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vendredi 19 avril 2024
Antananarivo | 10h05
 

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19 février 2019 à 14:26 | reviv (#9830)

oui pour le guillemet, ça fait rêver un peu même si ...
et pourtant un modeste vocabulaire plus adapté reflète mieux le contexte local,.. passons..

Oui, l’état est très absent depuis belle lurette.
le droit à la scolarité et à l’éducation des enfants n’est presque plus assuré.
quel triste sort !!!

puisque le sujet parle d’enfants en maltraitance et d’écoles,
ceci a un lien très fort avec l’insécurité et avec toute sa complexité, insécurité avec laquelle le pays en entier la subit de plein fouet et je suis pas hors sujet en parlant du comment on en arrive là.

les rares écoles publiques laïques encore « débout » dans cette région Sud-Ouest de l’île n’existent que de nom, elles sont tombées en décrépitude, toutes se trouvant dans un état de délabrement indescriptible et ont été quasiment remplacées par des écoles privées en majorité de confessions religieuses payantes.

puisque les familles sont pauvres à 90 %, comment font-elles ?
et que deviennent-ils ces enfants ?

sans trop rentrer dans les détails de la qualité ou de la médiocrité de l’enseignement et du manque crucial d’infrastructures d’enseignement et le mode de fonctionnement local ne jurant que sur le bizness ihany et bizness hatrany....
l’argent public est mal utilisé.
c’est le vrai paradoxe malgache.

heureusement que des associations caritatives et ong existent pour pallier aux manques.

c’est la raison pour laquelle, il faut saluer le travail effectué par ces associations et rendre hommage à l’ong belle avenir qui tant bien que mal se substitue à la défaillance et carance de l’état pour offrir à ces enfants un peu de bien-être.

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