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23 février 2021 à 15:28 | dirk_cab (#6503)

Pendant que certains s’écharpent , le peuple malagasy lui souffre et subit les conséquences de l’incompétence et l’irresponsabilité de ses dirigeants .

Problèmes de santé , hopitaly manara-penitra que les ministres évitent (pourquoi ?).

Conjoncture économique actuelle :
a croissance devrait être durement touchée en 2020 : le FMI table sur un scénario de récession de 1% (contre une prévision initiale d’une croissance de 5,5% en LFI). Néanmoins, le gouvernement a conservé une hypothèse de croissance dans la loi de finances rectificative approuvée par le Parlement le 2 juillet (+0,8%), rendue caduque depuis la mise en œuvre d’un deuxième confinement début juillet.

L’inflation devrait rester élevée (de l’ordre de 7,2%), en raison de tensions sur les prix à l’importation et des difficultés d’acheminement des biens à l’intérieur du pays (confinement des régions).

Les factures d’eau et d’électricité de la compagnie publique Jirama n’ont pas connu de modification en 2020, comme en 2019. Dans le cadre de la réponse à la crise du Covid 19, le gouvernement s’est limité à la possibilité de report du paiement des factures d’eau et électricité de la JIRAMA pour les mois de mars à juin 2020, via le rééchelonnement du paiement sur 5 à 10 mensualités.

La baisse du prix des hydrocarbures a été différée en raison des contrats à terme passés par les compagnies pétrolières et la consommation baisserait de 20 à 40% en raison du confinement. Pour l’instant, la baisse du cours international du baril n’a pas été répercutée sur le prix à la pompe, permettant au gouvernement d’éponger une partie de ses arriérés envers les distributeurs de carburants. La reprise des cours devrait se faire ressentir à partir de septembre sur les prix d’achat, mais il n’est pas encore envisagé de hausse des prix à la pompe.

En 2019, le Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) avait augmenté de 168 k MGA à 200 k MGA (de 42 à 50 EUR[2]) soit une hausse de 19% par rapport à 2018. Aucune augmentation du SMIG n’a pour le moment été programmée pour l’année 2020
La loi de finances rectificative adoptée par le Parlement le 2 juillet est caractérisée par le creusement du déficit budgétaire à 6,3% du PIB, contre 2,8% en LFI. Ce creusement s’explique par le double effet d’une baisse des recettes fiscales et douanières (le taux de pression fiscale baissera de 11,5% du PIB à 8,9%) et de l’engagement de dépenses imprévues.

L’analyse de soutenabilité de la dette du FMI de juillet 2020, qui inclut en scénario Covid, élève le pays en risque « modéré » (il était faible en mars 2020) pour la dette externe et demeure « modéré » pour la dette publique.

Voici le tableau que certains approuvent...

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