Le plagiat du début de quinquennat a pris fin, brutalement, sous les coups de boutoirs des dénis successifs qui n’ont fait que maturer une situation sociale dont on ne sait pas où tout cela, va nous conduire, mais, on y va tout droit !..
La politique de la rustine ne pouvait être que temporaire, illusoire et le pouvoir l’a appris, tardivement, à son dépens, aujourd’hui, sous la crispation et la paralysie..
Désormais, la société réclame son dû, affamée, insécurisée, sans emploi, ni avenir, en se rendant compte de l’imposture dont elle aura été une fois, encore, victime, consentante !..
Quel avenir pour demain, dans un contexte où chaque chose, chaque acte du quotidien est entravé par un je m’en foutisme d’état, incapable d’assumer ses responsabilités, ses « non-actes » ?’.
Les derniers des Mohicans, fidèles du pouvoir ne cessent de faire des pirouettes pour sauver l’indéfendable, ils boivent la lie, à petites gorgées tout en accumulant, contradiction sur contradiction, en faisant mine d’y croire encore, à l’image du défunt qu’on porte en terre avec un dernier espoir de résurrection !..
A avoir voulu singer les sociétés occidentales dans ce qu’elles avaient de plus bling-bling, l’homme copieur a accumulé, échec après échec, dans une société dont les priorités étaient ailleurs…
En réalité, l’urgence est partout, mais, avec les poches vides et des dettes immenses, le pouvoir n’a plus de choix, pour sauver sa tête, il doit se montrer pragmatique, élément qui, n’a jamais fait partie de ses qualités premières !..
Le gouvernement d’opérette doit céder sa place à une autre forme de gouvernance, orientée dans des actions et des objectifs humanitaires, d’urgence !..
Mais, visiblement, la mission reste impossible compte-tenu, à la fois, de l’ancienneté et de l’étendue des problèmes, mais, aussi et surtout, des hommes au pouvoir qui n’ont fait qu’accompagner cette dérive tout en prélevant leur dîme…
Rien ne va plus, les jeux sont faits ?…