la France et Madagascar en matière de culture politique, de pratique démocratique, de normes de contrôle sur les dirigeants, d’éducation citoyenne, et ainsi chercher un tel alignement ? Petit exemple : malgré sa réputation d’homme pressé et impatient, Nicolas Sarkozy a attendu le processus régulier au sein de son parti, puis de son pays, avant de se faire appeler « Monsieur le Président » à 52 ans, alors qu’il avait été élu Maire depuis qu’il avait 28 ans. Comme quoi, pour comprendre la différence entre vitesse et précipitation, il faut souvent fouiller dans des valeurs telles que le sens de l’État, le savoir-vivre, l’expérience, la maturité, le respect d’autrui, ou juste le respect des lois. On ne vise personne, c’était la minute de psychologie générale à deux balles.
Il semblerait cependant que la poire de l’âge sera coupée en deux pour les présidentielles. Suite aux recommandations des assises régionales, la conférence nationale va probablement faire descendre cette limite à 30 ans. Cela permettra donc d’ouvrir la porte à l’ambition de M. Rajoelina de pouvoir être candidat, s’il le souhaitait. Mais le souhaite-t-il ? Il y a quelques mois, il avait répondu très clairement à un journaliste français qu’il n’était intéressé « à présider que la Transition, juste pour mettre Madagascar sur de bons rails en matière de démocratie véritable ».
On voit déjà quotidiennement ce qu’il en est (ou plutôt ce qu’il n’en est pas) depuis sa prise de pouvoir, en ce qui concerne la qualité de la démocratie. S’il décidait de ne pas tenir parole et de franchir quand même le pas de sa candidature, il ne sera ni le premier, ni le dernier à le faire : en politique malgache, on appelle cela « changer d’avis pour le bien du peuple et à sa demande ». Car la méthode est bien rodée depuis Tsiranana : lors d’un meeting public, on demande au gugusse de service d’inviter le dirigeant à se porter candidat. À la demande du peuple, le non-candidat devient soudainement porteur des espoirs de la Nation. Clic, clac, merci Kodak. Ratsiraka fut en son temps un grand amateur de ces manipulations, et Ravalomanana ne les dédaignait pas.
Il est vraisemblable que le Président de la Haute autorité de transition (HAT) tentera de mettre à profit les quelques mois qui restent pour accroitre sa popularité, avant d’annoncer sa décision. La Transition qui n’arrête pas de se raccourcir (on ne va pas s’en plaindre) doit perturber un peu son plan de bataille, car il avait escompté au départ sur 24 mois pour lancer son TGV sur le réseau national. Dans le même temps, lui et Madame (euh, pardon, sa dame...) se tâtent dans des tournées de plus en plus fréquentes pour évaluer les chances de victoire. Pour ma part, l’idéal serait que MM. Rajoelina et Ravalomanana se présentent, afin que cette fameuse majorité silencieuse au nom de laquelle beaucoup parlent, s’exprime enfin en son nom propre. Et que le vrai peuple, celui qui vote et non les foules qui croâssent, puisse enfin manifester sa volonté à travers les urnes. Toutefois, on se demande si les putschistes laisseront les élections se faire en toute liberté et transparence, car les urnes pourraient bien avoir la mauvaise idée de désavouer leur acte sacrilège. C’est ainsi qu’il faut comprendre cette volonté d’empêcher envers et contre tout Ravalomanana de revenir, en inventant souivent des arguments qui tiennent plus du bidon que de l’or.
Et puisque l’on parle d’âge et de génération, il y en a au moins certains que le pouvoir de transition prend pour des cons. Ce sont nos pauvres potaches du BEPC, qui ont eu à plancher en début de semaine sur un sujet à la gloire du régime actuel. A se demander si le Ministre de l’éducation est sorti de la Sorbonne comme il s’en pavane, ou bien de l’Université Kim Il-Sung de Pyongyang. Toutefois, il y a tellement d’articles pertinents qui ont déjà été écrits sur ce point, qu’il n’est nul besoin d’en rajouter. En particulier, lire et relire les flamboyants papiers de Sobika.com, ainsi que la tribune libre à quatre mains de Rom1 et Patrick.
Mais pour conclure, revenons au fil de cet édito. Certains lecteurs se demanderont peut-être pourquoi cet exercice de sophisme : partir de paroles écrites par Brassens pour aboutir aux rédacteurs du sujet de malgache au BEPC de 2009. Il n’y a pas de sotte question, et il y a tout un week-end pour y trouver une réponse.
