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Je ne suis pas retourné à Madagascar depuis 1975, à mon grand regret. Entre-temps j’ai mené des enquêtes aux États-Unis, au Brésil, en Chine et en Europe. Mon expérience malgache m’a énormément servi pour mener des enquêtes dans des pays où je n’avais aucun point de repère.
J’ai monté un film sur le retournement des morts famadihana que j’utilise pour montrer la dimension universelle du rapport à la mort, même si les formes culturelles sont bien sûres spécifiques à chaque pays.
J’ai été touché de découvrir au moment du décès de mon collègue et ami Manandafy Rakotonirina, qu’il y avait des étudiants à l’école supérieure d’agriculture de Tananarive entre 1971 et 1975 qui se souvenait encore des cours que j’y avais donné et de la revue Terre Malgache, Tany Malagasy, qui avait été créé par Jean Claude Rouveyran, et dont j’étais responsable.
Bien amicalement à tous ceux qui vivent dans la grande ville, Dominique Desjeux, anthropologue, professeur émérite à la Sorbonne (université Paris Descartes).