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Le mouvement de dissidence se multiplie dans le camp de Hery, tandis que dans celui de Andry, on constate la pluie de ralliement. Du côté de Faravohitra, aucune nouvelle, pour ne pas dire, rien ne bouge.
Tout cela nous rappelle l’élection présidentielle de 2001.
De ce fait, presque tous les jours, on ne parle que de Andry qui devient un homme à battre.
Ce qui est marrant, dans cette histoire, même l’equipe de son ancien ministre de finance, faisant partie de 109, osent l’appeller un putschiste, sans se rendre compte qu’ils accusent aussi leur chef. Tout cela montre bien leur fébrilité.
Ce qu’ils ne savaient pas plus ils parlent de 2009, plus ils poussent les gens à choisir entre Andry et Ravalo, mais, pas ce qu’ils espèrent pour Hery, en effet, là, ils remettent inconsciemment sur le tapis si le départ de Ravalo est justifié ou pas, de ce fait, deux camps se forment les pour et les contres, et tous ceux qui sont pour, applaudissent Rajoelina, sans foutre guère du comment il a fait pour faire partir Ravalo, et l’autre camp crient l’injustice et soutient évidemment Ravalo, puis, revoilà la bipolarisation de la politique.