Vos commentaires
Hier, devant le mot c.. on savait à quoi on tenait ; désormais pour ici, point n’est plus besoin d’ autocensure. Lucky Ndimby s’est adolescisé grave. Je vous l’avais dit : des penseurs des plus écoutés ont depuis une semaine mal à se contenir. ( Suite chronologique aux grosses bétises, royales soi-disant. Oui, vous avez bien lu : royatielles. ) A Mada, quand on porte le riz à la bouche, c’est parait-il normal qu’il s’en perd ; Hé ben, on sait maintenant pourquoi il est cher : le roi en fait tomber énormément. Tellement que Monja se sent pouvoir faire mieux. Une cohabitation à Madagascar, on aura vu de toutes les couleurs, et possiblement ils nous montreront les couleurs de peau. On comprend mieux pourquoi ils déconnent par momentS : l’ ennemi est dans les murs.
Perso, j’en connais 3 pseudos éminents sur internet, dont 1 s’est fait un pseudo, à la longue, tel Ndimby ! Les sangs d’encre sont courants chez les bien-pensants aujourd’hui ; cette dernière phrase sonne faux car ils s’adaptent aussi, étant intelligents, et la bétise devient banale, et la bête devient roi. CQFD. Il suffit de s’acheter la force. Et la civilisation n’en sort pas indemne. Il faut appeler le Tout-Puissant, c’est le moment ou jamais.
Si on tourne la page du dico, on voit que ce mot c.. a un deuxième sens, géologique celui-là, ou forestière, ou volcanique, ou vénale ; Origine du monde dans un tableau de peintre. Il peut arriver ces temps-ci que les 2 sens coincident mais sur un même roi. Voyez le topo !
Pour sortir le meilleur candidat contre Ra8, a-t-on songé à faire des primaires entre les putchistes et consorts ? Il en sortirait probablement Pierrot amnistié. Donc pas d’amnisties, et pas de primaires. Et puis il est très peu probable que ces élections soient limpides, car le capsat fait foi ; et quand bien même ils auraient perdu, le FIS algérien n’a-t-il pas été frustré de sa victoire ? Il faut peut-être le laisser gagner ? sinon il y aura un autre coup, comment on l’appellera celui- là ? coup d’état encore ? contre soi-même ?
C’est juste pour rire. C’est dire à quelle niveau de la chaussette on est arrivés. Faites vos jeux, Faites vos jeux, rien ne va plus. Tout rouleau compresseur a aussi des ratés, matinaux par bonheur ; bizarre car une gaule est plutôt matinale d’habitude.
Pour sortir le meilleur candidat contre Ra8, a-t-on songé à faire des primaires entre les putchistes et consorts ?
That is the question...aucun parmi cette troupe hative ne peut s’aligner à Ravalo. Et puis ils ne peuvent même pas s’entendre entre eux. Cette histoire de rajouter de nouvelles mouvances aux négociations est à la fois preuve de ce désaccord et de faiblesse. Il vont finir par s’entredévorer et la bande à Charles ne saura plus où pointer leur armes.
hon hon ...
a poiuyt : Pierrot rouler pour les putschistes ??? C’est pas Zafy qui est derrière lui actuellement ? ou devant, selon qui imagine-t-on b... l’autre.
Par contre il y a peut être un candidat de plus qu’on est en train de nous dessiner : qqun qui vient de se faire décorer Commandeur (!!) de la légion d’honneur ...
Pour info, la légion d’honneur qui est la plus haute distinction de la R.F est hierarchisée en
# Chevalier de la Légion d’honneur
# Officier de la Légion d’honneur
# Commandeur de la Légion d’honneur
# Grand officier de la Légion d’honneur
# Grand-croix de la Légion d’honneur
curieux, non ...
Je cite :
« L’accès à l’ordre ne peut se faire dans un grade supérieur à celui de chevalier, sauf quand il s’agit d’honorer une personnalité étrangère : c’est alors en fonction du rang protocolaire des récipiendaires (ainsi le prince Albert de Monaco a été directement élevé à la dignité de grand officier de l’ordre en 1984) » ...
Je sais ... il parait que je vois la grande satane, partout ...
Ps : Nbimby, c’est en 81 qu’il est mort Brassens.
bon moi je vais me mettre au vert over aux verres... bien à vous
Bien à toi, amie ...
ah vous me faîtes marrer Poiyut, je me gausse. Mais à trop galvauder, notre gouvernement de gogos n’aura plus de cesse de gober tout ce que dit leur gourou à tête de gavroche-gnafron.
Crissons en choeur pour casser leur croissante cacophonie grinçante, aux fins qu’ils soient disloqués en une funeste crispation qui annoncera la fin de la crise.
Non, je ne bois pas d’absinthe...
Bon week-end mes chers amis ( on peut se considérer ami ?)
DaFily, le gausseur ; Vous connaissez pour sûr les mots « de fait » employés pour les politiciens violeurs auto-incrustants ; On pourrait dire que les gens qui sont là sont « amis de fait » tous bienvenus. Je rigole.
