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- bekily : si cela continue ...il ne resterait plus que les Turcs !
- bekily : PFFFFFFFFFFFFFFF les rapports de ce genre pullullent dans les ministères. (...)
- bekily : Pisokely C’est cela le RESEAU MAFIEUX ...sacrée machine initiée par Focart. (...)
- bekily : hi hi je ne comprends pas pourquoi ces TROLLS , stupidement hors sol et (...)
Les courtisans de tous bords accourent pour congratuler le nouveau maître du pays, la flagornerie est à l’unique menu du microcosme politique en émoi de la capitale qui tente de se placer pour vivre ce nouveau quinquennat en toute tranquillité financière....
Adieu démocratie chérie, adulée nous voici de nouveau immergés dans la culture de cour, celle qui ose et permet tant de coups de canif dans nos institutions qui seront au même menu que précédemment...
Le fugace espace de liberté débridée, octroyé durant cette campagne vit ses derniers instants d’émancipation, demain, le tout-puissant maître du pays pourra compter sur sa troupe de sbires zélés pour museler une presse critique clairsemée qui devra se soumettre sous peine de quelques ennuis...
Tandis que l’armée se réjouit d’avoir fait l’économie d’une intervention et surtout de constater que son favori va pouvoir les chouchouter pendant un quinquennat durant, dans l’attente aujourd’hui d’une nouvelle rafale de nomination de généraux en guise d’encas !...
Cette période est merveilleuse parce qu’elle permet au nouvel élu toutes les fantaisies possibles dans ce court instant de grâce populaire qui touche au merveilleux et au surréalisme ...
Le banquet d’investiture sera le summum de cet joyau démocratique où chaque invité se verra déjà en futur ministre du gouvernement en cherchant à paraître plus indispensable que son voisin de table !..
La comédie du pouvoir étouffera le changement promis et juré parce ce microsme mercantile excelle dans cet exercice de jeux de courtisans qui a toujours été l’unique enjeu d’un lendemain d’élection avant de retomber dans les ornières du passé...
Ceux qui prétendent attendre » de voir le maçon au pied du mur » utilise cet aphorisme pour éviter de croire, que dès le départ cette élection ne sera qu’un simple écran de fumée...
Aujourd’hui, « l’élection pour le moins pire » titrant un article de Tribune ne semble plus d’actualité pour faire place à cet espoir maigrichon de décollage comme s’il suffisait de voter pour que le miracle devienne le pain quotidien et l’heureux élu le nouveau messie !..