Rencontre de deux mondes opaques entre un président de la FIFA qui se déplace avec rang de présidium d’une ripoublique ,élu dans l’ombre des fédérations internationales où le jeu du marchand de tapis conserve une solide réalité à toute épreuve et un Rajoelina heureux de saisir cette belle occasion pour jouer de l’émergence sur la corde hypersensible de la fibre nationale et de son unité....
Ce juriste italo-suisse vient sur place se rendre compte de l’état déplorable d’un stade laissé aux quatre vents d’une gabegie institutionnalisée qui impose désormais de sérieuses rénovations sous peine de voir son stade mythique exclu des compétitions internationales...
L’argent de la FIFA, multi-milliardaire ne posera aucun problème puisqu’elle investit en sachant l’engouement du pays aux exploits de ses Barea, et ainsi la boucle sera bouclée en faisant deux heureux : Infantino et Rajoelina !....
Un gagnant/ gagnant au plus profond du terme, l’exemple parfait entre l’investisseur richissime et le receveur ravi de pouvoir bénéficier de ses largesses, sans bourse déliée, aux retombées politiques évidentes ....
D’autant que l’engagement financier de cette FIFA d’une générosité sans équivalence représente en définitive peanut au niveau de ses actifs évalués à 2747 millions de dollars au 31 décembre 2018 !..
Bref, ça roule ma poule dans ce monde des élites heureuses à donner au petit peuple sa dose de rêve fugace mais oh combien fructueux !......