Loool Ndimby...et c’est injuste que les éditorialistes aient le droit d’utiliser des mots qui sont censurés pour les forumistes !!! :-o
Mais bon...restons dans le sujet.
Brassens se qualifiait lui-même de polisson de la chanson, mais ce poète n’était pas seulement « le pornographe du phonographe », mais avaient des chansons qui témoignaient de son (dés)engagement citoyen particulier.
En voici une que je dédie aux foza orana : Ceux qui ne pensent pas comme nous
Si ça n’entraîne pas une guerre civile quand un fâcheux me contrarie, c’est -soyons francs-
Un peu par sympathie, par courtoisie servile, un peu par vanité d’avoir l’air tolérant,
Un peu par crainte aussi que cette grosse bête prise à rebrousse-poil ne sorte de ses gonds
Pour mettre à coups de poing son credo dans ma tête. « Ceux qui ne pensent pas comme nous sont des c... »
Entre nous soit dit, bonnes gens, pour reconnaître que l’on n’est pas intelligent, il faudrait l’être
Et une autre pour les dinosaures politiques : Mourrir pour des idées
Les Saints Jean bouche d’or qui prêche le martyre
Le plus souvent, d’ailleurs, s’attardent ici bas.
Mourir pour des idées, c’est le cas de le dire
C’est leur raison de vivre, ils ne s’en privent pas
Dans presque tous les camps on en voit qui supplantent
Bientôt Mathusalem dans la longévité
J’en conclus qu’ils doivent se dire, en aparté :
Mourons pour des idées d’accord, mais de mort lente,
D’accord mais de mort lente.
Encore s’il suffisait de quelques hécatombes
Pour qu’enfin tout changeât, qu’enfin tout s’arrangeât !
Depuis tant de « grand soir » que tant de têtes tombent,
Au paradis sur terre on y serait déjà.
Mais l"âge d’or sans cesse est remis aux calendes
Les Dieux ont toujours soif, n’en ont jamais assez
Et c’est la mort, la mort toujours recommencée
Mourons pour des idées d’accord, mais de mort lente,
D’accord mais de mort lente.
O vous les boutefeux, ô vous les bons apôtres
Mourez donc les premiers, nous vous cédons le pas
Mais, de grâce, morbleu ! laissez vivre les autres !
La vie est à peu prés leur seul luxe ici bas ;
Car enfin, la camarde est assez vigilante
Elle n’a pas besoin qu’on lui tienne la faux
Plus de danse macabre autour des échafauds !
Mourons pour des idées d’accord, mais de mort lente,
D’accord mais de mort lente.
Et bon week end à tous
Trop fort le Ndimby !!!
Je soupconnais une pincee de provocation envers Les forumistes DES deux bords.
La preuve, meme Citoyenne s’est lâchee !!!
HIN, hin, the real one called Ndimby is back ! je me gausse déja du flot de fiels que va générer ce flow du maître qui ne veut rien flouter de notre folle actualité noyée dans le flou (à répéter après avoir bu 4 pintes).
Ce qui me lie à Ndimby, liaison virtuelle, verbale et amicale, je précise, c’est cette manière qui se veut faussement anodine sans jamais prendre le pas sur le fond. Il est entendu que le maniement du verbe harnaché à un goût certain pour le titillage, a de quoi énerver la cohue de grincheux frustrés que nous avons en ce bas monde. D’ailleurs, c’est un pléonasme, un frustré grognera dès la première occase !
Et moi qui ne suis pas grincheux mais grognon(nuance !), j’applaudis des deux pieds dès que Ndimby se pointe à l’horizon !
Donc, ne nous éloignons point de notre troupeau, j’associerais volontiers nos faiseurs de politique à un troupeau d’ongulidés bruyants et désordonnés : ongulidés car depuis qu’ils ont montré leurs griffes, il ne fait plus de doutes de leur appartenance. Et bruyants, cela va de soi pour leur propension à beugler toute réprobation à chaque occasion.
De là à translater en catimini vers le troupeau d’ânes, il suffit d’un crin pour que celà soit acquis.
Le spectacle offert depuis pourrait s’apparenter à une basse-cour également hein ! y de quoi se boucher les oreilles dans une basse-cour pleines de volailles en tous genres : poulet de chair en goguette, oies qui ont oublié d’être blanches, canards déplumés sans foie, pintades caquetant en choeur, jars hargneux et méchants, akoholahim-bohitra à foison, pigeons attendant la béquetée, dindons farceurs,tout ça tournoyant, piaillant à qui le plus fort...
La différence avec les volailles réelles est que nos volaillons d’opérette ne sont pas comestibles, ils sont même imbuvables. Et de surcroît, ils ont une tare : ils sont cannibales.
