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12 août 2019 à 19:21 | diego (#531)

Bonjour,

A défaut de croire et avoir confiance aux dirigeants et les élus, j’aimerais bien pouvoir faire confiance à une opposition solide et bien cohérente.

La réalité est que la solidité des ces politiciens qui veulent être les leaders de l’opposition n’est pas solide et durable, et ils ne sont pas plus compétents que les femmes et les hommes à la tête du pays aujourd’hui. Pour compliquer la situation, la CI et les pays étrangers qui organisent les processus électoraux, et qui financent les élections à Madagascar.

Ce qui veut dire, il faudrait peut-être que les dirigeants et les leaders des partis politiques et leurs membres respectifs réalisent rapidement que leur pays n’est plus du tout « Souverain ». Ce n’est pas quelque chose de compliquer à comprendre.

Quels pouvoirs restent-ils à l’Exécutif, au Parlement et quelles prérogatives peuvent être attribuées à la Justice malgache si le pays n’est plus souverain ?

Un juriste parle de la démocratie et un pays de droit, un ancien président avance qu’avoir un statut de l’opposition n’est pas un autoroute pour renverser le pouvoir :

- et la « Souveraineté » ?

Autrement dit, le droit et la Constitution Malgache, qu’est-ce qu’on en fait ?

Les dirigeants et les politiciens malgaches parlent de développement, ce qui veut dire, endettement du pays. Mais comment ferait-on si le pays n’étaient pas « Souverain », autrement dit, les Parlementaires sont sous le solde de la CI et les puissances étrangères ?

Si on commence par le début, parler honnêtement de « droit » Malgache, pour sauver la face de tout le monde et afin d’avoir des discussions sérieuses pour l’avenir du pays ?

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