Bonjour .
Permettez de trouver paradoxal de donner aux députés sortants l’ opportunité de voter l’ application de l’ article tendancieux, pardon 104 , de donner les pleins pouvoir au président , ce qui revient à cautionner la mise en place de toutes dérives, voir d’ une dictature .
Comme un éléphant dans un magasin de porcelaine , mais comme d’ hab, il y en aura toujours pour nier l’ évidence, qui il faut le reconnaitre est particulièrement aveuglante ...
Je préconiserai d’ apporter une autre possibilité afin de ne pas imposer celle-ci faute d’ autre proposition contradictoire :
A savoir nommer une commission spéciale « de transition » (comme on les aime) , élue (à la majorité) & votée par les membres pour combler ce vide constitutionnel , le temps que la nouvelle se mette en place, et particulièrement éviter tous risques d’ abus polymorphes, dans l’ intérêt de tous naturellement et non une minorité et de s’ atteler à y apporter de nouvelles propositions afin de remédier à cette carence, définitivement et laisser aux nouveaux nommés le soin de l’ approuver et valider !
De terminer par ce n’ est pas au président de légiférer ou apporter des modifications, quelles qu’ elles soient sans les avoir soumises à débats, et votes pour être validées et appliquées .
Mais ça c ’est peut etre un peu trop démokratik d’ importation inkompatyble avec les fombas nazional-éh...