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Ce projet Tanamasoandro ne répond à aucun besoin identifiable de l’ensemble de la population d’Antananarivo, sans parler de Madagascar. Si le projet visait à désengorger une ville dont l’exiguïté n’est plus à démontrer, il aurait fallu se pencher plus sur des solutions de mobilité urbaine telles le développement de moyens de transports modernes (ferroviaires) et d’infrastructures pour relier les « villes » périphériques à l’Antananarivo actuelle et délocaliser certaines activités et services publics vers ces villes périphériques tels Vontovorona, voire Arivonimamo, etc.
Le problème c’est que cela ne profiterait qu’à des sociétés étrangères spécialisées dans la fourniture d’équipements de transport et nullement aux riches copains donateurs lors de la propagande, lesquels sont passés maîtres dans l’art de remblayer et de construire des appartements hors de portée de la bourse de la majorité de la classe moyenne à Antananarivo. Suivez mon regard du côté de Tanjombato ou Ankorondrano et tous ces immeubles inoccupés. Si au jour d’aujourd’hui, ces appartements, pas forcément luxueux, sont inaccessibles, pourquoi insister à en construire des milliers d’autres sur des terrains encore à remblayer à grand frais sans qu’aucune étude ou souscription publique ne soit lancée pour connaître la taille du marché qui va pouvoir absorber ces biens ? La réponse : partage du gâteau sur d’éventuels financements donnés par des « investisseurs » qui se rembourseront avec l’argent du contribuable mais surtout ailleurs, vu que ce projet est déjà un fiasco économique.