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14 février 2019 à 22:51 | diego (#531)

Bonjour,

Il n’y a que les gens qui n’aiment pas leur pays, ou qui prétendent aimer leur pays qui veulent se cantonner dans une campagne politique de dénigrement des dirigeants malgaches et veulent que les politiciens sont en campagne électorale en permanence.

Le pays vient de conclure une élection présidentielle, à mes yeux, qui a été mal préparée et loin de garantir et la souveraineté et de permettre au pays de se doter tous les outils politiques pour enclencher le développement du pays et de lutter contre la pauvreté et la corruption.

Et il y a encore des élections législatives à venir pour complètement mettre fin aux processus électoraux et rien ne dit qu’elles vont bien se dérouler. Rajoelina n’est pas encore d’affaires. Une des multiples raisons qui doit inciter le régime à plutôt favoriser une environnement politique paisible. Il n’est pas certain que le parti politique du président aurait la majorité à l’Assemblée Nationale.

Si l’Executif et le future Législatif ne s’attendaient pas, le pays serait, encore, ingouvernable dans les cinq années à venir.

Il est donc d’une haute importance que le pays soit rapidement gouvernable.

Le monde est instable, les forces vives et les responsables politiques malgaches sont invités à le constater, beaucoup des événements indiquent toutes les risques et Madagascar est un pays très vulnérable, à tous points de vus.

Il faut tout faire pour éviter que Madagascar ne devienne un enjeu politique, centre des batailles ideoligiques et militaires, comme c’est déjà le cas des quelques pays africains et du Moyen Orient, entre les grandes puissances, France, Chine, USA et Russie.

Madagascar se trouve malheureusement dans l’Ocean Indien, qui était sensible du temps de la guerre froide et va encore davantage à l’avenir.

Il est imprudent de sortir des financements des Bailleurs des Fonds traditionnels, c’est à dire des financements venant des Institutions financières internationales :

- FMI, Banque Mondiale et des entreprises étrangères très bien connues mondialement.

Le pays ne va pas loin si au début de mandat, le régime accumule les bêtises et des électeurs et les ctoyens refusent de mettre fin aux processus électoraux, aussi mauvais soient-ils.

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