C’est quoi ce que tu bois le matin, ami ... ???
J’en veux !!!
;-)
Très fort, Da Fily.
Je suis baba, sans voix, pantois.
Comment Da Fily arrive-t-il à tailler dans la pierre brute de l’actualité pour sortir tant de phrases ciselées comme des diamants ?
Chapeau bas l’artiste.
Je m’étonne que Lalatiana n’ait pas encore sorti « Da Fily Prezidà ! ».
Ou au moins Ministre de l’éducation. Au moins les sujets de BEPC ne voleront pas au ras des régions « volcaniques ».
Je croyais qu’on devait parler que de musique et de culture aujourd’hui mais ça doit être dure de faire un article sans toucher un mot sur ces politicards, looooool...
Pour ce qui est du BEPC, je crois que la HAT elle même ne sait pas qu’est ce qu’elle a fait de bien depuis son arrivée au pouvoir (loooool) qu’elle s’est permise de poser la question aux candidats en espérant que ceux ci arrivent à trouver des arguments de propagande de la HAT. La HAT s’est rendu compte que pour ce qui est des arguments pour vanter la HAT , ils n’ont plus grand chose à nous offrir à part du recuit.
Pauvres candidats, je pense même que ça a du être une des questions les plus difficiles auxquelles les candidats ont du être affronté étant donné qu’on les demande de citer des bienfaits qui n’existent pas (sauf pour les pro HAT bien sûre).
Ce que j’aime bien avec toi Ndimby c’est que tu arrives à écrire tout ce que je pense au fond de moi à chaque fois. Avec cette pointe (pique) d’humour en prime, qui rend ton édito presque innocent, du moins « inattaquable », par les temps qui courent ça peut toujours servir.
Misaotra raindimby oups !! Ndimby mantsy e !!!
aux ânes bâtés, le malheur n’attend point le nombre des années
Je dirais même plus ... les années passent, les ânes bâtés restent des ânes.
Là, je le dis haut et fort : je vise nos politicouillons !
politicouillons,
politocards,
politiconnards
...
Comme on parle de chanson, j’ai tjrs en tête celle de Jacques Dutronc des années 60 :« Je retourne ma veste,toujours du bon côté »...Nos politiciens anciens ou nouveaux appliquent à la lettre les paroles de cette célèbre chanson !!
Quelle honte pour leurs enfants, leurs petits enfants, leurs arrière- arrières petits enfants....L’HISTOIRE jugera ces fervents :« Pisodia izahay, mandra-pahafatinay,et sans scrupules on passe à Ohé, Ohé...ohé Arema mandrakizay,ensuite Mino fotsiny ihany, TIM mandroso ny làlana, actuellement TGV,révolution orange, messie pour sauver Mcar, CAPSAT & HAT mandramaty » et demain ces mêmes personnes chanteront un autre slogan, j’en suis sûr ?!!!!
Tant que le QI (quotient intellectuel) est inférieur à un autre QI (quotient d’imbécilité) chez nos nos divers Responsables, MADAGASCAR mettra des années pour se développer....
là, je vois qu’il faut plutôt envoyer à maputo les ndimby, lalatiana, fily et autres sous la médiation de rom1.
quand au tgv, qui n’est qu’un têtu à grandes vibrations, il a le bec cloué par les putschistes et les sudistes (pas les américains, mais les antandroy de monja jr).
pour ce qui est du gars de sorbonne, oui, il est bien de la bas, mais plutôt d’en bas, des sous-sols et dalles qu’il écumait.
enfin, merci à samoela pour sa vision de l’avenir :
par jacquaranda
Là, Mr ou Mme Bena,vous avez frappé fort !!!!
Vous risquez de blesser tous les politicards très,très susceptibles...
Je me demande si les personnes que vous avez citées seraient les bienvenues à Maputo ?!....Wait and see......
Salut à vous camarades tous azimuts, vos contributions me vont droit au coeur, il en faut de toutes façons pour supporter ce machin innommable qui nous mets tous au charbon chaque jour que l’univers daigne égrainer.
Entrez dans la danse, comme aimerait chanter Rota, je crois... Plus on danse, et plus on aime danser, c’est connu.
A tous les Lalatiana, Poiyut, Rota,Ragasy, Kakilay, Basile, Ibra, JaneD, ZandrygasyUS, Rabri, CitoyenneMalagasy, Racynt, Rom1, Ndimby the one, et j’en oublie un bon contingent, pardon, merci à vous tous de vous jeter dans la ronde.
Mon cher Ndymbi,
nous sommes tous un peu insomniaques,
solidarité avec tous « les forçats du web » :
http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/dossiers/2009/journalisme-multimedia/index.php