# 13 octobre à 01:35 | saint-augustin (#9524) répond à reviv ^

" Bonsoir reviv,
merci de votre réponse ;
Quand j’entends que LA PESTE est à peine à 100 km de Tanà,et on est en 2019 !
En parlant de route ,les routes à Tanà sans évacuation des eaux usées !
A Tuléar il n’y a pas de trottoir pour que les cochons de Mahavatse(un quartier de Tuléar où les cochons se mêlent avec les piétons) puissent se promener jusqu’au centre ville sans se cogner leurs « chaussures »contre le trottoir(lol)
à bientôt et merci encore "

re_ saint-augustin, bonjour,
vous avez su résumer la situation qui prévaut par l’exemple du cochon et ses excréments qui cohabite avec les humains sans que les autorités locales mettent de l’ordre et font appliquer la loi car la misère n’explique pas tout et n’autorise pas n’importe quoi et vous avez raison d’évoquer la maladie de peste qui sévit encore dans nos villes et campagnes à cause de ces insalubrites.....et pourtant des maires et magistrats de nos villes existent mais ..mais ......, quel paradoxe !!!!!.

je constate que vos interrogations et vos remarques suivies d’illustrations de preuves sont non seulement pertinentes mais appréciables par son caractère directe et ne souffrant d’aucun détour, vous dîtes les choses telles qu’elles sont et je les apprécie.

tenez, vous qui connaissez Toliara, les kiosques et les baraquements illicites construits sur les trottoirs sont les « oeuvres » de certains élus maire, député et autres entités.
ces personnes pour lesquelles l’exemple doit venir d’elles sont les plus enclins à bafouer les lois de la république.

à mon avis, je pense il leur manque leur source d’inspiration car leur premier préoccupation pour être élu se limite à penser à leurs propres intérêts par des enrichissements illicites rapides mais en aucun cas à l’intérêt général.

c’est ainsi que le gaborarake prend sa source et entretient le désordre sous toutes les formes d’incivilités.

vous m’avez posé une question sur du comment faire pour sortir de cette pauvreté mentale, intellectuelle, culturelle, sociale, et que sais-je encore.
moi, je dirai de commencer par changer ces mentalités de « lomorina ». c’est le préalable.

d’ici là portez vous bien.